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Presque quarante jours consĂ©cutifs au-dessus des normales de saison la chaleur qui s’est installĂ©e en France au printemps dure de façon inhabituelle, un phĂ©nomĂšne appelĂ© Ă  devenir plus frĂ©quent avec le changement climatique, et qui accentue le risque de pĂ©riode de chaleur exceptionnelle dure depuis le 11 avril. Selon une note de MĂ©tĂ©o France publiĂ©e jeudi 19 mai sur son site, le nombre de jours consĂ©cutifs oĂč la moyenne des tempĂ©ratures en France mĂ©tropolitaine a dĂ©passĂ© quotidiennement les normales saisonniĂšres a atteint 38 jours mercredi, Ă©galant un record d’avril-mai 2007, et effaçant la sĂ©rie de 37 jours enregistrĂ©e Ă  la mĂȘme Ă©poque en 2020. Initialement, MĂ©tĂ©o France avait indiquĂ© sur son site que le dernier record datait de suite aprĂšs la publicitĂ©SĂ©cheresse, chaleur... L’impact sur les rĂ©coltes est irrĂ©versible, nous sommes au bord d’une crise »Les normales saisonniĂšres sont calculĂ©es sur la pĂ©riode de rĂ©fĂ©rence 1981-2010. Avec les tempĂ©ratures attendues au moins jusqu’en dĂ©but de semaine prochaine », cette durĂ©e record au-dessus des normales est appelĂ©e Ă  ĂȘtre encore battue, avance l’établissement public, alors que la journĂ©e de jeudi a de nouveau Ă©tĂ© marquĂ©e par des tempĂ©ratures trĂšs Ă©levĂ©es 31 °C Ă  Lyon Ă  16 heures, 26 °C Ă  Paris, 29 °C Ă  Clermont-Ferrand
 Des records battus ou Ă©galĂ©sMercredi, plusieurs records de tempĂ©rature maximale ont Ă©tĂ© battus ou Ă©galĂ©s dans le sud du pays, comme Ă  Albi, Toulouse ou le dĂ©but du mois, l’anomalie » de tempĂ©rature moyenne observĂ©e sur la France atteint lĂ©gĂšrement plus de 3 °C et MĂ©tĂ©o France estime fort probable » que mai 2022 devienne le mois de mai le plus chaud depuis l’aprĂšs-guerre, dĂ©trĂŽnant ainsi le record de 2011 avec une anomalie de +1,85 ° suite aprĂšs la publicitĂ©Avec le dĂ©rĂšglement climatique de la planĂšte, les pĂ©riodes de chaleur sont amenĂ©es Ă  devenir plus frĂ©quentes et tendent Ă  s’installer plus tĂŽt au printemps. SĂ©cheresse Si nous ne changeons pas de cap, la France ressemblera dans dix ans Ă  la Californie »MĂ©tĂ©o France souligne en outre que les pics s’observent non seulement au plus chaud de la journĂ©e, mais aussi au plus bas. Ainsi, la France a vĂ©cu sa nuit la plus chaude pour un mois de mai, entre mercredi et jeudi, avec une tempĂ©rature minimale moyenne autour de 16,5 °C, un peu plus que le prĂ©cĂ©dent record du 29 mai 2017. On constate qu’on a battu ce record national dix jours avant le prĂ©cĂ©dent, en milieu de mois de mai », relĂšve MĂ©tĂ©o France, qualifiant l’évĂ©nement de remarquable ».35 ou 36 °C ce week-endLa sĂ©cheresse guette le gouvernement a publiĂ© mercredi une carte oĂč 22 dĂ©partements apparaissent en rouge, c’est-Ă -dire avec un risque trĂšs probable » de sĂ©cheresse d’ici Ă  la fin de l’étĂ©, principalement dans le Sud-Est et l’Ouest. Des dizaines d’autres dĂ©partements ont un risque probable ». La carte prend en compte la baisse des niveaux des riviĂšres et des lacs, la pluviomĂ©trie, et surtout l’état actuel des nappes souterraines et de l’humiditĂ© des suite aprĂšs la publicitĂ©Les arrĂȘtĂ©s de restriction d’eau se multiplient dans le pays. La prĂ©fecture du RhĂŽne a ainsi annoncĂ© jeudi avoir placĂ© les eaux superficielles du dĂ©partement et de la MĂ©tropole de Lyon en situation de vigilance sĂ©cheresse », appelant les usagers Ă  une utilisation Ă©conome » de l’eau. Les prĂ©cipitations irrĂ©guliĂšres du printemps 2022 n’ont pas Ă©tĂ© suffisantes pour maintenir une situation normale des cours d’eau dont les dĂ©bits diminuent sans perspective d’amĂ©lioration Ă  court terme », explique la prĂ©fecture dans un °C dans le Sud mercredi, nuit de mai la plus chaude
 ces records de chaleur battus en FranceCĂŽtĂ© mĂ©tĂ©o, aprĂšs des orages jeudi, le temps sera Ă  nouveau bien agitĂ© vendredi avec des orages assez forts attendus qui traverseront le nord du pays. MĂ©tĂ©o France prĂ©voit une nouvelle accentuation de la chaleur » pendant le week-end dans le Sud-Ouest. Le thermomĂštre devrait dĂ©passer 35 °C dans de nombreuses villes, avec parfois des pointes Ă  36 °C samedi, 37 Ă  38 °C trĂšs localement dimanche ». Le record mensuel de chaleur serait alors susceptible d’ĂȘtre battu il est de 36,2 °C Ă  Dax dans les annales du rĂ©seau principal de MĂ©tĂ©o France.L’épisode de chaleur ne correspond toutefois pas Ă  la dĂ©finition technique d’une vague de chaleur ». Pour cette catĂ©gorisation, l’indicateur thermique national », moyenne de tempĂ©ratures relevĂ©es en 30 points rĂ©partis sur tout le territoire mĂ©tropolitain, doit dĂ©passer 25,3 °C pendant trois jours consĂ©cutifs. Il ne faut pas non plus parler de canicule », qui inclut des critĂšres de tempĂ©rature nocturne.
