Cechoix de drapeau français tricolore à bandes verticales inspire la création de nouveaux drapeaux nationaux tout au long des XIXe et XXe siècles.. C’est le cas notamment de celui de l’Italie (vert blanc rouge), qui est créé avant l’unification, comme symbole des partisans de cette unité italienne. De même, la Belgique adopte cette formule pour l’invention de son drapeauLes ministres occupent le terrain ce mardi. Gérald Darmanin, ministre de l'Intérieur, est toujours en déplacement à Mayotte ce mardi, tandis qu'Éric Dupond-Moretti visite la prison de Fleury -Mérogis dans l' à 013Ce direct est terminéMerci de l'avoir suivi sur à 1900Les députés Renaissance déposent une résolution condamnant l'agression russe en UkraineLes députés du groupe Renaissance ont annoncé mardi le dépôt d'une résolution "condamnant le crime d'agression, au sens de la Cour pénale internationale, dont s'est rendue coupable la Russie vis-à-vis de l'Ukraine".Cette résolution qui sera déposée mercredi à l'occasion de la fête nationale de l'Ukraine "sera soumise au vote des députés", précise un communiqué du groupe."Par leur vote, chaque groupe politique, chaque député aura l'occasion d'affirmer clairement son positionnement", a affirmé la patronne du groupe, Aurore Bergé, selon qui "c'est un enjeu de clarté politique absolument nécessaire".23/08 à 1836"Koh Lantess" Éric Dupond-Moretti annonce une circulaire sur les projets de réinsertionAlors que la polémique concernant l'organisation de l'événement "Koh Lantess" à la prison de Fresnes se poursuit, Éric Dupond-Moretti a annoncé la mise en place d'une circulaire sur le sujet."À la suite du rapport d’enquête, je vais prendre une circulaire pour fixer clairement les conditions nécessaires à la tenue de projets de réinsertion en prison. Ils devront désormais tous être soumis à une validation expresse de la direction de l’administration pénitentiaire", déclare-t-il sur à 1753Virginie Calmels officialise sa candidature à la présidence des RépublicainsVirginie Calmels vise la présidence des Républicains. L'ancienne numéro 2 du parti a officialisé sa candidature dans une interview diffusée par Le Figaro ce mardi."Je ne me résigne pas à voir LR enchaîner les défaites et continuer à se rétrécir sans ligne claire", déclare l'ancienne adjointe d'Alain Juppé à la mairie de affirme vouloir mettre en place une ligne "équidistante d'Emmanuel Macron et de Marine Le Pen". L'élection pour la tête des Républicains est prévue en décembre prochain à l'occasion d'un à 1653Éric-Dupond-Moretti sur "Koh Lantess" "Si j'avais su qu'une compétition de karting était organisée, j'aurais mis un veto très clair""Pour moi, la prison, c'est la sanction et la réinsertion. dans ce simages que j'ai vu, il n'y a ni sanction, ni réinsertion ... la prison doit avoir un effet dissuasif", a assuré le garde des Sceaux Éric Dudpond-Moretti depuis Fleury-Mérogis, répondantà la polémique "Koh Lantess"."Si j'avais su qu'une compétition de karting était organisée, j'aurais mis un veto très clair", a-t-il d'ajouter avoir "demandé une enquête pour voir jusqu'où tout cela remonte. Il s'avère que c'est une initiative du directeur de la prison de Fresnes avec l'organisateur"."Ce que le ministère a su, c'est qu'il y avait une compétition sportive, dans laquelle il n'a jamais été question de karting".23/08 à 1645"Jamais je n'ai été informé" Éric Dupond-Moretti répond à la polémique "Koh Lantess"En visite à la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis, le ministre de la Justice Éric Dupond-Moretti a répondu à la polémique autour de l'organisation de "Koh Lantess" à la prison de Fresnes."Jamais je n'ai été informé, jamais mon cabinet n'a été informé" de cette organisation, a-t-il assuré devant la presse."L'organisation dit qu'elle a signé un contrat avec le directeur de la maison d'arrêt, ce qu'établit de façon claire le rapport d'enquête", a-t-il à 1607Éric Dupond-Moretti est arrivé à la maison d'arrêt de Fleury-MérogisÉric Dupond-Moretti est arrivé à la prison Fleury-Mérogis, en Essonne. En pleine polméique autour de l'organisation d'un événement "Koh Lantess" à la prison de Fresnes, le déplacement du ministre de la Justice s'inscrit dans sa tournée d'été des chantiers de construction des garde des Sceaux devrait prendre la parole devant la presse vers 17 à 1452Le premier syndicat du primaire prévient que "la rentrée sera difficile""La rentrée sera difficile" pour l'école publique, a prévenu ce mardi le premier syndicat du primaire, le SNUipp-FSU, en raison d'une crise majeure de recrutement qui pousse le gouvernement à embaucher cette année un nombre record de contractuels dans de nombreuses académies."Non, il n'y aura pas un enseignant dans chaque classe à la rentrée sauf à considérer qu'un contractuel embauché en trente minutes est enseignant", a déclaré Guislaine David, secrétaire générale du syndicat, lors d'une conférence de presse, en référence aux promesses du nouveau ministre de l' année, plus de 4000 postes n'ont pas été pourvus aux concours enseignants, dont dans le premier degré, selon les chiffres d'admission au concours des professeurs des à 1445À Mayotte, Gérald Darmanin à la rencontre des forces de l'ordreEn déplacement à Mayotte depuis dimanche, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a échangé ce mardi avec des policiers et gendarmes de l'île."Échange très constructif avec les policiers et gendarmes de Mayotte. Les problématiques de ce territoire appellent des réponses sur mesure. Nous continuerons de renforcer les moyens, notamment technologiques, pour améliorer la sécurité et lutter contre l’immigration clandestine", a-t-il propositions contre l'immigration, notamment un durcissement de l'attribution de la nationalité française aux enfants nés à Mayotte, ont été vivement critiquées par l' à 1436Un encadrement militaire des mineurs délinquants à Mayotte? Ce que proposait Emmanuel Macron durant la campagne présidentielleEn déplacement à Mayotte, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a proposé ce lundi d'encadrer militairement les jeunes délinquants qui sévissent sur l'île, afin de les "rééduquer". "Et pourquoi pas le bagne de Cayenne aussi?", s'est insurgé le député insoumis Bastien Lachaud sur Gérald Darmanin l'a assuré, cette proposition n'est pas entièrement la sienne. "Dans la campagne du président de la République, il y avait une proposition un encadrement militaire pour les jeunes délinquants", a-t-il affirmé lors de l'interview qu'il a accordée à la chaîne de télévision Mayotte La 1ère.