Néanmoins des dignitaires musulmans ont appelé des fidèles à se rendre sur les lieux de prière pour la consolidation de la paix et de l’unité nationale au Cameroun, qui traverse des moments difficile. La fête intervient également au moment où plus de 4000 pèlerins camerounais participent au Hadj en Arabie-Saoudite.
Le candidat s'avance face au micro, costume noir et calotte blanche "Allahou Akbar, Allahou Akbar", entonne-t-il d'une voix lente, mains sur les oreilles et coudes en équerre, sous la pierre ocre sculptée en nids d'abeilles. En ce début d'été, cinq muezzins, religieux chargés d'appeler les musulmans à la prière cinq fois par jour, s'affrontent sous l'un des neuf dômes de la majestueuse Vieille mosquée d'Edirne, achevée en 1414, quand la ville du nord-ouest de la Turquie était capitale ottomane. Assis face aux candidats, les jurés prennent des notes. Au centre, le mufti Alettin Bozkurt, autorité religieuse de la province, désignera une heure plus tard au micro le muezzin ayant récité le plus bel ezan nom turc de l'appel à la prière, également appelé adhan. "J'ai commencé à dix ans, pendant les cours d'été à la mosquée", confie à l'AFP le vainqueur, Abdullah Ömer Erdogan, 25 ans, qui dit fuir le froid, privilégier l'eau tiède et éviter certaines positions pendant son sommeil pour protéger ses cordes vocales. S'il remporte la manche suivante fin juillet, le jeune muezzin, appareil dentaire et barbe impeccable, prendra part à la finale nationale prévue le 17 août, qui sacrera la plus belle voix parmi les centaines de muezzins qui se défient à travers le pays depuis début juin. - "Pouvoir de l'ezan" - En avril, deux muezzins turcs, dont l'un a un temps fait résonner sa voix sur la vieille ville d'Edirne, ont raflé les première et deuxième places d'un concours télévisé similaire organisé en Arabie saoudite, auquel s'étaient présentés des muezzins de 80 pays. Le muezzim Abdullah Ömer Erdogan, vainqueur du concours d'appel à la prière, à la Vieille mosquée d'Erdine, le 29 juin 2022 en Turquie AFP - Ozan KOSE Dans une vidéo publiée le lendemain par le lauréat, le président turc Recep Tayyip Erdogan, dévot musulman, lui adresse ses félicitations "Qu'Allah soit avec vous", lance le chef de l'Etat. Depuis son arrivée au pouvoir en 2003, initialement comme Premier ministre, près de nouvelles mosquées ont été construites à travers le pays, dont l'une sur l'emblématique place Taksim d'Istanbul, symbole d'une Turquie laïque, d'où son pouvoir avait été contesté en 2013 lors de manifestations antigouvernementales sans précédent. Le président, qui a également fait bâtir la plus grande mosquée de Turquie sur la colline stambouliote de Camlica et a reconverti en 2020 l'ex-basilique Sainte-Sophie en mosquée, a en parallèle donné à l'appel à la prière un caractère éminemment politique. La nuit du 16 juillet 2016, en pleine tentative de coup d'Etat, les imams et muezzins des quelque mosquées de Turquie avaient, via les haut-parleurs des minarets, exhorté les fidèles à faire barrage aux putschistes, en écho à une intervention peu avant à la télévision du chef de l'Etat via l'application FaceTime. Des muezzins attendent de participer au concours d'appel à la prière, à la Vieille mosquée d'Erdine, le 29 juin 2022 en Turquie AFP - Ozan KOSE "Cette nuit-là, nous avons vu le pouvoir de l'ezan", se remémore le mufti d'Edirne. "Grâce à lui, nous avons appelé le peuple à sortir dans les rues et avons sauvé notre pays." M. Erdogan, qui jouera sa réélection en juin 2023, accuse par ailleurs ses opposants de vouloir bâillonner les mosquées "ils ne pourront pas faire taire l'ezan !", a-t-il lancé à plusieurs reprises, bien que cette proposition ne figure au programme d'aucun parti. - "rejet croissant" - Dans un pays presque exclusivement musulman mais constitutionnellement laïque, cette politisation de l'appel à prière a contribué à le rendre agaçant aux oreilles de certains. le mufti Alettin Bozkurt lors d'une interview à la Vieille mosquée d'Erdine, le 29 juin 2022 en Turquie AFP - Ozan KOSE "Il y a un sentiment répandu parmi les laïcs que le volume de l'ezan a augmenté depuis la tentative de coup d'État, dans le cadre des tentatives de l'actuel régime de transformer la sphère publique", estime Erol Koymen, post-doctorant en ethnomusicologie à l'université de Chicago. "Cela a conduit à un rejet croissant de l'ezan toujours parmi les laïcs", affirme le chercheur, auteur de travaux sur le rôle de l'ezan dans la résistance au putsch manqué de 2016. Depuis 2017, la très puissante Direction des affaires religieuses Diyanet demande toutefois aux mosquées de "veiller à ne pas dépasser les 80 décibels" lors des appels à la prière, une limite trop élevée ou mal respectée selon certains Turcs. L'an dernier, quand le gouvernement saoudien a ordonné de limiter le volume des haut-parleurs des mosquées au tiers de leur capacité maximale, invoquant la santé des enfants et des personnes âgées, des réactions envieuses ont émergé en Turquie sur les réseaux sociaux. Dans la Vieille mosquée d'Edirne, le mufti Alettin Bozkurt s'offusque que d'aucuns veuillent mettre les mosquées en sourdine "L'ezan est un droit légal!", assène-t-il. "Tout comme les chrétiens peuvent facilement entendre les cloches des églises, tous les musulmans doivent être en mesure d'entendre l'appel à la prière."