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Lepic de chaleur : chaleur intense de courte durĂ©e (un ou deux jours) prĂ©sentant un risque sanitaire, pour les populations fragiles ou surexposĂ©es, notamment du fait de leurs conditions de travail et de leur activitĂ© physique ; il peut ĂȘtre associĂ© au
Category Archives ZZZ avec n° du nouvel ABC BaĂŻonnette N°7 MKI N 189 » Longueur 310 mm DiamĂštre interne de la douille 22,5 mm Poids 390 g Fusil Lee-Enfield N°4 MKIPM Sten MK5 photo trouvĂ©e sur internet Armement fusil Lee-Enfield n°4 MkI/ PM Sten MK5 Valeur €€€ € RaretĂ© Lors de sa conception, ce modĂšle uniquement destinĂ© Ă  l’armĂ©e de terre Ă©tait censĂ© remplacer la baĂŻonnette n°4 clou » trĂšs peu apprĂ©ciĂ©e par ces utilisateurs, car peu fonctionnelle. GrĂące Ă  sa lame d’excellente qualitĂ© de type Bowie, il pouvait ĂȘtre utilisĂ© comme poignard de combat. Initialement, la baĂŻonnette n°7 MKI/Land Ă©tait destinĂ©e Ă  ĂȘtre utilisĂ©e avec le PM STEN MK5. Cependant, Ă  partir d’octobre 1947. Il a Ă©tĂ© prescrit de l’utiliser Ă©galement avec les fusils SMLE n°4 nouvellement fabriquĂ©s, mais plusieurs incidents impliquant des balles frappant l’anneau de la bouche ont eut lieu. Entre temps la baĂŻonnette n°9 a Ă©tĂ© adoptĂ©e et l’utilisation de la baĂŻonnettes n°7 dĂ©finitivement abandonnĂ©e. Elle a ensuite Ă©tĂ© utilisĂ©e jusque dans les annĂ©e 1970, uniquement par la brigade de la garde, essentiellement auprĂšs des musiciens lors de cĂ©rĂ©monies officielles. La baĂŻonnette de service N°7 MkI a Ă©tĂ© conçue en 1944 et seulement 176 000 ont Ă©tĂ© produites. Sa conception a Ă©tĂ© perfectionnĂ©e par Wilkinson Sword Co., qui a produit 1 000 baĂŻonnettes en 1944 et la production ultĂ©rieure a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e par quatre autres fabricants de 1945 Ă  1948. SystĂšme de verrouillage du pommeauToutes les parties mĂ©talliques sont peintes en noirSystĂšme de verrouillage Ă  l’arme La poignĂ©e est munie de plaquettes faites d’un composite Ă  base de tissu imprĂ©gnĂ© de rĂ©sine appelĂ© Paxolin, elles sont maintenues entre elles par vis et Ă©crous fendus. Les plaquettes qui peuvent ĂȘtre de couleur diffĂ©rente marron, rougeĂątre, noire comportent trois profondes rainures Ă©pousant la forme des doigts lors d’une Ă©ventuelle utilisation comme poignard de combat. Son pommeau peut pivoter de 180° pour une utilisation comme baĂŻonnette ou comme poignard. La croisiĂšre identique au modĂšle n°5 MKI, est munie d’une bague de diamĂštre interne trĂšs important inutile lors de la mise en place sur l’arme. Code M/78″sur le pommeau La conception initiale a Ă©tĂ© perfectionnĂ©e par la Wilkinson Sword Co., qui produit 1 000 baĂŻonnettes en 1944. La production de sĂ©rie de ce modĂšle officiellement adoptĂ© le 21 janvier 1945, a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e par quatre fabricants, de 1945 Ă  1948 Ă  176 000 exemplaires. Birmingham Small Arms, Ltd. 25 000 ex code M47B ». Elkington & Co. Ltd, Birmingham 20 000 ex code M-78 ». Royal Ordnance Factory, Poole 30 000 ex code P » Ă  l’intĂ©rieur d’un petit cercle. Royal Ordnance Factory, Newport 100 000 ex code inconnu. DĂ©signation n°7 MK 1/L» La lame Bowie, bien proportionnĂ©e comporte une gouttiĂšre de forme carrĂ©e sur chaque face assez prononcĂ©e. Son tranchant est affĂ»tĂ© sur toute la longueur, le contre-tranchant est biseautĂ© sur les deux faces. Cette lame Ă©galement utilisĂ©e avec la baĂŻonnette N°9, Ă©tait trĂšs apprĂ©ciĂ©e par ses utilisateurs pour la rĂ©alisation de diverses tĂąches. Sa finition est gĂ©nĂ©ralement polie brillant sauf sur quelques cm prĂšs de la gouttiĂšre peints en noir. Ce profil particulier de lame a pour inconvĂ©nient de ne pas ĂȘtre rĂ©versible lors de la mise en place de la baĂŻonnette dans le fourreau. Fourreau n°5 MKI muni d’une cuvette en acierFourreau codĂ© S 294 Wilkinson Sword Co, Ltd , Ă  partir de 1949 ce systĂšme de codage S et chiffres a disparu Fourreau n°5 MKII avec corps codĂ© S 286 Vanden Plas EnglandFourreau n°5 MKII avec cuvette en laitonExtrĂ©mitĂ© percĂ©e d’un fourreau n° MKII La baĂŻonnette n°7 MKI peut ĂȘtre logĂ©e dans deux types de fourreaux mĂ©talliques. Le fourreau n°5 MKI produit Ă  partir de 1943 Ă©tait composĂ© de cinq Ă©lĂ©ments Un corps mĂ©tallique Un double ressort de maintien de lame Une fine cuvette d’entrĂ©e en acier Une vis de maintien de la cuvette et du double ressort Un embout d’extrĂ©mitĂ© Le fourreau n°5 MKII produit Ă  partir de 1949 Ă©tait composĂ© de quatre Ă©lĂ©ments Un corps mĂ©tallique avec extrĂ©mitĂ© percĂ©e Un double ressort de maintien de lame Une cuvette d’entrĂ©e en laiton avec lĂšvres proĂ©minentes Une vis de maintien de la cuvette et du double ressort Les porte-fourreaux utilisĂ©s pour ce modĂšle sont, voir Porte-fourreaux Grande-Bretagne N° GB 19 A, B, C, D, D*. Le 31/03/21. ZZZ avec n° du nouvel ABC admin % Comments Category Archives ZZZ avec n° du nouvel ABC BaĂŻonnette G3 1975 N 190 » Longueur 310 mm Ăž interne de la douille 22 mm Ăž externe du tenon 10 mm Poids 265 g Armement Gevaer M/75 de type Heckler & Koch G3 Fixation au dessus du canon Valeur €€€ RaretĂ© Ce modĂšle fabriquĂ© par AES a Ă©tĂ© utilisĂ© par les forces armĂ©es danoises, il est entrĂ© en service Ă  la fin des annĂ©es 1970, avec le fusil H & K G3A5. L’entreprise AES A. Eickhorn GmbH & Co. a Ă©tĂ© fondĂ©e en 1976 par Annette Eickhorn et elle Ă©tait dirigĂ©e par Jörg Eickhorn. Cette entreprise a dĂ©veloppĂ© sa propre marque, trois hexagones contenant les lettres A», E» et S.». AES a produit des baĂŻonnettes G3 pour la Bundeswehr et pour l’exportation, des copies de la baĂŻonnette FAL de type C, et des copies de la baĂŻonnette amĂ©ricaine M7 qui comportaient une poignĂ©e monobloc. AES a Ă©galement produit de nombreuses variantes du modĂšle KCB-77. Cette usine a fabriquĂ© des baĂŻonnettes pour les pays de l’OTAN qui pouvaient s’adapter Ă  diffĂ©rents types d’armes. Marquages HMAK sous couronne HĂŠrens Materiel Kommand Army Materiel Command La poignĂ©e ronde monobloc en plastique de couleur noire comporte sept rainures, elle intĂšgre prĂšs de la douille une protection anti-chaleur en tĂŽle de 15×23 mm. Le pommeau en plastique fait partie de la poignĂ©e, par rapport Ă  la bague, vue arriĂšre le crochet intĂ©grĂ© au tenon de verrouillage se situe Ă  environ 3 heures. La croisiĂšre ainsi que la bague de ce modĂšle sont spĂ©cifiques au niveau de l’épaisseur. La poignĂ©e prĂšs de la croisiĂšre est munie de deux petites encoches destinĂ©es Ă  bloquer le crochet du ressort plat situĂ© Ă  l’arriĂšre du fourreau d’origine allemand. La lame de type US M4 ne comporte aucun marquage. Le fourreau pourvu du double crochet de type US, est constituĂ© d’un corps de forme angulaire en plastique moulĂ© noir, le trou destinĂ© Ă  Ă©vacuer l’eau dĂ©bouche directement