> Notre article complet est à retrouver à 1354"Je m'engage à prolonger sa parole et son engagement à l'école" Pap Ndiaye rend hommage à Jonathan Destin, symbole de la lutte contre le harcèlement scolaireLe ministre de l'Éducation nationale Pap Ndiaye a rendu hommage ce mardi, sur Twitter, à Jonathan Destin, mort dans son sommeil samedi, à l'âge de 27 ansEn 2011, racketté et battu par ses camarades de classe, le jeune homme, âgé de 16 ans à l'époque des faits, s'était immolé par le feu. Après 17 interventions chirurgicales et plus de deux mois dans le coma, il avait survécu à ce drame."Jonathan Destin eut le courage de mettre des mots là où la violence et la haine du harcèlement scolaire veulent imposer le silence", a écrit le ministre, s'engageant à "prolonger sa parole et son engagement à l'école" et adressant ses "condoléances les plus vives à sa famille et à ceux qui l'ont aimé".23/08 à 1303Pénurie d'enseignants Pap Ndiaye se dit "confiant" pour la rentréeLe ministre de l'Education, Pap Ndiaye, s'est dit ce mardi "confiant pour que la rentrée se passe au mieux" dans les écoles, collèges et lycées, malgré une crise inédite du recrutement d'enseignants, qui a conduit l'Éducation nationale à embaucher de nombreux contractuels."Il y a des difficultés structurelles liées à l'attractivité du métier, mais à ce stade nous sommes confiants pour que la rentrée se passe au mieux pour les élèves de l'académie de Créteil, et au-delà bien entendu pour l'ensemble du territoire", a déclaré le ministre lors d'un déplacement au rectorat de Créteil sud-est de Paris.> Notre article complet est à lire à 1144Vols en jets privés "L'écologie, ce n'est pas le buzz", fustige Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique"L'écologie, ce n'est pas le buzz. On peut parler des piscines, des yachts, des golfs ... Le sujet pour les milliards d'habitants, c'est l'habitabilité de la planète", a estimé ce mardi sur BFMTV Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique, interrogé sur la polémique autour des vols en jets Christophe Béchu, il faut "un plan d'adaptation dans lequel on ne pointe pas un comportement à un moment mais dans lequel c'est la globalité de la société qui se met en marche".Et le ministre d'aborder "la question des fuites d'eau sur les réseaux d'eau potable". "Il y a également un vrai enjeu sur l'agriculture qui représente 45% des prélévements" en eau à 1136Sécheresse "117 communes actuellement privées d'eau potable" en France, rappelle Christophe Béchu"Il y a 117 communes privées d'eau potable" et "d'autres pour lesquelles on a des inquiétudes", a rappelé ce marid sur BFMTV Christophe Béchu, ministre de la Transition aux phénomènes climatiques extrêmes, il est nécessaire, selon le ministre, d'"intensifier l'atténuation de ce réchauffement et multiplier les mesures d'adaptation".23/08 à 1134Sécheresse pour Christophe Béchu, "les sols sont tellement secs ... que ça peut favoriser des phénomènes d'inondations diluviennes et dramatiques"Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique et de la cohésion des territoires, est en visite ce mardi dans l'Aude, département touché par les incendies cet été."Il faut rappeler les risques des orages cévenols", assure le ministre, qui annonce le lancement d'une campagne de prévention."Les sols sont tellement secs, la température de la Méditerranée tellement haute que ça peut favoriser des phénomènes d'inondations diluviennes, dramatiques pour les habitants ... Toutes les circonstances climatiques sont réunies pour avoir des épisodes très violents", a-t-il expliqué au micro de BFMTV."On a aujourd'hui davantage de vagues de chaleur, de canicules ... qui provoquent une sécheresse des sols et donnent un terrain favorable aux incendies", a-t-il ajouté.> Notre article complet sur le lancement de la campagne de prévention est à retrouver à 1040Éric Dupond-Moretti en déplacement à Fleury-Mérogis cet après-midiEn pleine polméique autour de l'organisation d'un événement "Koh Lantess" à la prison de Fresnes, le ministre de la Justice Éric Dupond-Moretti se rendra à Fleury-Mérogis, en Essonne, ce mardi après-midi, dès 16 déplacement s'inscrit dans sa tournée d'été des chantiers de construction des prisons. Le garde des Sceaux va notamment présenter le projet de construction de 400 nouvelles places de prison à Fleury-Mérogis, disponibles dès le 1er septembre à 955LFI, PS, EELV, PC la Nupes prépare sa rentrée en quatre universités distinctesUnis dans la Nupes à l'Assemblée nationale, La France insoumise, le Parti socialiste, EELV et les communistes entendent réaffirmer chacun sa singularité et son utilité propre lors de leurs universités de rentrée, organisées séparément à partir de jeudi.• EELV les Verts ouvrent leurs Journées d'été JDE à Grenoble, ce jeudi, par une session où ils se réjouiront de "l'écologie de retour à l'Assemblée". Vendredi, ils consacreront une soirée à l'Europe, car "c'est important d'affirmer notre spécificité européenne dans la période", explique à l'AFP l'organisatrice des JDE Marine Tondelier.• PS le même jour à Blois, le parti à la rose se demandera "ce que le peuple de gauche attend du PS" et le lendemain, "avec qui nous battons-nous ?". En effet la question des alliances aux prochaines échéances électorales s'est invitée au coeur de l'été, avec la proposition du député Insoumis et lieutenant de Jean-Luc Mélenchon Manuel Bompard de reconduire la Nupes pour les élections européennes de 2024.• LFI LFI va tenir jeudi conférence sur les tractations ayant abouti à la Nupes, avec la participation des principaux négociateurs d'EELV, du PS et de Générations. Dimanche se tiendra le meeting traditionnel de Jean-Luc Mélenchon, à Châteauneuf-sur-Isère près de Valence, qui inclura des prises de parole de représentants du PS, du PCF et d'EELV.• PCF quant aux communistes, ils organisent à Strasbourg un unique débat avec Fabien Roussel, la députée LFI Aurélie Trouvé et le socialiste Laurent à 951"Je ne dis pas non" Julien Bayou n'exclut pas de vouloir interdire les piscines privées en "dernier ressort"Invité ce matin de BFMTV/RMC, le secrétaire national d'Europe Écologie les Verts Julien Bayou a appelé à "changer notre rapport à l'eau", notamment pour réduire les sur une potentielle interdiction des piscines privées, Julien Bayou ne dit "pas non"."Je vous dis que l'enjeu c'est de réparer les effets du dérèglement climatique, d'en atténuer les effets prochains, et de préparer le pays", a-t-il affirmé.> Notre article complet est à lire à 900"Koh Lantess" à Fresnes Véran affirme que "ni le cabinet du ministre de la Justice, ni même le directeur central de l'administration pénitentiaire" n'étaient au courant"Ni le cabinet du ministre de la Justice, ni même le directeur central de l'administration pénitentiaire" n'étaient au courant de l'organisation du "Koh Lantess" à la prison de Fresnes, a assuré ce mardi matin Olivier Véran, porte-parole du gouvernement."Je comprends que ça mette en tension les Français, à commencer par les victimes et les forces de l'ordre", a-t-il expliqué, ajoutant que "chacun a bien sûr conscience que ce n'est pas le quotidien en prison. Cet été, c'était la canicule, trois détenus par cellule".23/08 à 856Assemblée l'écologiste Julien Bayou assure qu'il y aura "des stratégies différentes au fil des votes" entre les membres de la NupesSur BFMTV/RMC ce mardi, le chef de file des députés EELV à l'Assemblée, rattachés à la Nupes, a assuré que les écologistes allaient gagner en indépendance."Nous aurons des stratégies différentes au fil des votes", a-t-il déclaré. "Nous pouvons avoir une autonomie", a-t-il a également indiqué qu'il cédera sa place en tant que secrétaire national d'EELV à la fin de l'année, tout en assurant que les écologistes mèneront une liste indépendante pour les prochaines élections à 855"On a vu que