Toutcomme monsieur le curé ne délivre son sermon que le dimanche à la grand-messe, l’imam ne prêche que le vendredi à la prière de midi. S’il arrive qu’un imam « sorte des clous
Le jeu simple et addictif CodyCross est le genre de jeu où tout le monde a tôt ou tard besoin d’aide supplémentaire, car lorsque vous passez des niveaux simples, de nouveaux deviennent de plus en plus difficiles. Plus tôt ou plus tard, vous aurez besoin d’aide pour réussir ce jeu stimulant et notre site Web est là pour vous fournir des CodyCross Il appelle les fidèles musulmans à la prière réponses et d’autres informations utiles comme des astuces, des solutions et des astuces. Ce jeu est fait par le développeur Fanatee Inc, qui sauf CodyCross a aussi d’autres jeux merveilleux et déroutants. Si vos niveaux diffèrent de ceux ici ou vont dans un ordre aléatoire, utilisez la recherche par indices ci-dessous. CodyCross Animalerie Groupe 341 Grille 5MUEZZIN
Laprière, de deux rakats que l’imam Adama Zoungrana a dirigée, a été suivie d’un sermon dans lequel celui-ci a appelé les musulmans à préserver les acquis de 29 jours de jeûne musulman durant lequel tous les efforts ont consisté à « se rapprocher de Dieu, miséricordieux par essence et par excellence ». Il a prié pour une bonne pluviométrie cette année afin que les
Publié le 09/01/2015 à 1823 "Dieu pleure, s'il voit ça" dans une grande mosquée de Châteauroux, comme partout ailleurs en France, la prière du vendredi a été dominée par l'attentat contre Charlie Hebdo, et suivie d'un rassemblement dénonçant les auteurs du carnage. "Ces gens-là n'ont rien compris à la religion musulmane. C'est un comportement barbare", dit Boumedien Chbani, secrétaire de l'Association cultuelle et culturelle des Marocains de l'Indre ACCMI, qui gère la Mosquée des Bienfaiteurs à Châteauroux, un grand bâtiment récent en forme de halle, surmonté d'un toit en tôle rouge et d'un clocheton, mais sans minaret. "Le Coran n'a jamais demandé de tuer", renchérit le président de l'association, Bouchaib Hamdani, deux jours après l'attentat qui a fait 12 morts au siège parisien de l'hebdomadaire la prière et le prêche -en arabe, puis en français- de l'imam marocain Hassan Fadili, faisant l'éloge de la "miséricorde et la compassion" du prophète Mahomet, y compris envers les animaux, les quelque 300 fidèles se rassemblent devant la mosquée, la plus importante des trois lieux de culte musulman de le parking, dans un quartier HLM, ils rejoignent sous un crachin tenace une trentaine de non-musulmans, certains portant des badges frappés du mot d'ordre "Je suis Charlie", en français et en par des fidèles, jeunes et vieux mêlés, en habit de ville ou en gandoura, des banderoles proclament "défendons les valeurs républicaines", "non à la violence", "Condamnation - indignation".Des femmes soutiennent un calicot "l'islam = paix, tolérance, respect". Dans la petite foule, des pancartes comme "le terrorisme n'a pas de religion", "sans foi ni loi"."Celui qui n'est pas miséricordieux envers les hommes n'aura pas droit à la miséricorde d'Allah", avait tonné auparavant l'imam , vêtu d'une djellaba immaculée, du