sur celui utilisĂ© pour le passage du lacet de maintien. La chape en tĂŽle d’acier, est maintenue au corps par emboutissage. Un dispositif de verrouillage extĂ©rieur ressort Ă  lame muni d’un crochet pliĂ© Ă  l’arriĂšre, permet de bloquer correctement la baĂŻonnette dans le fourreau. A l’arriĂšre de la chape, une corniĂšre en forme de L sert d’appui Ă  la suspension en coton tissĂ© webbing, qui est maintenue par deux rivets emboutis. La sangle utilisĂ©e pour le maintien de la baĂŻonnette est fixĂ©e Ă  l’aide d’un rivet sur la suspension, elle se verrouille grĂące Ă  un bouton pression. Le 15/08/20. ZZZ avec n° du nouvel ABC admin % Comments Category Archives ZZZ avec n° du nouvel ABC BaĂŻonnette modĂšle SIG 90 N 194 » BaĂŻonnette SIG90 avec casque M-1971 Longueur 310 mmĂž interne de la bague 22 mmPoids 290 g Armement fusil Sturmgewerhr 90Valeur €€€RaretĂ© Bien que le systĂšme de fixation du poignard-baĂŻonnette SIG57 soit compatible avec le fusil STG90, un nouveau poignard-baĂŻonnette a Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ© Ă  partir de 1988. ComparĂ© au M-57, trĂšs mal conçu pour le combat rapprochĂ©, le M-90 muni d’une poignĂ©e ergonomique et d’une lame courte est beaucoup plus efficace. Ce modĂšle a uniquement Ă©tĂ© assemblĂ© Ă  la Waffenfabrik de Berne. Comme pour le M-57, le gouvernement suisse a autorisĂ©, pour Ă©viter tous conflits, la fabrication des lames Ă  deux entreprises, la moitiĂ© Ă  Wenger jusqu’en 2005 et l’autre Ă  Victorinox Victoria Schwyz. En 2005, Victorinox achĂšte son principal concurrent Wenger SA, les deux entreprises restent gĂ©rĂ©es de maniĂšre indĂ©pendante jusqu’en 2014. La poignĂ©e comporte deux plaquettes nervurĂ©es en polymĂšre vert, fixĂ©es Ă  la soie par deux vis et Ă©crous, sa couleur est identique au fusil STG90. Le pommeau en acier Ă©vidĂ© au milieu, dans lequel se loge le tenon de l’arme comporte un bouton de verrouillage en acier qui coulisse de haut en bas, ainsi qu’un ressort logĂ© dans une petite piĂšce en plastique. La lame de type Bowie, en acier inoxydable anti-reflet ne possĂšde qu’un seul tranchant sur la face droite. Le nom d’un des deux constructeurs de la lame y est inscrit en toutes lettres, seuls les 2 000 premiers modĂšles de la sĂ©rie possĂšdent un n° sur le cĂŽtĂ© gauche. Le fourreau est constituĂ© d’un corps en plastique de couleur verte, avec trou Ă  l’extrĂ©mitĂ© permettant Ă  l’eau de s’évacuer. La chape d’entrĂ©e en acier est sertie sur le corps. Un porte-fourreau vert, en plastique renforcĂ© de tissu, et de rivets en aluminium, a spĂ©cialement Ă©tĂ© conçu pour ce modĂšle, il se fixe sur le pontet. Les porte-fourreaux utilisĂ©s pour ce modĂšle sont, voir Porte-fourreaux suisses N° SUI 19 B ou A. Fiche technique La baĂŻonnette est constituĂ©e de 15 Ă©lĂ©ments une lame, une croisiĂšre, un pommeau, deux plaquettes, un bouton, un ressort, une petite piĂšce en plastique, trois goupilles, deux vis et Ă©crous. La fixation atypique de la croisiĂšre Ă  la soie par une goupille, exige des cotes d’usinage assez prĂ©cises, la prĂ©sence du troisiĂšme trou dans la soie reste inexpliquĂ©e. Le 13/10/21. ZZZ avec n° du nouvel ABC admin % Comments Category Archives ZZZ avec n° du nouvel ABC BaĂŻonnette modĂšle 1967 G3 N 195 » Longueur 337 mm Ăž interne de la douille 22 mm Ăž externe du tenon 10 mm Poids 360 g Armement Gevaer M/66 de type Heckler & Koch G3 Fixation au dessus du canon Valeur €€€ € RaretĂ© Cette baĂŻonnette a Ă©tĂ© construite pour le Danemark Ă  partir de 1967 par la Waffenfabrik AG Carl Eickhorn qui a fait faillite en 1976. Cette usine fabriquait Ă©galement des baĂŻonnettes pour certains pays membres de l’OTAN qui pouvaient s’adapter Ă  diffĂ©rents types d’armes. Voir BaĂŻonnette modĂšle G3 dispositif de fixation Ă  l’arme. La poignĂ©e ronde monobloc en plastique de couleur noire comporte six rainures, elle intĂšgre prĂšs de la douille une protection anti-chaleur en tĂŽle de 15×23 mm. Le marquage, HMAK sous couronne sur le mĂ©plat de la base de la poignĂ©e, est une abrĂ©viation deHĂŠrens Materiel Kommando Army Materiel Command, ce marquage a Ă©tĂ© utilisĂ© Ă  partir de 1969. Le pommeau est en acier, par rapport Ă  la bague, vue arriĂšre le crochet intĂ©grĂ© au tenon de verrouillage se situe Ă  environ 2 heures. La croisiĂšre est munie de deux encoches inutiles dans ce cas destinĂ©es Ă  bloquer le crochet du ressort plat situĂ© Ă  l’arriĂšre du fourreau d’origine allemand. La lame de finition polie brillant, est droite Ă  double tranchant symĂ©triques, sĂ©parĂ©s par une arĂȘte centrale sur chaque faces. L’acier de trĂšs haute qualitĂ©, utilisĂ© pour la rĂ©aliser lui permet d’ĂȘtre trĂšs effilĂ©e, sans compromettre sa rĂ©sistance Ă  la torsion. Le fourreau pourvu du double crochet de type US, est un modĂšle de type M8 A1, avec corps en simili-bois. La chape avec ressort interne en tĂŽle d’acier phosphatĂ©e est fixĂ©e sur le corps par sertissage sur les cĂŽtĂ©s, elle porte sur la face avant l’inscription MADE IN W-GERMANY avec 2 points entre les lettres U,S et M A l’arriĂšre de cette chape, une corniĂšre en forme de L sert d’appui Ă  la suspension en coton tissĂ© webbing, qui est maintenue par deux rivets emboutis. La sangle utilisĂ©e pour le maintien de la baĂŻonnette est fixĂ©e Ă  l’aide d’un rivet sur la suspension, elle se verrouille grĂące Ă  un bouton pression. Avis personnel sur l’attrait de ce modĂšle Parmi les divers modĂšles de G3, ce trĂšs rare et atypique modĂšle scandinave d’une finition remarquable possĂšde un attrait pour une collection. Le 22/07/20. ZZZ avec n° du nouvel ABC admin % Comments Category Archives ZZZ avec n° du nouvel ABC BaĂŻonnette modĂšle 1965 N 195 » Longueur 310 mm Ăž interne de la douille 22 mm Ăž externe du tenon 10 mm Poids 335 g Armement fusil AK4 et AK5 avec adaptateur Fixation au dessus du canon Valeur €€€ RaretĂ© Cette baĂŻonnette a Ă©tĂ© fabriquĂ©e par AB Bahco Ă  Enköping en SuĂšde. Bahco est un fabricant d’outils Ă  main, fondĂ© en 1886. Le fondateur de la sociĂ©tĂ©, Johan Petter Johansson, a inventĂ© la clĂ© de plombier en 1888 et la clĂ© Ă  molette clĂ© Ă  molette Ă  croissant en 1891, qui sont toujours largement utilisĂ©es de nos jours. Bahco est toujours en activitĂ© et a Ă©tĂ© achetĂ© par Snap-On Inc. en 1999. Voir BaĂŻonnette modĂšle G3 dispositif de fixation Ă  l’arme. MĂ©plat avec les trois couronnes suĂ©doises placĂ©es en triangle La poignĂ©e ronde monobloc en plastique de couleur noire comporte 2 cannelures longitudinales et 5 cannelures transversales, elle intĂšgre prĂšs de la douille une protection anti-chaleur en tĂŽle de 15×23 mm. La croisiĂšre comporte deux encoches pour bloquer le crochet du ressort plat situĂ© Ă  l’arriĂšre du fourreau. Pommeau assez massif Le pommeau en acier est fixĂ© Ă  la soie par une goupille pleine qui le transperce