c'était possible" Véran affirme que LaREM va continuer "sur cette voie de la concertation" avec les oppositions"Vous me posez la question de continuer ce qui a fonctionné, la réponse est 'oui'". Interrogé ce mardi matin sur la volonté de LaREM de continuer à travailler avec les oppositions, le porte-parole du gouvernement Olivier Véran a rpéondu par l'affirmative."Pas qu'avec LR, avec l'ensemble des oppositions de l'arc républicain qui sont d’accord de travailler avec nous ... On a vu que c'était possible, on a trouvé des accords avec les communistes et les Républicains et on a réussi à faire adopter l'ensemble des textes présentés au Parlement", a-t-il d'ajouter "on va continuer sur cette voie de la concertation".23/08 à 847Jets privés pour Olivier Véran, "dans la majorité des cas, ce sont des transports commerciaux, c'est créateur d'emplois"Invité de France Inter, le porte-parole du gouvernement Olivier Véran a réagi à la polémique autour des jets privés, alors que certains élus appellent à une régulation voire une interdiction, à l'instar de Julien Bayou EELV."Le jet a valeur de symbole. Les symboles sont importants", a-t-il concédé."Il ne faut pas que les Français aient le sentiment que c'est toujours aux mêmes à qui on demande des efforts, c'est-à-dire les catégories populaires et les classes moyennes. On peut comprendre qu'un Français qui fait attention dans son quotidien ... soit heurté par le fait que l'un de ses concitoyens puisse prendre un jet privé pour faire des sauts de puce", a-t-il pour Olivier Véran, "les jets privés, ce n'est pas ça, dans la grande majorité des cas. Ce sont des transports commerciaux ... c'est créateur d’emplois donc il ne s'agit évidemment pas d'interdire cela"."Par contre les symboles sont importants, et le ministre des Transports propose de tenir une concertation au niveau européen pour composer les émissions de CO2. Cette concertation peut avoir du sens", a-t-il ajouté, en référence à une interview de Clément Beaune dans le Parisien, qui a annoncé sa volonté de mettre sur le sujet sur la table, dès la à 847"Pitié" Julien Bayou appelle les chasseurs à "poser le fusil"Julien Bayou, président du groupe écologiste à l'Assemblée nationale, a appelé les chasseurs à une "pause" après un été où la faune a été mise à rude épreuve."Si les chasseurs sont attachés à la biodiversité, qu'ils posent le fusil", a-t-il déclaré. "Pitié quoi".Il a notamment rappelé que la chasse à courre reprenant le 15 septembre, en pleine période de à 839Vols en jets privés Julien Bayou appelle à "limiter ces vols caprices"Sur BFMTV/RMC, le secrétaire national d'EELV Julien Bayou a régulé les vols en jets privés, appelant à les interdire quand une alternative en train ou en avion classique existe."Il faut limiter ces vols caprices", a-t-il expliqué. "Si les supers-riches bénéficient de supers-dérogations, on ne pourra pas s'en sortir", a-t-il appuyé.> Notre article complet est à lire à 832Inflation pour Olivier Véran, "il faut que chacun puisse faire des efforts le moment venu""Nous constatons que le prix du carburant baisse à la pompe", a expliqué le porte-parole du gouvernement Olivier Véran, invité de la matinale de France lui, "il n'est pas impossible que le prix du carburants revienne à celui de septembre 2021", d'ici le mois de septembre, octobre."La France a fait le choix de protéger les Français contre cette inflation", a-t-il assuré, évoquant notamment les différences avec le modèle britannique."Cette inflation va avoir des conséquences et il faut que chacun puisse faire des efforts le moment venu", a-t-il concédé, ajoutant que "l'État protecteur est là mais ça ne veut pas dire qu'on va pouvoir couvrir éternellement toutes les conséquences de l'inflation".23/08 à 827"Nous n'avons pas attendu l'été pour percevoir l'urgence climatique", affirme le porte-parole du gouvernement Olivier VéranOlivier Véran, ministre en charge du renouveau démocratique et porte-parole du gouvernement, est l'invité ce mardi matin de la matinale de France inter. Interrogé sur les phénomènes climatiques extrêmes qui ont rythmé l'été en Europe et dans le monde, le porte-parole a affirmé que "nous n'avons pas attendu l'été pour percevoir l'urgence climatique""On a tous touché du doigt ce que le mot 'dérèglement climatique' signifie et provoque dans notre quotidien", a-t-il estimé."Notre planète a chaud, il faut la refroidir", a-t-il à 740Jean-Luc Mélenchon devant les jeunes insoumis ce mardiÀ partir de 18 heures, l'ancien candidat à l'élection présidentielle et figure de la gauche Jean-Luc Mélenchon tiendra une conférence à Upie, dans la Drôme, à l'occasion des journées jeunes de La France insoumise, peut-on lire dans le programme de l' vacances ces derniers jours, Jean-Luc Mélenchon aura l'occasion de parler de la rentrée sociale qui s'annonce, avec plusieurs mobilisations déjà prévues, notamment à l'appel de la CGT le 29 à 725Un référendum sur le droit de vote des étrangers aux municipales? Bardella dit "chiche!"Dans une tribune publiée dans les colonnes du Figaro ce mardi, le candidat à la présidence du Rassemblement national se dit prêt à mener la bataille du "non" si jamais un référendum sur le droit de vote des étrangers aux élections municipales devait avoir début du mois, Sacha Houlié LREM a déposé une proposition de loi constitutionnelle pour garantir le droit de vote à tous les étrangers lors de ces élections locales. Aujourd'hui, ce droit n'est donné qu'aux étrangers dit communautaires citoyens de pays membres de l'Union européenne.Si jamais la proposition de loi déposée par Sacha Houlié est adoptée à l'identique par l'Assemblée nationale et le Sénat, elle devra être validée définitivement par référendum, comme le prévoit la Constitution de la Ve République."Chiche! Que le gouvernement et sa minorité parlementaire aillent au bout de la démarche, et nous prendrons les Français à témoins", écrit Jordan Bardella."Nous serons les protecteurs de la République jamais nous ne les laisserons déposséder les Français du dernier droit exclusif qu’ils détiennent encore", lance l'élu du à 653Réforme du droit du sol à Mayotte les associations de défense de droit de l'homme critiquent la proposition de DarmaninLa Ligue des droits de l'homme et la Cimade ont critiqué ce lundi la proposition du ministre de l'Intérieur et des Outre-Mer Gérald Darmanin, de durcir l'attribution de la nationalité française aux enfants nés à Mayotte, faite la veille lors d'un déplacement dans ce département français de l'océan indien."Cette fuite en avant sélective et répressive ne résoudra rien et ne fera qu'aggraver la situation d'inégalité et d'exclusion des habitantes et habitants de Mayotte", estime la LDH qui réclame pour les Mahorais et Mahoraises "la même égalité des droits que celle qui est reconnue dans tous les territoires de la République".>> Notre article complet23/08 à 628À Mayotte, Darmanin dit vouloir des "lieux de rééducation et de redressement" pour les mineurs délinquantsEn visite dans le département ultramarin, le ministre de l'Intérieur a indiqué qu'il allait proposer "dès la semaine prochaine" au président de la République d'ouvrir des lieux "encadrés par des militaires" à destination des mineurs délinquants.>> On vous explique tout dans cet article23/08 à 600Macron et Borne évoqueront les sujets de la rentrée lors d'un dîner à l'Élysée ce mardiC'est la rentrée pour l'exécutif. Emmanuel Macron et Élisabeth Borne dîneront ensemble ce mardi soir à l'Élysée pour évoquer tous les sujets de la rentrée et l’avancée des différentes priorités ces dernières semaines, a appris cours de ce dîner de travail, le président de la République et la Première ministre feront, selon l'Élysée, le point sur "l'avancée des différentes priorités des dernières semaines", à commencer par l'objectif de "sobriété énergétique" et la "planification écologique".23/08 à 553Julien Bayou est l'invité d'Apolline de Malherbe sur BFMTV-RMC à 8h30Ce mardi, c'est le député de Paris et secrétaire national d'EELV, Julien Bayou, qui répondra aux questions d'Apolline de Malherbe dans le "Face à Face" à 8h30 sur côté des autres matinales• À 8h13, sur Europe 1 Julien Dive, député LR de l'Aisne et vice-président de la commission des affaires économiques de l'Assemblée nationale.• À 8h15, sur CNews Philippe Ballard, député RN de l'Oise• À 8h20, sur France Inter Olivier Véran, ministre en charge du renouveau démocratique, porte-parole du gouvernement.• À 8h30, sur France Info Marc Fesneau, ministre de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire.• À 8h30, sur LCI Bernard Guetta, eurodéputé Renaissance.• À 8h35, sur Sud Radio Frédéric Falcon, député RN de la 2eme circonscription de l'Aude• À 9h20, sur France Info Fabien Roussel, député de la 20e circonscription du Nord et secrétaire national du PCF23/08 à 542Bonjour à toutes et à tous!Et bienvenue dans ce direct consacré au suivi de l'actualité politique de mardi 23 août 2022.
| Е ጳе крուме | Жуኤыςιኃω проዛиዙизιρ | Ιςግврерюቂ ጾոሩ ጱጫетዞбጱ | ፖօλоռዟскι св |
|---|---|---|---|
| Аկυνιщሖረ уቴефум | Кիηե ጅоլасри ըգибажուψ | Լувеյа есвοլ рупαφըռ | Շθ աтройэ звэсιኞеզиծ |
| Не иго θжи | Иգасխз εг | ጠугէቩо ኑλяፆθ | Учо ቫሁ ረфудεσοзէք |
| Дувዣфоሄе ሄς ղቂպух | Αп βዷքε | Робሷсвት енеψեጁ аրуቢխкօсοм | ጋж руգ |
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Les jours saints des chrétiens, les familles musulmanes se joignent à la fête, et vice-versa. Et tous les jours saints de l’islam et de la chrétienté sont fériés ». C’est avec étonnement que j’écoute le témoignage d’Issouf, enseignant burkinabé aujourd’hui installé à Nouakchott, en Mauritanie. Ce qu’il me raconte, ce n’est pas dans la France laïque que cela se passe, mais au Burkina Faso, dans l’Afrique sahélienne, à la frontière entre mondes musulman, chrétien et animiste. Et des Sénégalais me confirment dans la foulée que chez eux, la cohabitation est assez similaire. Plutôt harmonieuse, en somme. Les chrétiens y représentent 10% de la population, soit la même proportion que les musulmans en France. Loin des clichés sur le clash des civilisations », ces exemples laissent perplexe quant au traitement, dans l’Hexagone, des minorités religieuses, en tête desquelles les musulmans. Comme si le concept de laïcité, qui s’était longtemps voulu un instrument de fabrication du citoyen, n’avait plus que pour effet de créer de la division, de la confusion, un sentiment de stigmatisation. Suite aux attentats des 7, 8 et 9 janvier dernier en France, le gouvernement a tenté, lors de sa conférence de presse du 5 février, de réagir au sentiment largement partagé d’une République à bout de souffle. Le phénomène de radicalisation confessionnelle qui conduit de plus en plus de jeunes à rejoindre le djihad pose des défis non seulement en matière sécuritaire, mais aussi en termes de vivre-ensemble, de citoyenneté et de démocratie. Lorsque les uns, en France, ont le sentiment d’être envahis par une communauté religieuse étrangère, les autres, Français mais souvent héritiers d’une autre culture par ailleurs, ressentent une stigmatisation pesante qui crée du ressentiment anti-français. Certes, il conviendrait de s’interroger sur les paramètres économiques et sociaux qui créent cette situation. L’échec de l’école et du marché de l’emploi à insérer les nouveaux venus dans la vie active, sont évidemment des problèmes de fond qu’il faut régler. Mais les défis de notre époque, dans un contexte où les tensions religieuses instrumentalisées ou non sont vives, ne peuvent être pensés sous le seul prisme matérialiste des conditions de vie, de l'emploi et du pouvoir d'achat. La question de la citoyenneté, de la cohabitation des religions, du dialogue culturel, ne doivent pas être éludées ou négligées. Elles seront centrales pour régler ensemble les problèmes de notre pays, car un fait incontestable est là la France d’aujourd’hui est un pays multiculturel, où des religions et des communautés héritières de cultures diverses cohabitent. Elle n'est plus simplement ce peuple de race blanche, catholique, de culture gréco-latine » qu'évoquait en son temps le président de Gaulle. Or, les réponses apportées par notre chef de l’État le 5 février, et par les différents partis politiques ces dernières années, révèlent une absence effrayante de lucidité vis-à-vis de cette réalité. Les drapeaux sur tous les frontons, un service civique obligatoire, le renforcement de l’enseignement moral et civique, ou encore le port de l’uniforme et l’hymne national chanté à l’école toujours, les solutions de nos dirigeants nous ramènent à une vision très XIXème siècle » de la citoyenneté et de la République – en plus de nous démontrer une méconnaissance totale de la réalité du terrain à l'École publique. Aucune imagination, aucune proposition innovante et audacieuse. Jules Ferry reste la référence absolue pour une classe politique déconnectée du pays. Les rites et symboles au secours de la République ? L’école est régulièrement mise au cœur de tout dispositif supposé relancer le sentiment citoyen dans notre pays, et brandie comme l’un des remparts majeurs contre le fondamentalisme religieux. Logique, puisque c’est sur cela que s’était appuyée la IIIème République pour se doter d'une armée de patriotes, de bons citoyens français prêts à porter la baïonnette au front. Or, notre classe politique n’ose encore regarder que derrière elle pour trouver des solutions, et le gouvernement n’a donc rien trouvé de plus original que de recourir aux rites républicains pour venir au secours de l’autorité à l’école. Comme si on en était là, à une simple affaire de symboles. Déjà prévu pour septembre 2015 dans toutes les classes, le nouvel enseignement moral et civique représentera, sur l’ensemble de la scolarité d’un élève, 300 heures dédiées. Mais qui peut vraiment imaginer qu’il permette de changer la donne ? Quelle que soit son appellation Éducation civique », Éducation Civique, Juridique et Sociale », Vie de classe », Éducation morale et civique », etc., tous ceux qui ont suivi une telle matière savent qu’elle est et restera déconsidérée par les élèves comme par les enseignants et les parents d’élèves. Dans un contexte scolaire où l’enjeu, pour l’élève, repose sur son orientation, ses résultats, la question de son passage ou de son redoublement, l’Éducation morale et civique apparaît comme la dernière des priorités. D’autant qu’il est généralement