haut du minbar chaire. Stigmatisant des terroristes qui "salissent l'image de l'islam", le religieux a souligné que "nous, les musulmans, nous sommes aussi les victimes directes ou indirectes de tels agissements", avant de mener la prière des fidèles prosternés devant le mihrab, indiquant la direction de la le groupe de fidèles rassemblés face à la mosquée, le vice-président de l'ACCMI, Faouzi Jawadi, appelle sous les applaudissements "tous" les fidèles à participer au rassemblement organisé dimanche devant la appel relayé dans la plupart des mosquées du pays, comme à Paris par l'imam Abdel Qader Achour, de la mosquée de la rue Jean-Pierre Timbaud XIe arrondissement. "Nous allons tous y aller", a assuré à l'AFP un fidèle, Mahmoud Khalaf. 'Patience' face aux provocations "Oui, j'irai à la manifestation", a proclamé l'imam Chabbar Taieb, de la mosquée Ali, rue du faubourg Saint-Denis à Paris, qui a demandé aux fidèles "de faire preuve de patience face à d'éventuelles provocations anti-musulmanes".A la grande mosquée de Paris, le recteur Dalil Boubakeur a lancé "un appel solennel à tous les musulmans de France pour participer … à la journée" de manifestation de dimanche."Tout le monde est bouleversé et ému par la tuerie qui a eu lieu à Paris", a déclaré en chaire l'imam Belgacem Ben Saïd, de la mosquée Assalam de Nantes. "En janvier 2006, quand il y a eu les caricatures du prophète Mahomet, nous étions les premiers à condamner ces images et ces caricatures. Mais rien ne peut justifier une telle violence", a-t-il tonné. "A la caricature, nous répondons par la caricature, par un dessin, à un article de presse par un article, à une interview par une interview. Mais on ne répond pas avec les armes. On ne met pas sur le même plan un dessin et une kalachnikov", s'est indigné l’imam Mustafa Riad de la mosquée de l'Union à Montpellier, devant 300 fidèles."Je fais appel à vous, à tous les musulmans de Marseille" pour participer au rassemblement prévu samedi, a lancé du haut de sa chaire l'imam Mohsen N'gazou. "Il faut que la société voie sa composante musulmane participer... avec nos chibanis anciens, nos femmes, nos jeunes" a-t-il Strasbourg, où un millier de fidèles ont pris part à la prière à la Grande Mosquée, l'imam Mohamed Moussaoui a lancé un appel à la "vigilance" pour préserver la "sécurité" de la France. "Malheur à celui qui effraie les gens chez eux ou ailleurs", a-t-il dit. "Nous vivons dans ce pays et il vous incombe à tous de préserver sa tranquillité", a-t-il insisté en souhaitant "que la justice passe"."On est pris en otages entre les extrémistes religieux et les extrémistes politiques", a dit à l'AFP Abdelkarim Ramdane, un jeune conseiller municipal venu assister à la prière qui s'interroge "comment créer des ponts pour éviter de rentrer dans la brèche de violence?"
Nonmais c'est une blague ! » explique-t-il face à la caméra, citant l'exemple de Lyon, de Montpellier, mais aussi de la mosquée de Strasbourg où, faute de pouvoir réunir ses fidèles du fait des mesures sanitaire, l'imam a cru bon de proférer l'appel à la prière via haut-parleur devant sa mosquée, le 26 mars dernier.