de part en part. Par rapport Ă  la bague, vue arriĂšre le crochet intĂ©grĂ© au tenon de verrouillage se situe Ă  8 heures. N° de sĂ©rie en l’occurrence 422 6 8 023 » La lame de type US M4 en acier poli brillant de haute qualitĂ©, comporte le marquage constructeur Bahco inscrit Ă  l’aide d’un crayon Ă©lectrique, elle a pour particularitĂ© comme pratiquement tous les modĂšles G3 d’avoir le tranchant inversĂ©. Le fourreau dĂ©pourvu du double crochet de type US, est constituĂ© d’un corps de forme angulaire en plastique moulĂ© noir brillant, le trou destinĂ© Ă  Ă©vacuer l’eau dĂ©bouche Ă  l’extrĂ©mitĂ©. La chape en tĂŽle d’acier, est maintenue au corps par emboutissage. Un dispositif de verrouillage extĂ©rieur ressort Ă  lame muni d’un crochet pliĂ© Ă  l’arriĂšre, permet de bloquer correctement la baĂŻonnette dans le fourreau. A l’arriĂšre de la chape, une corniĂšre en forme de L sert d’appui Ă  la suspension en coton tissĂ© webbing, qui est maintenue par deux rivets emboutis. La sangle utilisĂ©e pour le maintien de la baĂŻonnette est fixĂ©e Ă  l’aide d’un rivet sur la suspension, elle se verrouille grĂące Ă  un bouton pression. Fusil Ak5 avec adaptateur spĂ©cifique et baĂŻonnette M-65, utilisĂ© uniquement pour la garde et le dĂ©filĂ©. Ce fusil n’a pas de dispositif prĂ©vu pour y adapter une baĂŻonnette. Avis personnel sur l’attrait de ce modĂšle Parmi les divers modĂšles de type G3, celui-ci d’une finition remarquable, l’un des plus rares possĂšde un attrait pour une collection. Le 28/09/21. ZZZ avec n° du nouvel ABC admin % Comments Category Archives ZZZ avec n° du nouvel ABC BaĂŻonnette US M9 Marto N 196 » Boite rouge de conditionnement destinĂ©e au marchĂ© europĂ©en ModĂšle M9 fabrication MARTO Longueur 311 mm Ăž interne de la douille 22 mm Armement fusil M16 Valeur €€€ €€ RaretĂ© Au moment de la chute de Buck / Phrobis, Mickey Finn est incorporĂ© sous le nom de Phrobis Int’l. Il travaillait sur des conceptions amĂ©liorĂ©es pour les baĂŻonnettes M9 mais n’avait plus Buck pour fabriquer les lames et les composants. Il s’est ensuite tournĂ© vers la sociĂ©tĂ© bien connue de Marto en Espagne de 1987 Ă  1989. Ces baĂŻonnettes avec lame MARTO ont Ă©tĂ© assemblĂ©es par Phrobis International aux États-Unis. Le contrat militaire ayant Ă©tĂ© prĂ©maturĂ©ment rĂ©siliĂ© pour continuer Ă  fournir Ă  l’armĂ©e amĂ©ricaine, afin d’optimiser les coĂ»ts pour cette sociĂ©tĂ©, MARTO a continuĂ© Ă  fabriquer des M9 pour le marchĂ© civil europĂ©en afin d’attĂ©nuer la catastrophe. Bien entendu, toutes les versions de MARTO avaient la mĂȘme qualitĂ© de fabrication et d’acier que celles fabriquĂ©es par BUCK au cours de son contrat militaire. Un coup dur et une perte d’argent considĂ©rable pour MARTO, puisque celle-ci avait investi des capitaux et des moyens dans la fabrication et la fourniture de machines. La poignĂ©e monobloc cylindrique verte foncĂ©e, est en matiĂšre plastique imputrescible extrĂȘmement rĂ©sistante aux chocs et Ă  l’abrasion. Elle possĂšde 4 cannelures longitudinales et 5 cannelures transversales qui dĂ©limitent des rectangles quadrillĂ©s. Le pommeau de type US M7, est constituĂ© d’un systĂšme de verrouillage Ă  l’arme utilisant deux crochets articulĂ©s par un ressort, il est fixĂ© Ă  la soie cylindrique par une vis Ă  six pans. Marto a Ă©tĂ© autorisĂ© Ă  fabriquer la baĂŻonnette M9 avec son nom sur la lame La lame en acier inoxydable satinĂ© Ă  un seul tranchant est munie de 46 fines dents de scie de 72,5 mm de long, une profonde gouttiĂšre de 83 mm, aux extrĂ©mitĂ©s arrondies est situĂ©e sur le cĂŽtĂ© droit. Elle comporte une ouverture elliptique pour fonctionner comme coupe-fil en combinaison avec son fourreau. Lorsque l’on rencontre les marquages M9 MARTO sur le cĂŽtĂ© gauche, et PHROBIS INT’L US PAT. sur l’autre cĂŽtĂ©, on peut considĂ©rer cette version comme civile pour l’Europe. Pour rĂ©sumer, toutes les lames qui portent le marquage MARTO sont destinĂ©es au marchĂ© civile europĂ©en. Si l’on rencontre les marquages M9 PHROBIS INT’L SPAIN sur le cĂŽtĂ© gauche, et USA PAT. NO. sur l’autre cĂŽtĂ©, cette derniĂšre aurait Ă©tĂ© approuvĂ©e comme version militaire en remplacement contractuel de lames BUCK par US ARMY. La loi amĂ©ricaine sur l’importation imposant que le pays d’origine des produits manufacturĂ©s soit clairement indiquĂ© sur les dits produits, sur le cĂŽtĂ© droit une rĂ©fĂ©rence au brevet / PAT. NO. / Le fourreau est pratiquement identique, Ă  quelques dĂ©tails prĂšs, au modĂšle dĂ©veloppĂ© pour PHROBIS. Le porte-fourreau est identique au modĂšle dĂ©veloppĂ© pour PHROBIS. Il existe Ă©galement un porte-fourreau simplifiĂ© Ă  passant de ceinture en tissu, sans systĂšme d’agrafe amovible. Avis personnel sur l’attrait de ce modĂšle Toutes les variantes de baĂŻonnettes M9 dans une collection sont intĂ©ressantes. ModĂšle M9A1 MARTO Ă  usage commercial Longueur 311 mm Ăž interne de la douille 22 mm Armement fusil M16 Valeur €€€ €€ RaretĂ© Phrobis a fabriquĂ© des baĂŻonnettes commerciales, en particulier la M9A1, qui ont Ă©tĂ© vendues lorsqu’une tentative de produire une M9 amĂ©liorĂ©e pour l’armĂ©e a Ă©chouĂ©, nombre d’entre elles devenant des objets commĂ©moratifs. Dans les annĂ©es 90, MARTO Co. de Toledo en Espagne est devenu le sous-traitant principal de PHROBIS, celles-ci Ă©taient destinĂ©es Ă  la vente europĂ©enne. La poignĂ©e monobloc cylindrique noire, est en matiĂšre plastique imputrescible extrĂȘmement rĂ©sistante aux chocs et Ă  l’abrasion. Elle possĂšde 4 cannelures longitudinales et 5 cannelures transversales qui dĂ©limitent des rectangles quadrillĂ©s. Le pommeau de type US M7, est constituĂ© d’un systĂšme de verrouillage Ă  l’arme utilisant deux crochets articulĂ©s par un ressort, il est fixĂ© Ă  la soie cylindrique par une vis Ă  six pans fendue. La lame en acier inoxydable satinĂ© Ă  un seul tranchant est munie de 46 fines dents de scie de 72,5 mm de long, une profonde gouttiĂšre de 83 mm, aux extrĂ©mitĂ©s arrondies est situĂ©e sur le cĂŽtĂ© droit. Elle comporte une ouverture elliptique pour fonctionner comme coupe-fil en combinaison avec son fourreau. Pour rĂ©sumer, toutes les lames qui portent le marquage MARTO sont destinĂ©es au marchĂ© civile europĂ©en. Le fourreau assez massif de couleur noire est muni d’un corps en plastique moulĂ© identique Ă  la poignĂ©e. En cas d’utilisation comme coupe-fil Ă©lectrifiĂ©, il est naturellement isolĂ© du courant. Il possĂšde sur le devant une poche Ă  rabat en tissu, fermĂ©e par un bouton-pression. Le porte-fourreau, est attelĂ© au corps, en cas d’une utilisation comme coupe fil, tout l’ensemble se dĂ©tache du ceinturon. Avis personnel sur l’attrait de ce modĂšle Toutes les variantes de baĂŻonnettes M9 dans une collection sont intĂ©ressantes. Le 15/09/21. ZZZ avec n° du nouvel ABC admin % Comments Category Archives ZZZ avec n° du nouvel ABC BaĂŻonnette US M9 Phrobis/Buck pour l’armĂ©e amĂ©ricaine N 196 » Ăž interne de la douille 22 mm Poids 415 g Armement fusil M 16 Valeur €€€ €€€ RaretĂ© La petite entreprise R & D appelĂ© Qual-A-Tec. dirigĂ© par Charles A. Mickey » Finn a Ă©tĂ© créée pour Ă©quiper en divers systĂšmes d’armes les forces spĂ©ciales amĂ©ricaines. Elle a dĂ» dĂ©velopper un couteau de combat pour les films de la sĂ©rie Rambo 1982 Ă  2008, ce couteau modifiĂ© deviendra plus tard le Buck-184 Buckmaster. Suite Ă  une demande de l’armĂ©e amĂ©ricaine pour des baĂŻonnettes prototypes, la sociĂ©tĂ© Qual-A-Tec a pris le Buckmaster et l’a modifiĂ© pour devenir la baĂŻonnette MPBSM9. Qual-A-Tec a créé une nouvelle sociĂ©tĂ© de couverture », nommĂ©e Phrobis III, pour gĂ©rer la production de ce couteau. La M9 fut adoptĂ©e officiellement en 1986, le premier contrat de fabrication a Ă©tĂ© effectif le 06 octobre, et la premiĂšre livraison a eu lieu en fĂ©vrier 1987. Le coutelier Buck Knives a fabriquĂ© des baĂŻonnettes M9 pour Phrobis le bureau d’étude destinĂ©es Ă  l’armĂ©e amĂ©ricaine. Une des conditions du contrat Ă©tait qu’il n’y ait aucune trace sur la baĂŻonnette qui indiquerait qui l’a rĂ©ellement fabriquĂ©. BUCK a ajoutĂ© une marque de code d’annĂ©e, le chevron, en pensant que cela ne violerait pas le contrat et que cela donnerait des informations utiles. Ils ont reçu pour instruction, par le prĂ©sident Mickey Finn, d’arrĂȘter la pratique et n’ont envoyĂ© qu’environ 1034 unitĂ©s portant la marque Ă  l’armĂ©e amĂ©ricaine. Cent soixante-six piĂšces des 1200 piĂšces n’avaient pas encore Ă©tĂ© expĂ©diĂ©es et celles-ci ont Ă©tĂ© conservĂ©es. Ces baĂŻonnettes ont Ă©tĂ© numĂ©rotĂ©es dans l’ordre sur la droite de la lame avec des numĂ©ros impairs pour Buck et pairs pour Phrobis. Buck a vendu ses baĂŻonnettes aux membres du Club de Buck Collectionneurs. Phrobis a fabriquĂ© une plaque de prĂ©sentation en chĂȘne avec l’extrĂ©mitĂ© avant d’un fusil M16 attachĂ© Ă  elle et vendue les plaques Ă  des collectionneurs. Ces baĂŻonnettes, comme toutes les baĂŻonnettes Phrobis de contrat militaire, avaient les marquages Phrobis sur le cotĂ© gauche de la lame et le cotĂ© droit Ă©tait banalisĂ©e. Buck a continuĂ© Ă  fabriquer la baĂŻonnette M9 en sous-traitance pour Phrobis jusqu’en 1989. A la fin du contrat il y avait une brouille entre les deux sociĂ©tĂ©s et dans le cadre du rĂšglement, Buck a fini par remporter les droits de fabrication de la baĂŻonnette M9 aux États-Unis. Buck n’a pas voulu racheter ou prendre le contrĂŽle de Phrobis III, Mickey Finn, le concepteur de la baĂŻonnette M9 et le propriĂ©taire de Phrobis III, a continuĂ© Ă  dĂ©tenir la marque Phrobis. Il est Ă  noter que le M est diffĂ©rent entre le marquage de la deuxiĂšme gĂ©nĂ©ration et la troisiĂšme gĂ©nĂ©ration. Suite Ă  la dĂ©cision du prĂ©sident Mickey Finn, la deuxiĂšme variante ne comporte plus de chevron. Les premiĂšres baĂŻonnettes post-Chevron M9 Ă©taient estampĂ©es sur le cĂŽtĂ© gauche de la lame avec un marquage similaire Ă  3 lignes. Ce second marquage Ă  trois lignes est rarement utilisĂ©, car il n’a Ă©tĂ© utilisĂ© que jusqu’à l’automne 1987. Toutes ces variantes Ă©taient dĂ©pourvues de la rĂ©fĂ©rence des brevets PAT. PEND. la protĂ©geant. Phrobis a demandĂ© et reçu de l’armĂ©e l’autorisation de marquer le 16 septembre 1987 les lames avec un marquage Ă  4 lignes. Ce type de marquage Ă  quatre lignes sera dĂ©finitivement adoptĂ© pour cette arme. Deux variantes au niveau de l’épaisseur des lettres existent, pour rĂ©sumer, il s’agit des quatriĂšmes et cinquiĂšmes variantes. Il y a eu cinq marques principales de M9 Phrobis, Buck sous-traitĂ© par Phrobis III lors du contrat initial de l’ArmĂ©e, Lan-Cay, Ontario et Tri-Technologies. Cette version de la cinquiĂšme gĂ©nĂ©ration marquage sur la lame Ă  4 lignes, produit par BUCK pour PHROBIS Ă  partir de 1987 jusqu’en 1989, sera fabriquĂ©e Ă  325 000 exemplaires. A la suite de cette fastueuse pĂ©riode, une rupture pour convenance personnelle entre BUCK et PHROBIS va suivre. Il semblerait que BUCK ait eu du mal Ă  payer les sommes dues Ă  PHROBIS. Cette baĂŻonnette, conformĂ©ment aux spĂ©cifications du gouvernement des Etats-Unis pour un contrat militaire, ne peut en aucun cas sortir du pays d’origine, ni ĂȘtre vendue Ă  d’autres que des citoyens US. La conception de la baĂŻonnette M9 inspirĂ©e du modĂšle russe Kalashnikov AKM, remplace l’obsolĂšte et assez fragile baĂŻonnette M7 introduite en 1964. Elle peut ĂȘtre UtilisĂ©e efficacement comme poignard de combat. AccouplĂ©e au fourreau et former une cisaille capable de couper un fil Ă©lectrifiĂ© 20 000 V ou barbelĂ©. FixĂ©e Ă  l’arme en cas de combat rapprochĂ©. UtilisĂ©e comme outil capable de scier ou couper du bois, dĂ©chirer de la tĂŽle, casser une brique, etc 
 Logo de la sociĂ©tĂ© PHROBIS, reprĂ©sentant un dauphinLa croisiĂšre possĂšde deux orifices dĂ©capsuleur sur les cĂŽtĂ©s La vis Ă  six pans est indĂ©montable avec une clĂ© europĂ©enne La poignĂ©e monobloc cylindrique verte foncĂ©e, est en matiĂšre plastique imputrescible extrĂȘmement rĂ©sistante aux chocs et Ă  l’abrasion. Elle possĂšde 4 cannelures longitudinales et 5 cannelures transversales qui dĂ©limitent des rectangles quadrillĂ©s. Le pommeau de type US M7, est constituĂ© d’un systĂšme de verrouillage Ă  l’arme utilisant deux crochets articulĂ©s par un ressort, il est fixĂ© Ă  la soie par une vis Ă  six pans creux, indĂ©montable avec une clĂ© europĂ©enne. La variante destinĂ©e Ă  l’armĂ©e ne porte aucun marquage sur le cĂŽtĂ© droit de la lame La lame en acier inoxydable satinĂ© Ă  un seul tranchant est munie de 46 fines dents de scie de 72,5 mm de long, une profonde gouttiĂšre de 83 mm, aux extrĂ©mitĂ©s arrondies est situĂ©e sur le cĂŽtĂ© droit. Elle comporte une ouverture elliptique pour fonctionner comme coupe-fil en combinaison avec son fourreau. Pierre Ă  aiguiser collĂ©e Ă  l’arriĂšre du corps, recouverte par une bande en toile Dispositif en acier pour le coupe-fil et le tournevis Ă  l’extrĂ©mitĂ©SystĂšme d’attache rapide en plastique attelĂ© au corps dĂ©veloppĂ© par Fastex Le fourreau assez massif de couleur verte foncĂ©e est muni d’un corps en plastique moulĂ© identique Ă  la poignĂ©e. Il possĂšde sur le devant une poche Ă  rabat en tissu, fermĂ©e par un bouton-pression. Cette poche est en thĂ©orie destinĂ©e Ă  l’emport d’un chargeur supplĂ©mentaire de pistolet ou d’un couteau pliant, mais peut servir, au choix de l’utilisateur au transport d’autres objets. La fixation en plastique permet de dĂ©tacher facilement le corps du fourreau en cas d’utilisation de la baĂŻonnette comme coupe-fil Fourreau conçu par Bianchi, lagrafe amovible en acier permet de dĂ©tacher facilement du ceinturon le fourreau Avis personnel sur l’attrait de ce modĂšle Toutes les variantes de baĂŻonnettes M9 dans une collection sont intĂ©ressantes, celle-ci du fait de sa raretĂ© encore plus. Pour rappel, cette baĂŻonnette, conformĂ©ment aux spĂ©cifications du gouvernement des États-Unis pour un contrat militaire, ne peut en aucun cas sortir du pays d’origine, ni ĂȘtre vendue Ă  d’autres que des citoyens US. ZZZ avec n° du nouvel ABC admin % Comments Category Archives ZZZ avec n° du nouvel ABC BaĂŻonnette US M9 fabrication PHROBIS Ă  usage commercial N 196 » Longueur 311 mm Ăž interne de la douille 22 mm Poids 415 g Armement fusil M 16 Valeur €€€ €€ RaretĂ© La variante Ă  usage commercial a Ă©tĂ© produite par BUCK de 1987 jusqu’en 1997. Cet exemplaire provenant des USA, vu l’usure du systĂšme d’attache a bien Ă©tĂ© utilisĂ© en Irak. Message traduit d’un forum US 