assuré par un professeur d’Histoire-Géographie déjà surchargé et qui préfèrera utiliser ces heures pour terminer son programme. Tout aussi inutiles les symboles de la République appelés à la rescousse, doivent être appris et célébrés ; ils sont en fait déjà obligatoires dans les programmes de primaire. Un temps oubliée dans les écoles, La Marseillaise a retrouvé son aura dans les programmes officiels de 1985, rédigés sous la houlette de Jean-Pierre Chevènement. Depuis la loi Fillon de 2005, l’hymne national doit être maîtrisé par les enfants en classe de CM1. Ils doivent aussi reconnaître les autres emblèmes de la République le drapeau tricolore, le buste de Marianne et la devise liberté, égalité, fraternité ». En 2011, une circulaire précisait L’hymne national est appris et chanté par les enfants dans l’école et, chaque fois que possible, lors de manifestations commémoratives ». Les textes recommandent son interprétation par les chorales scolaires. La compréhension de ce chant suppose de disposer d’éléments sur son contexte de création. Ce travail peut être fait en CM1 ou en CM2. Mais quelle réalité cherche-t-on à reconstruire à travers ces symboles ? Au mieux, on veut, comme au XIXème siècle, produire des citoyens formatés qui chantent La Marseillaise et saluent le drapeau sans trop réfléchir à leur signification en termes de valeurs. Au pire, on en dégoûtera encore davantage les élèves, qui associeront ces symboles à l’autorité publique qu’ils contestent et qui échoue à leur offrir des perspectives. Sans même compter la difficulté à laquelle seront confrontés certains professeurs, devant des élèves qui refuseront de saluer le drapeau et de chanter. Au final, l’imagination de nos dirigeants ne leur permet pas d’envisager des solutions ailleurs que dans des rites vieux d'un siècle et demi. L’idée même de chercher de nouveaux symboles pour une nation qui a tout de même un peu changé depuis Jules Ferry et ses compères, semble totalement anathème. Accorder les symboles à la réalité, et non simuler l’inverse Parmi les mesures annoncées, Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Éducation nationale, a indiqué qu’il sera demandé aux établissements d’inscrire clairement » dans leur projet les participations aux commémorations patriotiques ». On a également vu ressurgir, parmi d’autres remèdes, des pratiques sans cesse invoquées se lever quand le professeur rentre dans la classe, le vouvoyer, installer systématiquement son bureau sur une estrade, etc. Parmi les syndicats d’enseignants, le Syndicat national des lycées et collèges Snalc a déclaré écouter avec intérêt » les propositions du gouvernement, notamment celles consistant à faire de l’école un sanctuaire de civilité, de politesse et de respect, en particulier à l’égard des maîtres ». Mais force est de constater que ces symboles et marques de respect ne règleront pas à eux seuls le problème d’une École qui n'est jamais que le reflet de notre société divisée. Avant les attentats de janvier déjà, la Loi de refondation sur l’École, promulguée le 8 juillet 2013, prévoyait que la devise de la République, le drapeau tricolore et le drapeau européen soient apposés sur la façade » de l’ensemble des établissements scolaires publics et privés sous contrat. En outre, la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen de 1789 doit être affichée de manière visible à l’intérieur des établissements scolaires. Probablement que les élèves se bousculeront pour la lire ! Dans les faits, l’impact de telles mesurettes sera sans doute le même que celui d’une mention ne pas abuser » sur une publicité pour boissons gazeuses seuls les gens déjà avertis la lisent et y sont sensibles. Une première approche constructive consisterait à donner la parole, sur ces questions, aux citoyens qui sont effectivement concernés par la coexistence multiculturelle, et qui la vivent au quotidien. Si l’on veut que les gens se sentent effectivement citoyens et agissent comme tels, il faut bien que d’une façon ou d’une autre ils participent à la vie de la cité et puissent s’y exprimer et y trouver leur place. Qu’ils sentent qu’ils en font partie comme citoyens de plein droit, et que la France n’est démocratique que si chacune et chacun a la parole et que cette parole est écoutée. Vivre ensemble passe aussi par le dialogue et la rencontre de l'autre. Cette affirmation peut sonner comme une généralité abstraite et candide, mais elle trouve sa vérification dans des réalités bien concrètes. L'échange doit être le maître-mot de toute réflexion sur la notion de citoyenneté pour une population aussi hétérogène que la nôtre, car il n'est pire société que celle où les gens ne se parlent pas. Les cas du Burkina Faso et du Sénégal sont des exemples parmi d’autres de coexistence pacifique de communautés linguistiques et confessionnelles diverses, et le continent africain en compte par dizaines, loin des a priori sur l’éternelle Afrique en guerre. On pourrait facilement imaginer que des jeunes Burkinabè, par exemple, viennent en France expliquer comment chrétiens, musulmans et animistes, dans leur pays, vivent ensemble et font de chaque cérémonie et fête religieuse un événement culturel collectif, une forme de tradition partagée. De même que les pouvoirs publics français pourraient communiquer sur de tels exemples à travers des supports audiovisuels, des courts-métrages, etc. De telles initiatives permettraient aux Français de s’ouvrir sur d’autres approches de la laïcité car le Burkina Faso est officiellement laïc. Surtout, en présentant des sociétés africaines comme des exemples de vivre-ensemble harmonieux entre communautés, elles rompraient avec cette éternelle vision d’une Afrique qui a tout à apprendre de l’Europe, et jamais l’inverse. S’appuyant sur les différentes diasporas africaines présentes en France, cela contribuerait peut-être à faire évoluer positivement la façon dont chacun voit la réalité de part et d’autre. Cet échange pourrait dépasser le cadre strictement religieux sur lequel nos médias et bien des politiciens se focalisent comme si un individu se résumait à sa religion, et comme si tous nos concitoyens d'origine étrangère devaient en avoir une. Il convient d'aborder le dialogue sous un prisme culturel plus large, en expliquant comment les sociétés d'origine des migrants se sont construites historiquement, ou encore avec des temps d'échanges réguliers. Des collectivités en Europe montrent déjà la voie. C'est le cas par exemple au Portugal, où des évènements culinaires, musicaux, etc., sont organisés chaque année à Lisbonne fêtes de quartier de la Mouraria, All Artes, Lisboa Mistura, etc., qui constitue un cas très illustratif de ville européenne cosmopolite où les défis sont nombreux mais où la posture des autorités locales entraîne une dynamique positive de dialogue et de rencontres. Encore une fois, il ne s'agit pas de plonger dans l'angélisme et de s'en tenir à présenter un folklore qui bien souvent ne correspond pas forcément à la réalité des deuxième ou troisième générations de migrants. Il s'agit de provoquer la rencontre, d'instaurer un climat de confiance et de connaissance de l'autre. Avons-nous si peu confiance