PHOTOS - Près de 2000 fidèles catholiques et au moins une centaine de musulmans ont rendu un vibrant hommage au père Jacques Hamel assassiné mardi, lors d'une messe dominicale célébrée ce 31 juillet par l'archevêque Mgr Dominique Lebrun, placée sous le signe de la paix, dans une cathédrale de Rouen pleine à craquer. Comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête de cet article, les fidèles de toutes confessions ont chanté et prié ensemble avant de se serrer les mains et de s'embrasser, dimanche, sur les bancs de la cathédrale de Rouen, à l'occasion d'une messe dite "pour la paix, à la mémoire du père Hamel", 85 ans, assassiné il y a cinq jours dans son église par un commando jihadiste. Dans l'assemblée, au moins une centaine de musulmans, dont des femmes voilées, avaient répondu à l'appel du Conseil français du culte musulman CFCM, qui a invité responsables de mosquées, imams et fidèles à se rendre ce jour à la messe pour exprimer leur "solidarité" et leur "compassion". La plupart des musulmans interrogés par l'AFP étaient déjà venus visiter la cathédrale, mais ne s'étaient jamais rendus à un office. "Ce n'est pas l'islam" "Nous accueillons particulièrement ce matin nos amis musulmans", a commencé Mgr Lebrun, coiffé alternativement de sa mitre ou de sa calotte, après quelques paroles en latin. "Ils ont souhaité nous rendre visite ce matin. Je vous en remercie au nom de tous les chrétiens. Vous affirmez ainsi que vous refusez les morts et les violences au nom de dieu. Comme nous l'avons entendu de vos bouches que nous savons sincères, ce n'est pas l'islam", a-t-il déclaré. "Notre monde se découvre solidaire d'un bout à l'autre de la planète. Les injustices entre les peuples deviennent insupportables. Devant l'horrible et injuste mort d'un simple prêtre, des messages parviennent du monde entier. C'est l'espérance en marche", a-t-il ajouté. Les fidèles ont entonné des prières à la mémoire du père Hamel, avant de rendre hommage à sa famille, aux associations qui œuvrent pour le rapprochement religieux, et aux journalistes "qui recherchent la vérité". À la fin de l'homélie, Mgr Lebrun a lancé un appel à "repousser toute dispute en famille ... De là haut, Jacques, si attaché à sa famille, se réjouira". Comme le veut le rituel, les fidèles ont procédé à des gestes de paix après la prière du Notre Père et se sont embrassés. Tête nue, Mgr Lebrun est alors descendu de l'autel pour embrasser les responsables musulmans alignés dans le chœur. Il a ensuite fait de même avec les trois soeurs qui étaient présentes au moment de l'attentat dans l'église de Saint-Etienne-du-Rouvray. Les musulmans n'ont pas communié et sont restés à leur place pour prier. "Amour pour tous, haine pour personne", pouvait-on lire sur une affiche accrochée à l'intérieur par une association musulmane. "C'est important de rendre hommage au père Hamel, témoigne Blandine. C'est main dans la main que nous allons construire la paix". "Nous avons répondu à l'appel", ont déclaré à l'AFP avant la messe deux musulmans, Sami et Aicha Boughara. D'autres églises ont accueilli dimanche des musulmans ou des messages de soutien À Paris, Nice, Bordeaux, Saint-Denis... Sadia, 71 ans, a franchi avec beaucoup d'avance le portail grand ouvert de l'église Notre-Dame d'Espérance, dans le XIe arrondissement de Paris, à deux pas de chez elle. "Je suis venue partager ma peine avec mes frères et sœurs chrétiens", dit une dame voilée. "Grand merci d'être avec nous", lui répond le curé. Fidèle de la grande mosquée de Paris, elle trouvait évident de répondre à l'appel du Conseil français du CFCM. Sadia, discrètement assise dans le fond de l'église entre deux paroissiennes, la tête couverte d'un hijab voile simple beige, le regard du curé s'est naturellement posé sur elle. "Je suis musulmane pratiquante. Et je viens partager ma peine et vous dire à tous que nous sommes frères et soeurs. Ce qui s'est passé dépasse l'entendement", a-t-elle dit d'une voix faible. "Grand merci d'être avec nous ce matin", lui a répondu le Père Francis Barjot. Le recteur de la mosquée de Bordeaux, Tareq Oubrou, est allé avec une dizaine de fidèles à l'église Notre-Dame, accueillis par le vicaire général du diocèse. "C'est l'occasion de leur démontrer que nous ne confondons pas islam et islamisme, musulman et jihadiste, comme nous ne confondons pas catholique et intégriste", a confié le Père Jean Rouet, avant d'inviter les fidèles à "entrer dans l'eucharistie", qui commémore le sacrifice du Christ, "chacun à sa façon". Lynda, une musulmane pratiquante de Bobigny, et son compagnon catholique ont choisi de se rendre à la basilique-cathédrale de Saint-Denis. Comme un symbole "C'est important que ce soit ici, où les Rois de France sont enterrés", dit Hervé, 55 ans. "Si je ne devais aller qu'une fois dans une église ce serait aujourd’hui", fait valoir Lynda, 54 ans. .Zahra, 65 ans, a les larmes aux yeux. "Toucher aux gens qui servent Dieu c'est une catastrophe", lâche cette nounou à la retraite qui porte le voile. Une prière commune sur le parvis Aux Mureaux Yvelines, autre ville de banlieue populaire, environ 250 musulmans se sont rassemblés avec autant de catholiques devant la petite église Saint-Pierre-Saint-Paul, au milieu des toits en tuile du bourg, à l'issue de la messe. Ici, une prière commune sur le parvis plutôt qu'à l'intérieur de l'église a semblé "plus respectueuse" aux deux communautés, selon le Père Philippe Mallet, prêtre auxiliaire de la paroisse. Certains fidèles musulmans ont sans doute hésité à passer le seuil des églises, comme à Saint-Paul, intimidant édifice du Marais à Paris. Le curé, le Père Pierre Vivarès, a cependant fait lire en arabe la 2e lecture de la messe. "En communion avec les chrétiens arabophones" d'Orient mais aussi pour "saluer nos compatriotes musulmans", a-t-il précisé. » À voir également sur le Huffpost
Acette occasion, des milliers de fidèles musulmans se sont rassemblés à la Place de la nation à Ouagadougou, pour prier pour la paix et le vivre-ensemble. Débutée à 9h, la grande prière de la Tabaski a connu la présence de représentants des autres confessions religieuses, venus communier avec leurs frères et sœurs musulmans.