 Bien que la baĂŻonnette BUCK 188 n’ait jamais fait partie du contrat conclu entre l’armĂ©e amĂ©ricaine et Phrobis, des baĂŻonnettes commerciales ont pĂ©nĂ©trĂ© dans le systĂšme d’approvisionnement de maniĂšre officieuse. Celles-ci ont Ă©tĂ© achetĂ©es Ă  titre privĂ© par des militaires, mais leur nombre a augmentĂ© avant l’opĂ©ration Desert Storm / Shield en Irak. Le M9 Ă©tant destinĂ© aux forces aĂ©roportĂ©es et de combat, les autres voulant un M9 auraient pu acquĂ©rir un BUCK 188 Ă  la base PX, etc. Une autre façon dont le BUCK 188 est entrĂ© dans le systĂšme d’approvisionnement est par le biais de soldats qui Ă©changeaient » intentionnellement leur message dĂ©livrĂ©, le Phrobis M9, avec un BUCK. 188. Lorsque le M9 a Ă©tĂ© diffusĂ© pour la premiĂšre fois, les civils ne disposaient pas d’exemples de contrats militaires ou un GI avait peut-ĂȘtre voulu conserver son M9 Ă©mis en souvenir de son temps de service, de sorte qu’un Ă©change a Ă©tĂ© effectuĂ©. Les M9 sont devenus un problĂšme avec les unitĂ©s aĂ©roportĂ©es de Fort Bragg, en Caroline du Nord. Un ordre a Ă©tĂ© Ă©mis si un soldat perdait » son M9, il perdrait Ă©galement une rangĂ©e de rang!. On peut comprendre pourquoi aucun militaire ne voulait se retrouver dans cette situation, si c’était le cas, il achetait rapidement un BUCK 188 pour remplacer son Phrobis M9 manquant. Quand le moment est venu pour le soldat de changer ou de quitter le service et de remettre son Ă©quipement pour le ravitaillement, je peux Ă  peu prĂšs garantir sur la base de ma propre expĂ©rience qu’aucun commis aux approvisionnements n’allait jamais regarder par-dessus cette baĂŻonnette, comme Ă©tant retournĂ©e 
 
 . La vis Ă  six pans est indĂ©montable avec une clĂ© europĂ©enne La poignĂ©e monobloc cylindrique verte foncĂ©e, est en matiĂšre plastique imputrescible extrĂȘmement rĂ©sistante aux chocs et Ă  l’abrasion. Elle possĂšde 4 cannelures longitudinales et 5 cannelures transversales qui dĂ©limitent des rectangles quadrillĂ©s. Le pommeau de type US M7, est constituĂ© d’un systĂšme de verrouillage Ă  l’arme utilisant deux crochets articulĂ©s par un ressort, il est fixĂ© Ă  la soie par une vis Ă  six pans creux, indĂ©montable avec une clĂ© europĂ©enne. Toutes les baĂŻonnettes M9 avec la marque BUCK 188 avec marquage Year Symbol sur la face opposĂ©e sont des modĂšles Ă  usage commerciaux. Correspondance de l’annĂ©e et du symbole La lame en acier inoxydable noirci Ă  l’oxyde, Ă  un seul tranchant est munie de 46 fines dents de scie de 72,5 mm de long, une profonde gouttiĂšre de 83 mm, aux extrĂ©mitĂ©s arrondies est situĂ©e sur le cĂŽtĂ© droit. Elle comporte une ouverture elliptique pour fonctionner comme coupe-fil en combinaison avec son fourreau. Usure assez prononcĂ©e du systĂšme d’attache Le fourreau et le porte-fourreau sont identiques aux modĂšles Phrobis utilisĂ©s par l’armĂ©e US, le fourreau de cet exemplaire est dĂ©muni de poche sur le devant. Avis personnel sur l’attrait de ce modĂšle Toutes les variantes de baĂŻonnettes M9 dans une collection sont intĂ©ressantes. Le 25/02/22. ZZZ avec n° du nouvel ABC admin % Comments Category Archives ZZZ avec n° du nouvel ABC BaĂŻonnette US M9 LANCAY contrat du 09/01/94 N 197 » Longueur 311 mm Ăž interne de la douille 22 mm Armement fusil M16 Valeur €€€ €€ RaretĂ© Il y a eu cinq marques principales de M9 Phrobis, Buck sous-traitĂ© par Phrobis III lors du contrat initial de l’ArmĂ©e, Lan-Cay, Ontario et Tri-Technologies. Cette rare version amĂ©liorĂ©e » fait partie du second contrat attribuĂ© Ă  Lan-Cay le 09/01/94. Ce contrat portait sur 104 111 baĂŻonnettes M9 amĂ©liorĂ©es. Pendant la pĂ©riode oĂč les premiĂšres baĂŻonnettes sous contrat Ă©taient produites, Lan-Cay et Rock Island Arsenal avaient travaillĂ© sur des amĂ©liorations du M9 et de l’assemblage du fourreau. Ce second contrat devait ĂȘtre l’aboutissement de ces efforts, le Product Improved M9». La vis Ă  six pans est indĂ©montable avec une clĂ© europĂ©enne, d’oĂč la fente La poignĂ©e monobloc cylindrique verte foncĂ©e, est en matiĂšre plastique imputrescible extrĂȘmement rĂ©sistante aux chocs et Ă  l’abrasion. Elle possĂšde 4 cannelures longitudinales et 5 cannelures transversales qui dĂ©limitent des rectangles quadrillĂ©s. Le pommeau de type US M7, est constituĂ© d’un systĂšme de verrouillage Ă  l’arme utilisant deux crochets articulĂ©s par un ressort, il est fixĂ© Ă  la soie cylindrique par une vis Ă  six pans fendue. Comme pour le modĂšle PHROBIS cette lame de premiĂšre production possĂšde 46 dents de scieMarquage LANCAY sans trait d’union La lame est en acier inoxydable satinĂ© Ă  un seul tranchant, munie de 46 fines dents de scie. La lame de cette version est de fabrication LANCAY, par rapport au modĂšle de premiĂšre conception PHROBIS, elle est dĂ©pourvue de gorge ceci afin d’en rĂ©duire le coĂ»t de production. Elle comporte une ouverture elliptique pour fonctionner comme coupe-fil en combinaison avec son fourreau. Pierre Ă  aiguiser collĂ©e Ă  l’arriĂšre du corps, non recouverte par une bande en toileDispositif en acier pour le coupe-fil et le tournevis dĂ©portĂ© Le fourreau de fabrication prĂ©coce est une amĂ©lioration sur plusieurs points du modĂšle dĂ©veloppĂ© pour PHROBIS. L’extrĂ©mitĂ© en acier est diffĂ©rente, la pierre Ă  aiguiser n’est pas recouverte, le maintien de la poignĂ©e de la baĂŻonnette est diffĂ©rent, la poche sur le devant n’est plus prĂ©sente. SystĂšme d’attache rapide en plastique, datĂ© 1994 dĂ©veloppĂ© par Fastex Le porte-fourreau compatible est lĂ©gĂšrement diffĂ©rent du modĂšle dĂ©veloppĂ© pour PHROBIS. Remarques perso Merci Ă  Marc pour les photos car je ne possĂšde ce trĂšs rare modĂšle. HĂ©las 