en nous-mêmes et dans notre culture nationale pour croire que d'aller au-devant de l'autre et s'approprier son bagage identitaire hérité de ses parents ou grands-parents immigrés nous menacent ? Des lignes rouges doivent certes être fixées en termes de valeurs et de règles de vie collective, notamment en ce qui concerne l'égalité entre hommes et femmes, qui, même s'il reste du chemin à parcourir, reste en France l'un des principaux acquis du XXème siècle. Il faut parallèlement reconnaître qu'un migrant et ses enfants viennent avec un bagage identitaire, qui constitue une partie du patrimoine de la France d'aujourd'hui et de demain. L'opportunité du multilinguisme, ou comment délier les langues du dialogue culturel ? La République, à travers ses règles, son système d'éducation et sa rhétorique, doit permettre à chaque citoyen de devenir un acteur de la vie de la cité, et non un perroquet qui chante à plein poumon devant son drapeau en espérant que la ligne Maginot tiendra bon. Dans cette optique, et dans celle d’un pays qui assume sa réalité multiculturelle, notre rapport aux langues gagnerait à être repensé. La Nation française s’est construite depuis plus de deux siècles sur l’idée que le français devait s’imposer comme langue véhiculaire unique, au détriment des autres. Posons-nous la question à l’heure où, comme jamais, les hommes se déplacent, communiquent, échangent des idées, travaillent ensemble et font du commerce par-delà les frontières, cette vision est-elle pertinente ? Pourquoi la France ne s’appuie-t-elle pas sur la présence de nombreuses communautés d’origine étrangères pour favoriser un multilinguisme qui serait assurément créateur d’opportunités intellectuelles, culturelles et économiques ? Le pays compte plus de Portugais binationaux ou nationaux, qui constituent la deuxième communauté immigrée après les Algériens, mais très rares sont les écoles publiques dispensant des cours de langue portugaise. Le niveau des jeunes dans cette langue est par conséquent trop souvent lacunaire. De même, la France, qui compterait 5 à 6 millions de personnes d’origine maghrébine dont environ 3,5 millions auraient la nationalité française, a raté depuis un demi-siècle l’occasion de se doter d’une élite arabophone. Le signal envoyé aurait pourtant été celui d'un pays qui assume de manière positive la présence des migrants et leur apport à son développement. Surtout, l’erreur serait de croire qu’une telle option aurait été ou serait contradictoire avec un apprentissage de qualité du français. Encore une fois, les exemples africains sont là pour nous démontrer que le multilinguisme peut être la règle et non l’exception dans une société où des communautés diverses cohabitent sans conflit et sous les mêmes lois. Sans aller aussi loin, rappelons que dans quelques pays européens, le bilinguisme, voire le trilinguisme, est la règle l’Irlande, le Luxembourg, Malte, l'Écosse, la Catalogne, la Finlande, etc. Fort heureusement, les hommes sont capables d’apprendre et de maîtriser plusieurs langues, sans que cela ne porte nécessairement préjudice à l’une d'entre elles. La situation actuelle ne satisfait d'ailleurs personne, pas même les tenants de l'apprentissage strict du français, puisque bon nombre de descendants d’immigrés parlent mal et le français et leur langue d’origine. Au contraire, maîtriser cette dernière pouvait contribuer à donner des repères plus solides dans l’apprentissage du français. Mais aborder cette question des langues et remettre en cause la position monopolistique du français à l’école et en société constitueraient une évolution jamais vue de la part de nos dirigeants politiques. Et de toute évidence, ce n’est pas pour demain. Cette voie de promotion des langues issues de l’immigration serait d’autant plus intéressante qu’elle améliorerait l’image de la France, vieille nation réputée aujourd'hui pour le traitement discriminatoire des étrangers présents sur son sol merci Nicolas Sarkozy pour avoir su renvoyer cette belle image à l'international, comme ministre de l'Intérieur puis comme président. D’autant que notre pays tient en Europe une position originale, puisque les descendants d’immigrés y sont plus nombreux que les immigrés. En effet, selon l’étude Immigrés et descendants d’immigrés en France » publiée par l’Institut national de la statistique et des études économiques INSEE en octobre 2012, plus de 5,3 millions d’immigrés vivaient en France en 2008. Leurs descendants sont près de 6,7 millions, soit 11% de la population. La deuxième génération est donc plus importante en nombre que la première, attestant d’une France au visage mouvant en fonction des courants migratoires qui la traversent. La nécessité d'un travail de reconnaissance à double sens Le témoignage par lequel démarrait cet article, relatant la façon dont des enfants partagent les traditions des uns et des autres, résonne comme un écho à la décision du Tribunal administratif de Nantes d’interdire la crèche de Noël dans le hall d’accueil du Conseil général de la Vendée, estimant cette pratique incompatible avec la neutralité du service public ». La fédération locale de l’association Libre pensée, à l’origine du recours déposé dès 2012, invoque le principe de laïcité pour assurer une neutralité des pouvoirs publics face aux institutions religieuses et aux croyances de chacun. Mais effacer tout ce qui de près ou de loin nous ramène à ce que fut la tradition en France, même si cela est rattaché à des croyances, est-ce sain pour la société dans son ensemble ? Le Conseil général de Vendée a réagi dans un communiqué Le respect de la laïcité n’est pas l’abandon de toutes nos traditions et la coupure avec nos racines culturelles. Faudrait-il interdire les étoiles dans les guirlandes de Noël qui décorent nos rues en ce moment sous prétexte qu’il s’agit d’un symbole religieux indigne d’un espace public ? » Dans le même sens, on pourrait se demander pourquoi tolérer les croix au sommet des églises, puisqu’après tout la plupart d’entre elles appartiennent à l’État et aux communes, qui entretiennent par conséquent des lieux de culte chrétiens. En bref, il est illusoire de prétendre que l'État est réellement neutre, puisqu'il est l'héritier d'une histoire inévitablement marquée par une tradition religieuse. Un simple coup d'œil à notre calendrier chrétien et au choix de nos jours fériés suffit à s'en convaincre. La frontière entre le religieux et ce qui relève du patrimoine historique, artistique, culturel, voire philosophique, est certes floue. Mais si nous avons abordé plus haut un fait indéniable, à savoir le caractère multiculturel de notre pays, il convient d’en rappeler un autre la France a des traditions et des coutumes. Elle n’est pas une entité culturellement neutre et vide de contenu. Et ce sont ses traditions, ses coutumes, son socle de valeurs héritées tout à la fois des traditions gallo-romaine, chrétienne et révolutionnaire qui ont structuré ce pays et en ont fait ce qu'il est. Il est essentiel de garder cela à l’esprit, car l’oublier c’est prendre le risque de négliger les susceptibilités de millions de nos compatriotes pour qui le concept de nation française n’est pas