Le Conseil français du culte musulman CFCM a appelé aujourd’hui responsables de mosquées, imams et fidèles, à se rendre dimanche à la messe dans une église proche de chez eux, pour exprimer “solidarité et compassion” après “le lâche assassinat” d’un prêtre à Saint-Etienne-du-Rouvray. L’instance représentative du culte musulman appelle également l’ensemble des quelque 2500 mosquées de France “à saisir l’occasion du prêche de la prière” de vendredi prochain, “pour évoquer la place prépondérante qu’occupe dans la religion musulmane le respect des autres religions, ainsi que le respect des hommes de foi qui les portent“. “Celui qui fait du mal injustement à un juif ou à un chrétien me trouvera en adversaire le jour du jugement dernier“, a dit le prophète Mahomet dans un “hadith” parole ou fait rapportée par la tradition prophétique cité par le communiqué. Le Figaro
1août 2017 par Daoud. Flash info du 10 Dhou al Qa’da 1438. Pour écouter MouslimRadio partout ou vous voulez, télécharger l’application Tunein, disponible pour tout les types de téléphone, tablette et même les pc. Android, iPhone, Windows phone, etc. Tapez MouslimRadio dans la barre de recherche Tunein et hop, vous nous écouter
Cette année, les musulmans de France n’ont pas pu accomplir la prière de l’Aïd marquant la fin du ramadan dans les mosquées. En effet, la pandémie du coronavirus a rendu impossible le respect des gestes barrières imposées par le gouvernement. En effet, par ordonnance en date du 18 mai 2020, le juge des référés du Conseil d’État à ordonné au Gouvernement de lever l’interdiction générale et absolue de réunion dans les lieux de culte et d’édicter à sa place des mesures strictement proportionnées aux risques sanitaires et appropriées en ce début de déconfinement ». Un jour avant la fête, le ministre de l’intérieur a émis ordonnance avec les recommandations pour les prières collectives. Le décret concernait notamment la mise en place obligatoire de mesures de distanciation, de gestes barrières et la mise à disposition de produits d’hygiène pour les fidèles. Les associations cultuelles n’ont pas pu organiser la prière de l’Aïd Au regard de la gravité de la crise sanitaire actuelle et l’impératif de respect de la santé de ses membres, les associations cultuelles ont décidé, à une très importante majorité, d’inviter les fidèles à faire la prière de l’Aïd chez eux. Ces associations ont souligné les difficultés pratiques de mise en place des mesures édictées par le ministère pour le respect de la santé des fidèles, incluant notamment des règles de distanciation sociale difficiles à faire appliquer et occasionnant des coûts importants. Il faut également préciser que les associations ont préféré ne pas prendre de risque pour les fidèles au regard de la tardiveté de l’annonce du ministère concernant les mesures à prendre, et la nécessité de mettre en place en urgence des règles très strictes. URGENT Malgré le nouveau décret du gouvernement, la prière de l’Aïd n’aura pas lieu dans les mosquées de France – CFCM CFCM CfcmOfficiel May 23, 2020 Ainsi, le Conseil français du culte musulman CFCM, le Milli Gorus, le CCMTF Comité de Coordination des Musulmans Turcs de France qui dépend du DITIB et les autres mosquées ont émis des préconisations claires et strictes aux lieux de culte musulmans, invitant chacun à ne pas organiser de prière collective pour l’Aïd. Ces recommandations avaient également été prises après consultation de spécialistes de la lutte contre le Covid 19, en matière sanitaire. Ce dimanche 24 mai 2020, l’extrême majorité des associations culturelles musulmanes a donc fait preuve de responsabilité en appelant les fidèles à rester chez eux pendant l’Aid. Quelques rares exceptions sont néanmoins à noter. L’association de Cergy-Pontoise organise quand même la prière L’Association DITIB de Cergy-Pontoise a organisé une prière de l’Aïd, en réunissant près de 200 personnes. Cette prière a eu lieu alors même que le DITIB dont est membre cette association, avait appelé les fidèles à rester chez eux. Néanmoins, la direction a pu rassembler les fidèles à l’extérieur