 Avis personnel sur l’attrait de ce modĂšle Toutes les variantes de baĂŻonnettes M9 dans une collection sont intĂ©ressantes, cette rare version a Ă©tĂ© utilisĂ©e par l’armĂ©e amĂ©ricaine. DerniĂšre mise Ă  jour le 09/09/19. ZZZ avec n° du nouvel ABC admin % Comments Category Archives ZZZ avec n° du nouvel ABC BaĂŻonnette US M9 LAN-CAY contrat du 18/08/95 N 197 » Longueur 311 mm Ăž interne de la douille 22 mm Poids 450 g Armement fusil M16 Valeur €€€ €€ RaretĂ© Cette version la plus courante du fabricant Lan-Cay, a Ă©tĂ© fabriquĂ©e Ă  partir du 18/08/95. La vis Ă  six pans est indĂ©montable avec une clĂ© europĂ©enne, d’oĂč la fente La poignĂ©e monobloc cylindrique verte foncĂ©e, est en matiĂšre plastique imputrescible extrĂȘmement rĂ©sistante aux chocs et Ă  l’abrasion. Elle possĂšde 4 cannelures longitudinales et 5 cannelures transversales qui dĂ©limitent des rectangles quadrillĂ©s. Le pommeau de type US M7, est constituĂ© d’un systĂšme de verrouillage Ă  l’arme utilisant deux crochets articulĂ©s par un ressort, il est fixĂ© Ă  la soie cylindrique par une vis Ă  six pans fendue. Marquage LAN-CAY avec trait d’union La lame est en acier inoxydable noirci Ă  l’oxyde, Ă  un seul tranchant, munie de 35 fines dents de scie de 60 mm de long. Par rapport au M9 PHROBIS, le fait d’avoir rĂ©duit le nombre de dents de 46 Ă  35 permet d’en rĂ©duire le coĂ»t de production. Elle comporte une ouverture elliptique pour fonctionner comme coupe-fil en combinaison avec son fourreau. BaĂŻonnette et fourreau de conception PHROBISLa partie quadrillĂ©e amĂ©liore la prĂ©hension du fourreau lors d’une utilisation comme coupe-fil La partie mĂ©tallique faisant office de tournevis est dĂ©saxĂ©e Le fourreau de couleur verte foncĂ©e est une amĂ©lioration sur plusieurs points du modĂšle dĂ©veloppĂ© pour PHROBIS. La forme du corps lors d’une utilisation comme coupe-fil est ergonomique, l’extrĂ©mitĂ© en acier est diffĂ©rente, la pierre Ă  aiguiser n’est plus recouverte, le maintien de la poignĂ©e de la baĂŻonnette avec la sangle est plus bas, la poche sur le devant n’est plus prĂ©sente, et enfin il est un peu plus lĂ©ger. SystĂšme d’attache rapide en plastique, datĂ© 1995 dĂ©veloppĂ© par FastexL’agrafe amovible en acier permet de dĂ©tacher facilement du ceinturon la baĂŻonnette et le fourreau Le porte-fourreau compatible est lĂ©gĂšrement diffĂ©rent du modĂšle dĂ©veloppĂ© pour PHROBIS. Avis personnel sur l’attrait de ce modĂšle Toutes les variantes de baĂŻonnettes M9 dans une collection sont intĂ©ressantes. Le 24/02/22. ZZZ avec n° du nouvel ABC admin % Comments UEâ€ș La Commission prĂ©cise – un peu – ses intentions sur la rĂ©glementation du transport des animaux en cas de forte chaleur La commissaire chargĂ©e de Il

La solution Ă  ce puzzle est constituéÚ de 3 lettres et commence par la lettre F Les solutions ✅ pour UN PEU DE CHALEUR de mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. DĂ©couvrez les bonnes rĂ©ponses, synonymes et autres types d'aide pour rĂ©soudre chaque puzzle Voici Les Solutions de Mots CroisĂ©s pour "UN PEU DE CHALEUR" 0 0 Partagez cette question et demandez de l'aide Ă  vos amis! Recommander une rĂ©ponse ? Connaissez-vous la rĂ©ponse? profiter de l'occasion pour donner votre contribution! Similaires

Ily a un mois, nous Ă©tions au Cambodge. Beaucoup de monde malgrĂ© le fait que les chinois n'Ă©taient pa Beaucoup de monde malgré le fait que les chinois n'étaient pa ThĂšme :
Vous avez de jolis plants, chargĂ©s en fruits, mais les tomates restent vertes, longtemps
Elles mettent trĂšs longtemps Ă  mĂ»rir ?Bon, commençons par mettre de cĂŽtĂ© notre impatience de jardinier
Une tomate ne mĂ»rit pas du jour au partir de sa formation, il lui faut quelques semaines variable selon la variĂ©tĂ© et les conditions de culture pour arriver Ă  lorsqu’elles ont atteint leur taille optimale elles ne grossissent plus, elles devraient rapidement commencer Ă  changer de couleur
Elles devraient
Mais parfois, les tomates restent dĂ©sespĂ©rĂ©ment mettent trĂšs longtemps Ă  mĂ»rir
 ou mĂȘme n’y parviennent pas !Essayons de voir les causes possibles, et d’y pĂ©riodes caniculaires, les tomates restent vertes ou mĂ»rissent mal
L’idĂ©e de cet article sur le mĂ»rissement des tomates m’est venue l’an moi, ça fait plusieurs annĂ©es de suite que je constate, au moment de canicules intenses, que les tomates restent vertes nous excluons Ă©videmment ici les variĂ©tĂ©s de tomates vertes, comme la Green Zebra par exemple
 plus longtemps qu’elles ne devraient et mettent finalement beaucoup de temps Ă  pratiquement un mois entier juillet de tempĂ©ratures exceptionnellement Ă©levĂ©es 40°C et plus chez moi
, ce ralentissement Ă©tait encore plus marquĂ© l’an pĂ©riodes caniculaires sont de plus en plus intenses et longues, un peu les consĂ©quences sont importantes au niveau des trĂšs fortes chaleurs peuvent notamment carrĂ©ment avorter les floraisons
 Et lĂ , il n’y aura pas de problĂšme de mĂ»rissement, car de tomates il n’y aura point, du moins pendant une certaine peut-ĂȘtre avez-vous vous aussi remarquĂ© que vos tomates avaient plus de mal Ă  mĂ»rir ? Et vous vous demandiez alors pourquoi ?Ne cherchez plus
Ce sont bien les fortes chaleurs qui sont en de tempĂ©ratures Ă©levĂ©es sur un plant de tomateA partir de 30°C nous parlons ici des tomates, et ces donnĂ©es de tempĂ©rature sont un peu alĂ©atoires – c’est juste pour vous donner un ordre d’idĂ©e, les feuilles se recroquevillent, diminuant d’autant la surface disponible pour la photosynthĂšse, avec pour consĂ©quence un ralentissement de la circulation de sĂšve dans la Ă©lĂ©ments entrant en jeu dans le processus de maturation en particulier le phosphore, mais aussi la potasse, le calcium ou le magnĂ©sium
 parviennent alors plus lentement, et en quantitĂ©s moindres, jusqu’aux processus de mĂ»rissement est dĂ©jĂ  par consĂ©quent bien ralenti
Au-dessus de 35°C, la circulation de sĂšve est pratiquement Ă  l’arrĂȘt, privant les fruits des Ă©lĂ©ments indispensables Ă  leur mĂ»rissement
 qui s’en trouve tout simplement stoppé  tout au moins pendant les heures chaudes de la le processus peut reprendre pendant les heures plus fraiches
Mais Ă©videmment, les durĂ©es quotidiennes de tempĂ©ratures appropriĂ©es donc infĂ©rieures Ă  celles figurant ci-dessus pour le murissement sont plus courtes
 Et donc les tomates mettent alors plus de temps Ă  il nous faut essayer d’adapter notre façon de jardiner Ă  ces pĂ©riodes caniculaires de plus en plus frĂ©quentes et intenses
S’adapter
Personnellement je fais quelques semis assez prĂ©coces afin de pouvoir planter une partie des tomates dĂšs avril mais attention alors aux gelĂ©es
 et commencer Ă  en avoir plus tĂŽt elles commencent Ă  mĂ»rir en juin, avant les fortes chaleurs
 bon cette annĂ©e c’est ratĂ© grosse canicule en juin ! Encore une bonne raison d’échelonner ses cultures.Je rĂ©flĂ©chis et teste aussi l’ombrage pour attĂ©nuer quelque peu les tempĂ©ratures au niveau des plants de tomates
 Mais il doit ĂȘtre vraiment peu dense, et pas trop longtemps dans la journĂ©e, sinon ça manque de lumiĂšre sans cet Ă©lĂ©ment, la floraison est dĂ©ficiente et les tomates ne se forment mĂȘme pas