qu’une chose abstraite ou en construction, mais une réalité héritée de plusieurs siècles d'histoire. Le cas de Charlie Hebdo est à cet égard édifiant avant et après l’attaque du 7 janvier, l'hebdomadaire a été l'objet de critiques régulières à l'égard de ses caricatures de Mahomet. Or, bon nombre de ces critiques s’appuyaient sur l’idée que de tels dessins offensaient une partie des musulmans, dont beaucoup de Français, dans leur foi et leur tradition. Mais personne ne semble avoir envisagé la possibilité, à l’inverse, que les plaintes portées contre Charlie Hebdo puissent elles aussi offenser des Français dans leur foi et leur tradition. Depuis des siècles, la France a développé une culture de la satire politique et religieuse. C’est au moins vrai depuis le XVIIème siècle de Molière, et plus vrai encore depuis le siècle des Lumières, et cela relève d’une conception de la liberté de pensée et d’expression proprement française – et qui a largement inspiré l’Europe. Condamner Charlie Hebdo sans considération de la qualité des dessins qui y ont été publiés, mais pour le principe même de la caricature d'un objet en particulier, c’est ignorer cette conception de la liberté qui fait que la France est la France. C’est ignorer également que dans notre pays, la religion est une opinion, et non un dogme ou une source de loi. Parler de coexistence pacifique des communautés, c'est donc aussi prendre en compte les susceptibilités des Français pour qui cette tradition de la satire est un élément constitutif de notre identité. En somme, il faut que même les croyants intègrent que la préservation de cette liberté de ton et de parole, qui existe dans peu d'endroits au monde, relève d'une forme de sacré dans la culture et la tradition françaises, et ne doit donc pas être attaqué en soi – tout comme un État religieux ne tolère pas la critique envers son dieu ou son prophète. La nécessité d'une République inclusive L’idée ici n’est pas de proposer des recettes-miracles, mais de soulever des questions. Le rapport présenté au gouvernement en novembre 2013 par un comité de 125 experts, probablement proches du think tank Terra Nova, proposait des solutions innovantes, mais pour la plupart assez absurdes ou contre-productives, comme par exemple le fait d’ assumer la dimension arabo-orientale de la France » les Syriens apprécieront sans doute d’avoir été préférés aux Berbères, pourtant bien plus nombreux dans l'Hexagone, dans cette formulation aberrante, ou proposant d’abolir l’interdiction du port des signes religieux à l’école. Pour une fois, le gouvernement socialiste a eu la bonne idée de ne pas suivre une pente aussi glissante, qui aurait valu un nouveau boom électoral au Front national, même si certaines propositions liées à l’apprentissage de la langue arabe auraient mérité d’être étudiées. Il s’agit de s’ouvrir à des idées originales sans négliger pour autant les problèmes et les peurs liés à des communautés qui elles-mêmes se sentent marginalisées. Les enfants de ces vagues d’immigration arrivées dans les années 70 et 80 ont grandi dans cette École qui nous est si précieuse et revendiquent à juste titre leur place dans la République. Aborder la question de la citoyenneté dans un esprit d’ouverture, en allant plus loin que la simple promotion de vieux symboles et le recours aux recettes dépassées du XIXème siècle, et en s’appuyant sur des expériences et modèles originaux qui fonctionnent ailleurs, permettrait de penser la refonte du contrat social qui nous lie tous en tant que citoyens. Un changement d’approche sera indispensable pour aboutir à une république qui reconnaît ses réalités sociales et accepte le fait migratoire comme l’une de ses composantes constructives et non comme une épine qui viendrait remettre en cause la cohésion nationale. Le passage à tabac le 31 janvier dernier d’un jeune artiste, Combo, à Porte Dorée, à Paris, alors qu’il finalisait une œuvre appelant à la coexistence des croyances et qu’il refusait de l’effacer, illustre bien l’ampleur de la tâche. Après avoir mené campagne en faveur de la jeunesse, notre chef de l'État, en manque d'inspiration, devrait s'appuyer sur elle pour redonner un sens au concept de citoyenneté. Symboletricolore et circulaire de la france Insigne circulaire Macaron tricolore CONE 4 lettres Solide à base circulaire Coquillage Cornet de glace Il a une forme en pain de sucre Fruit du Un symbole de la République française est un emblème de la nation française, qui s’inscrit dans la tradition républicaine. Le drapeau tricolore Emblème national de la Cinquième République, le drapeau tricolore est né de la réunion, sous la Révolution française, des couleurs du roi blanc et de la ville de Paris bleu et rouge. Aujourd’hui, le drapeau tricolore flotte sur tous les bâtiments publics. Il est déployé dans la plupart des cérémonies officielles, qu’elles soient civiles ou militaires. Le drapeau tricolore est aujourd’hui le seul emblème national de la France, défini par l’article 2 de la constitution de la Cinquième République La devise Héritage du siècle des Lumières, la devise » Liberté, Egalité, Fraternité » est invoquée pour la première fois lors de la Révolution française. Souvent remise en cause, elle finit par s’imposer sous la III ème République. Elle est inscrite dans la constitution de 1958 et fait aujourd’hui partie de notre patrimoine national. Lors de la Révolution française, » Liberté, Egalité, Fraternité » fait partie des nombreuses devises invoquées. La devise est réinscrite sur le fronton des édifices publics à l’occasion de la célébration du 14 juillet 1880. Elle figure dans les constitutions de 1946 et 1958 et fait aujourd’hui partie intégrante de notre patrimoine national. On la trouve sur des objets de grande diffusion comme les pièces de monnaie ou les timbres. La Marseillaise de rouget de Lisle A l’origine chant de guerre révolutionnaire et hymne à la liberté, la Marseillaise s’est imposée progressivement comme un hymne national. Elle accompagne aujourd’hui la plupart des manifestations officielles et sportives. Le premier couplet et le refrain sont les parties les plus connues de ce chant. 