de la mosquée tout en respectant les règles distanciations sociales. La direction du DITIB n’ont pas communiqué, pour le moment, concernant ce non-respect des mesures sanitaires par l’association DITIB de Cergy-Pontoise. Les mosquées veulent attendre début juin pour faire savoir les décisions concernant la reprise progressive des prières. Par ailleurs, des fidèles à Levallois-Perret en région parisienne ont pu fait faire la prière de l’Aïd dans un complexe sportif de la ville. Ainsi, les musulmans ont pu respecter toutes les préconisations sanitaires obligatoires dictées par le ministre de l’intérieur. A noter que l’Allemagne avait pris les devants en autorisant les prières collectives quelques semaines plutôt. Cela a permis aux musulmans d’Allemagne de préparer en amont la prière de l’Aïd. Ainsi, un magasin IKEA a mis à disposition des musulmans son parking afin que les fidèles puissent accomplir la prière dans des conditions saines. Grand bravo à ce magasin IKEA en Allemagne qui a répondu favorable a la communauté musulmane pour étaler la prière de l’Aïd sur son parking afin de respecter la distanciation sociale. Vielen Dank Riad Kaced riadkaced May 24, 2020
Mosquéede la Médine. L'appel à la prière dans les mosqués des musulmans est un grand art du chant . Dès la première mosqué dans l'histoire, les appels à la prière se sont fait d'un lieu en hauteur pour qu' ils soient entendus des croyants alentour . La première mosquée dans l' histoire de la religion musulmane était celle de la
Hélène Kohl et Mélina Facchin, édité par Antoine Terrel 07h41, le 15 octobre 2021, modifié à 07h46, le 15 octobre 2021 REPORTAGELe projet, mené à titre expérimental, devrait durer deux ans. En Allemagne, la ville de Cologne a décidé d'autoriser l’appel à la prière des musulmans tous les vendredis depuis les différentes mosquées de la ville. Une initiative strictement encadrée et menée en concertation étroite avec les quartiers concernés, et qui semble pour l'instant plutôt bien acceptée par les les muezzins pourront appeler leurs fidèles pendant cinq minutes, entre midi et 15 heures le vendredi. Le voisinage devra en être informé en amont par courrier ou avec un affichage. Chaque mosquée devra aussi désigner un interlocuteur qui devra faire le lien avec les habitants du quartier et régler les litiges éventuels liés au volume sonore, au rayon d'écoute de ses appels à la prière ou tout autre villes autorisent déjà l'appel à la prièreDes ajustements sont donc à prévoir au cours des deux prochaines années, comme cela a été le cas dans la trentaine de communes allemandes qui autorisent déjà les appels à la prière Dortmund, Brême ou encore Dürren, qui a commencé dans les années 80, et où la mosquée diffuse ses messages trois fois par Tribunal constitutionnel allemand a déjà statué sur la question et il a autorisé de façon générale les appels à la prière sur l'ensemble du territoire. Là où l'expérience de Cologne est spécifique, c'est que les autorités de la ville ont réussi à imposer la nomination d'un interlocuteur dans les mosquées. C'est une petite brèche dans le système très opaque mis en place par la Turquie et qui contrôle l'essentiel de l'islam en Allemagne."Entendre les cloches sonner, c'est la même chose"Dans les faits, le chant du muezzin ne résonnera pas tout de suite dans la ville de Cologne. Chaque mosquée va d'abord devoir demander une autorisation à la mairie et pour l'instant, seules trois sur 35 se sont manifestées. Mais dans le quartier de la Grande mosquée, le projet ne pose globalement pas de problème aux habitants, pourtant plutôt habitués aux cloches de l'église. "Je suis pour la liberté des religions... Entendre les cloches sonner. Pour moi, c'est la même chose que d'entendre le muezzin chanter", assure une habitante. A certaines conditions quand même... "J'aimerais bien que ce ne soit pas trop fort et en allemand", dit un autre. Pour Moustapha, imam de la Grande mosquée, il n'y a pas de quoi créer une polémique. "Les gens ici sont très ouverts. Porter notre voix à l'extérieur, on accueille ça avec beaucoup de joie", confie-t-il.