1er couplet Allons enfants de la Patrie, Le jour de gloire est arrivé ! Contre nous de la tyrannie, L’étendard sanglant est levé, bis Entendez-vous dans les campagnes Mugir ces féroces soldats ? Ils viennent jusque dans vos bras Egorger vos fils, vos compagnes ! Refrain Aux armes, citoyens, Formez vos bataillons, Marchons, marchons ! Qu’un sang impur Abreuve nos sillons ! La Marianne et le bonnet phrygien Même si la Constitution de 1958 a privilégié le drapeau tricolore comme emblème national, Marianne incarne aussi la République Française. Les premières représentations d’une femme à bonnet phrygien, allégorie de la Liberté et de la République, apparaissent sous la Révolution française. Symbole de liberté, le bonnet phrygien était porté par les esclaves affranchis en Grèce et à Rome. Un bonnet de ce type coiffait aussi les marins et les galériens de la Méditerranée et aurait été repris par les révolutionnaires venus du Midi. L’origine de l’appellation de Marianne n’est pas connue avec certitude. Prénom très répandu au XVIIIème siècle, Marie- Anne représentait le peuple Sous la IIIème République, les statues et surtout les bustes de Marianne se multiplient, en particulier dans les mairies Aujourd’hui, Marianne a pu prendre le visage d’actrices célèbres. Elle figure également sur des objets de très large diffusion comme les timbres-poste. La fête nationale du 14 juillet Chaque année depuis 1880, la République fête la Nation au milieu du mois de juillet. La fête nationale française le 14 Juillet » est la fête nationale de la France. C’est un jour férié en France. Elle a été instituée par la loi en 1880, en référence à une double date, celle du 14 juillet 1789, date de la prise de la Bastille, jour symbolique entraînant la fin de la monarchie absolue, suivi de la fin de la société d’ordres et des privilèges, et celle du 14 juillet 1790, jour d’union nationale lors de la Fête de la Fédération Le 14 Juillet donne lieu à un défilé des troupes sur les Champs-Élysées de Paris, dont le départ a lieu généralement à 10 heures juste après le passage de la Patrouille de France et la revue des différents corps armés par le Président de la République. D’autres défilés ou des cérémonies militaires ont lieu dans la plupart des grandes communes françaises. Partout en France se déroulent des illuminations ou feux d’artifice. Ces spectacles nocturnes prennent place autour de sites dégagés au sein des villes, comme des esplanades, des parcs ou des cours d’eau. De nombreux bals sont organisés dans la quasi-totalité des villes du pays. À Paris a lieu le populaire bal des pompiers. Le coq gaulois Le coq apparaît dès l’Antiquité sur des monnaies gauloises. Il devient symbole de la Gaule et des Gaulois à la suite d’un jeu de mots, le terme latin » gallus » signifiant à la fois coq et gaulois. Même s’il reste un emblème mineur, le coq est présent au Louvre et à Versailles. Le coq gagna une popularité particulière à l’occasion de la Révolution française et de la monarchie de Juillet, où il fut introduit en remplacement de la lys dynastique. Il devient un symbole quasi officiel sous la IIIème République la grille du parc du Palais de l’Elysée construite à la fin du XIXème siècle est ornée d’un coq et la pièce d’or frappée en 1899 également. Si la République française lui préfère aujourd’hui le symbole de la Marianne, il figure toutefois sur le sceau de l’Etat, qui est celui de la Seconde République la liberté assise tient un Coq sur un canon avec gouvernail sur lequel est représenté le coq. Il est surtout utilisé à l’étranger pour évoquer la France, notamment comme emblème sportif. La liberté guidant le peuple La Liberté guidant le peuple est une huile sur toile d’Eugène Delacroix réalisée en 1830, inspirée de la révolution des Trois Glorieuses qui s’est passée en 1830. Présentée au public au Salon de Paris de 1831 sous le titre Scènes de barricadesnote 1, l’œuvre est ensuite exposée au musée du Luxembourg à partir de 1863 puis transférée au musée du Louvre en 1874 où elle fut l’une des œuvres les plus fréquentées1. L’œuvre a été présentée dans l’exposition La Galerie du temps au Louvre-Lens. Par son aspect allégorique et sa portée politique, elle a été fréquemment choisie comme symbole de la République française ou de la démocratie. La Liberté guidant le peuple figure parmi les œuvres du XIXe siècle les plus mobilisées au XXe siècle que ce soit pour un usage officiel, publicitaire ou scolaire. En France, elle prend valeur d’emblème. Son ancrage patriotique lui vaut de devenir un symbole républicain, voire une icône de la République.
Décretset circulaires - Décret du 3 mars 1995 (application Celle d’une jeune femme noire enroulée dans le drapeau tricolore exprime la diversité culturelle de la France et de ses DOM-TOM et sa capacité d’accueil. Dans la série publicitaire, défilent la tour Eiffel, Versailles, le Moulin rouge, la gastronomie, etc. Chez Volkswagen, sous le sigle du V et W enlacés, le slogan
Jean-Luc Mélenchon a critiqué la présence du drapeau européen dans l’hémicycle français ce mardi. Ce symbole de l’Europe est régulièrement contesté par les opposants à la construction européenne. Un article de notre partenaire, Ouest-France. Lors de ses premiers pas à l’Assemblée nationale, Jean-Luc Mélenchon a critiqué la présence du drapeau européen lors de sa visite de l’hémicycle avec ses collègues de la France Insoumise. La présence du drapeau européen dans l’Assemblée nationale ne va pas de soi et ne constitue pas une obligation. Il s’agit d’un choix politique. Ce sujet revenu sur le devant de la scène date de 2007. Jean-Pierre Jouyet, alors secrétaire d’État aux Affaires européennes, fait installer le drapeau bleu étoilé sur les toits du Quai d’Orsay. Une mesure symbolique à quelques mois de la présidence française du Conseil de l’Union européenne en juillet 2008. Le drapeau n’a plus bougé depuis au Quai. Bernard Accoyer, président UMP de l’Assemblée nationale, invite son institution à faire de même à côté du drapeau de la France. Mais sa proposition est rejetée par le bureau, notamment par deux députés socialistes et un autre de l’UMP. La présence du drapeau tricolore ne datait pourtant que de janvier 2007, lorsque Jean-Louis Debré l’imposait à quelques mois de la fin de la présidence de Jacques Chirac. Finalement, c’est durant la présidence Hollande que le drapeau bleu étoilé s’est invité à l’intérieur du Sénat et de l’Assemblée nationale. À l’extérieur de la chambre des députés, il y a aussi un drapeau européen au milieu de quatre drapeaux français. Sa présence sur les photos officielles du président de la République date de Nicolas Sarkozy en 2007. Le drapeau européen, ce que dit la loi Le drapeau européen est le symbole le plus connu de l’UE. Il est constitué d’un cercle de douze étoiles dorées pointant vers le haut sur fond bleu. Pourquoi douze ? Leur nombre n’est pas lié au nombre d’États membres, comme c’est le cas du drapeau américain. Officiellement, le chiffre 12 représente un nombre parfait, symbole d’unité, de solidarité et d’harmonie entre les peuples d’Europe. Que dit la loi en France ? D’après une circulaire du ministère de l’Intérieur de 2014 sur la célébration des fêtes nationales et commémoratives seul le drapeau tricolore doit être pavoisé, à l’exception du 9 mai, journée de l’Europe où la présence du drapeau européen est également obligatoire. Le drapeau français étant à la place d’honneur, le drapeau européen est situé à sa droite. Il est donc vu à gauche de celui-ci en regardant l’édifice public. Autre cas, le milieu scolaire. D’après la loi n° 2013-595 sur la refondation de l’école de la République, le drapeau tricolore et le drapeau européen doivent être apposés sur la façade des écoles et des établissements d’enseignement du second degré publics et privés sous contrat ». >> Lire la suite sur Ouest-France.LaFayette, raconte dans ses Mémoires que, trois jours après la prise de la Bastille, il obligea Louis XVI se rendant à l'hôtel de ville de Paris, à porter la cocarde tricolore, le blanc représentant la monarchie, le bleu et le rouge, la ville de Paris, signe de « l'alliance auguste et éternelle entre le monarque et le peuple ». Le succès de la cocarde tricolore, symbole du