Dansson sermon, Koné Dao, l’imam de la mosquée, a appelé les Ivoiriens à demeurer dans la prière pour une Côte d’Ivoire prospère. Il a invité les fidèles musulmans à la tolérance et à accompagner toutes les actions visant la réconciliation et le vivre ensemble entre les populations de la Côte d’Ivoire.
"Dieu pleure, s'il voit ça" dans une grande mosquée de Châteauroux, comme partout ailleurs en France, la prière du vendredi a été dominée par l'attentat contre Charlie Hebdo, et suivie d'un rassemblement dénonçant les auteurs du carnage."Ces gens-là n'ont rien compris à la religion musulmane. C'est un comportement barbare", dit Boumedien Chbani, secrétaire de l'Association cultuelle et culturelle des Marocains de l'Indre ACCMI, qui gère la Mosquée des Bienfaiteurs à Châteauroux, un grand bâtiment récent en forme de halle, surmonté d'un toit en tôle rouge et d'un clocheton, mais sans minaret."Le Coran n'a jamais demandé de tuer", renchérit le président de l'association, Bouchaib Hamdani, deux jours après l'attentat qui a fait 12 morts au siège parisien de l'hebdomadaire la prière et le prêche -en arabe, puis en français- de l'imam marocain Hassan Fadili, faisant l'éloge de la "miséricorde et la compassion" du prophète Mahomet, y compris envers les animaux, les quelque 300 fidèles se rassemblent devant la mosquée, la plus importante des trois lieux de culte musulman de le parking, dans un quartier HLM, ils rejoignent sous un crachin tenace une trentaine de non-musulmans, certains portant des badges frappés du mot d'ordre "Je suis Charlie", en français et en par des fidèles, jeunes et vieux mêlés, en habit de ville ou en gandoura, des banderoles proclament "défendons les valeurs républicaines", "non à la violence", "Condamnation - indignation".Des femmes soutiennent un calicot "l'islam = paix, tolérance, respect". Dans la petite foule, des pancartes comme "le terrorisme n'a pas de religion", "sans foi ni loi"."Celui qui n'est pas miséricordieux envers les hommes n'aura pas droit à la miséricorde d'Allah", avait tonné auparavant l'imam , vêtu d'une djellaba immaculée, du haut du minbar chaire. Stigmatisant des terroristes qui "salissent l'image de l'islam", le religieux a souligné que "nous, les musulmans, nous sommes aussi les victimes directes ou indirectes de tels agissements", avant de mener la prière des fidèles prosternés devant le mihrab, indiquant la direction de la le groupe de fidèles rassemblés face à la mosquée, le vice-président de l'ACCMI, Faouzi Jawadi, appelle sous les applaudissements "tous" les fidèles à participer au rassemblement organisé dimanche devant la appel relayé dans la plupart des mosquées du pays, comme à Paris par l'imam Abdel Qader Achour, de la mosquée de la rue Jean-Pierre Timbaud XIe arrondissement. "Nous allons tous y aller", a assuré à l'AFP un fidèle, Mahmoud 'Patience' face aux provocations -"Oui, j'irai à la manifestation", a proclamé l'imam Chabbar Taieb, de la mosquée Ali, rue du faubourg Saint-Denis à Paris, qui a demandé aux fidèles "de faire preuve de patience face à d'éventuelles provocations anti-musulmanes".A la grande mosquée de Paris, le recteur Dalil Boubakeur a lancé "un appel solennel à tous les musulmans de France pour participer ... à la journée" de manifestation de dimanche."Tout le monde est bouleversé et ému par la tuerie qui a eu lieu à Paris", a déclaré en chaire l'imam Belgacem Ben Saïd, de la mosquée Assalam de Nantes. "En janvier 2006, quand il y a eu les caricatures du prophète Mahomet, nous étions les premiers à condamner ces images et ces caricatures. Mais rien ne peut justifier une telle violence", a-t-il tonné. "A la caricature, nous répondons par la caricature, par un dessin, à un article de presse par un article, à une interview par une interview. Mais on ne répond pas avec les armes. On ne met pas sur le même plan un dessin et une kalachnikov", s'est indigné l'imam Mustafa Riad de la mosquée de l'Union à Montpellier, devant 300 fidèles."Je fais appel à vous, à tous les musulmans de Marseille" pour participer au rassemblement prévu samedi, a lancé du haut de sa chaire l'imam Mohsen N'gazou. "Il faut que la société voie sa composante musulmane participer... avec nos chibanis anciens, nos femmes, nos jeunes" a-t-il Strasbourg, où un millier de fidèles ont pris part à la prière à la Grande Mosquée, l'imam Mohamed Moussaoui a lancé un appel à la "vigilance" pour préserver la "sécurité" de la France. "Malheur à celui qui effraie les gens chez eux ou ailleurs", a-t-il dit. "Nous vivons dans ce pays et il vous incombe à tous de préserver sa tranquillité", a-t-il insisté en souhaitant "que la justice passe"."On est pris en otages entre les extrémistes religieux et les extrémistes politiques", a dit à l'AFP Abdelkarim Ramdane, un jeune conseiller municipal venu assister à la prière qui s'interroge "comment créer des ponts pour éviter de rentrer dans la brèche de violence?"09/01/2015 182459 - Châteauroux AFP - Par Denis ROUSSEAU avec les bureaux de l'AFP - © 2015 AFP
Ily a exactement huit jours, le 1er avril dernier, Valeurs actuelles publiait un article pour expliquer comment certains musulmans, imams ou fidèles, profitaient du confinement pour diffuser l’appel à la prière dans les
Débutée à 9h, la grande prière de la Tabaski a connu la présence de représentants des autres confessions religieuses, venus communier avec leurs frères et sœurs musulmans. La paix », c’est le mot qui était sur les lèvres des fidèles musulmans, en cette matinée de samedi à la Place de nation. Sous la direction de l’imam de la grande mosquée de Ouagadougou, Abdallah Ouédraogo, les fidèles musulmans ont invoqué Allah pour le retour de la paix et la réconciliation au Burkina. L’imam Abdallah Ouédraogo a invité la communauté musulmane à promouvoir le vivre-ensemble. Dans son sermon, l’imam a insisté sur la promotion de la cohésion sociale au Burkina Faso, gage de la paix. Ainsi, il a invité ses frères musulmans à être des acteurs de paix. Des autorités politiques étaient présentes à la prière de l’Aïd-el-Kébir à Ouagadougou. On peut citer les ministres en charge respectivement des Affaires religieuses, de l’Environnement, du Commerce, des Transports et de l’Urbanisme. Le ministre des Affaires religieuses et coutumières, Issaka Sourwèma, a traduit l’accompagnement du gouvernement aux fidèles musulmans. Le ministre des Affaires religieuses, Issaka Sourwèma, a souhaité, au nom du gouvernement, une bonne fête de l’Aïd-el-Kébir aux musulmans. Dans son message, il a rappelé la nécessité de la cohésion sociale. La paix, c’est la règle dans l’islam », a-t-il indiqué, avant de rappeler à la raison tous ceux qui s’en prennent à la nation pour d’autres raisons. Nous invitons ceux-là qui ont pris les armes contre leurs frères et sœurs à savoir raison garder et à revenir à la maison parce que la famille les attend avec impatience », a lancé le ministre à l’endroit des agresseurs du pays. Le président de la communauté musulmane du Burkina, Moussa Kouanda, a appelé à l’union. Le président de la communauté musulmane du Burkina, Moussa Kouanda, a également lancé un message de paix aux fidèles. Il a invité les acteurs politiques à tout mettre en œuvre pour la préservation de la paix au pays des Hommes intègres, au regard de l’évolution de l’actualité. Il a salué la présence des autres communautés religieuses à leurs côtés. Le représentant du souverain pontife au Burkina, le nonce apostolique, Mgr Michaël Crotty, a lui aussi appelé les Burkinabè à l’union. Prions pour la fraternité », a-t-il exhorté. La prière a été marquée par l’immolation du mouton. Le mouton immolé à l’issue de l’office religieux. En rappel, la Tabaski, selon l’islam, est célébrée deux mois et dix jours après la fête de fin du Ramadan. Surnommé fête du mouton », l’Aïd-el-Kebir est une fête religieuse qui rappelle la soumission d’Ibrahim à Dieu, lorsque celui-ci lui demanda de sacrifier son fils Ismaël. Serge Ika Ki
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il appelle les fidèles musulmans à la prière