 comme nous le verrons plus bas.Notons ici que la non-taille des tomates, telle que pratiquĂ©e ou non pratiquĂ©e
 c’est au choix par votre serviteur depuis des annĂ©es, n’aura aucune incidence positive quant Ă  la question qui nous concerne aujourd’hui. Certes, les fruits situĂ©s Ă  l’intĂ©rieur, ou Ă  l’arriĂšre par rapport au soleil, du buisson ainsi formĂ© bĂ©nĂ©ficieront d’un certain ombrage et seront protĂ©gĂ©s d’éventuelles brĂ»lures du soleil
 ce qui en soit peut ĂȘtre une bonne chose. Mais le feuillage, par lequel s’opĂšre la photosynthĂšse, et donc la circulation de sĂšve, restera tout autant exposĂ© aux chaleurs
Avec un ensoleillement insuffisant, les tomates restent vertes ou mĂ»rissent malUn ensoleillement insuffisant peut Ă©galement ĂȘtre en cause lorsque les tomates restent vertes ou mĂ»rissent trĂšs mĂ©tĂ©o maussade ralentit le mĂ»rissement des tomatesLa mĂ©tĂ©o peut parfois en ĂȘtre responsable journĂ©es couvertes et/ou pluvieuses
 Il n’y a alors rien d’autre Ă  faire que d’attendre que cela s’ alors, vos plants de tomates sont placĂ©s dans un endroit trop ombragĂ©, avec une luminositĂ© quotidienne insuffisante
J’ai par exemple un petit coin ombragĂ© une grande partie de la journĂ©e tout l’aprĂšs-midi, proche de la annĂ©e, cherchant une solution face aux problĂšmes liĂ©s aux canicules, j’y fais quelques essais
Mais les tomates que j’y plante, pour peu qu’elles arrivent Ă  se former il y a peu de floraison, et le peu de fleurs avortent en partie restent vertes indĂ©finiment
 elles ne mĂ»rissent pas
MĂȘme des tomates cerises dommage
 pratique d’en avoir Ă  portĂ©e de main pour l’apĂ©ro
La raison est simple les plants manquent d’exposition Ă  la lumiĂšre du soleil pour produire et mĂ»rir entre ensoleillement trop important et manque de lumiĂšre, cherchons un juste milieu 
L’idĂ©al serait sans doute que les plants soient ombragĂ©s seulement aux heures les plus chaudes de la journĂ©e
Ce qui est rĂ©alisable avec un filet d’ombrage ou une treille ajourĂ©e situĂ© en hauteur au-dessus des cultures on recommande des filets d’ombrage Ă  50 % dans les rĂ©gions chaudes et plutĂŽt Ă  20 % dans les rĂ©gions moins chaudes; chose que je n’ai pas encore faite, mais Ă  envisager sĂ©rieusement
MĂ»rissement sur plants de tomates non taillĂ©sSi vos conditions de culture sont peu propices Ă  cette mĂ©thode de non-taille des tomates ensoleillement mĂ©diocre, les fruits, par manque d’exposition Ă  la lumiĂšre du soleil, auront lĂ  aussi du mal Ă  mĂ»rir encore une fois, les tomates restent vertes
.Comme je le prĂ©cise dans l’article sur la non-taille des tomates, il peut ĂȘtre judicieux de faire des tests
Avoir des plants taillĂ©s et des plants non taillĂ©s vous permettra de comparer les 2 chaque annĂ©e Ă©tant diffĂ©rente, vous constaterez peut-ĂȘtre alors que certaines annĂ©es les plants non taillĂ©s seront plus productifs que les plants taillĂ©s, et inversement d’autres annĂ©es
En d’autres termes, en appliquant conjointement ces 2 approches, vous vous assurerez chaque annĂ©e une production du sol et mĂ»rissement des tomatesUne autre raison au fait que les tomates restent vertes, ou tout au moins ne mĂ»rissent que trĂšs lentement, est une carence du sol ou un blocage.Il s’agit alors plus prĂ©cisĂ©ment d’une carence en phosphore, en potasse ou en prĂ©paration Ă  base de consoude, de par la teneur de cette plante en ces diffĂ©rents Ă©lĂ©ments minĂ©raux pourra compenser rapidement ces manques, qu’ils soient liĂ©s Ă  une carence rĂ©el du sol ou Ă  un l’effet ne sera alors que ponctuel
En ayant pour objectif une terre vivante et fertile un point central de Mon Potager au Naturel, avec des apports appropriĂ©s et Ă©quilibrĂ©s de matiĂšres organiques, vos cultures auront Ă  disposition, tous les ans, les Ă©lĂ©ments nĂ©cessaires Ă  leur croissance et Ă  un bon mĂ»rissement des fruits
Ajoutons Ă  cela qu’en fin de saison, les tomates restent souvent vertes
 c’est normal. Voyez ici que faire de vos tomates vertes dans ce tomates restent vertes et ne mĂ»rissent que trĂšs lentement, ou pas du tout ?Vos observations sont bienvenues dans les commentaires ci-dessous. Soublier W/ Artemis Wildsmith Saison 30 - Hiver Claquer la porte de la Boutique d\u0019Animaux Magiques, soupirer Ă  son reflet dans la vitrine. Le cƓur Ă©tait toujou

Harry Potter 2005 ~€~ AcadĂ©mie de Poudlard ~€~ Les couloirs BibliothĂšqueElhiya EllisPersonnelSte-Mangouste Re La nuit dans la bibliothĂšqueElhiya Ellis, le Sam 16 Sep - 1729 D'un trĂšs lĂ©ger poufement de rire, Elhiya s'etait blotti doucement dans les bras qu'elle avait sollicitĂ© un peu plus tĂŽt. Rien de plus que cette chaleur lui Ă©tait nĂ©cessaire, du jour oĂč il avait posĂ© les yeux elle, et jusqu'a ce qu'il ne le pourrait plus. Rien de plus n'Ă©tait utile en cet endroit, rien de plus n'existait en ce moment. Pas mĂȘme les anneries qui s'Ă©chappaient des lĂšvres du garçon. Pas mĂȘme son manque d'analyse alors qu'il se targuait d'ĂȘtre extrelent logique en toute circonstance. Ses lĂšvres avaient dessinĂ©es un lĂ©ger sourir amusĂ© alors que les yeux clos, elle se pelotonnait un peu plus. "C'est dĂ©jĂ  acceptĂ© depuis longtemps. Sans quoi tu ne serais pas la.."Comme si son temperament enflammĂ© Ă©tait suffisament domptable pour tolĂ©rer une chose qu'elle ne supportait pas. Ses palabres, cette fĂącheuse habitude Ă  toujours vouloir avoir raison, ce sĂ©rieux bien trop prĂ©sent qui l'empĂȘchait de se contenter de rĂ©pondre de facon simple, cette manie stupide de lui voler un simple baiser en public, faisaient parti d'un tout qui le composait lui. Or c'etait le lui au complet qui lui plaisait, qui envahossait chacune de ses pensĂ©es et son ĂȘtre. En aucun cas, mĂȘme si elle le taquinait, changer une once de ce qu'il Ă©tait ne lui serait venu Ă  l'esprit. Son Ă©treinte se ressera doucement, lui permettant de profiter un peu plus de sa chaleur et sa prĂ©sence. Unique besoin Ă©goĂŻste que mĂȘme quelques ombres ne pouvait bibliothĂšque n'Ă©tait trĂšs certainement pas le lieu idĂ©al pour rĂ©clamer rĂ©confort et soutient. Mais un nouveau passage dans la salle sur demande aurait Ă©tĂ© une trĂšs mauvaise idĂ©e vu la situation. Aussi, se contentant de rĂ©pondre Ă  des propres envies, la blonde s'etait a nouveau emparĂ©e des lĂšvres du jeune homme. Elle lui avait demandĂ© d'ĂȘtre prĂ©sent, de se taire et de la prendre dans les bras afin de faire disparaĂźtre le monde qui les entourait. Maintenant qu'il accĂ©dait enfin Ă  sa requĂȘte, plus rien ne comptait [Fin du rp pour nous deux - Merci mon Chaton] Artemis WildsmithPoufsouffle Re La nuit dans la bibliothĂšqueArtemis Wildsmith, le Sam 4 Nov - 1147 Nos cƓurs Ă  la dĂ©riveAvec MaryPuis il avait eu le courage, plus ou moins, si on pouvait appeler ça ainsi. Au moins de planter le contexte, d’essayer de faire quelque chose, aucune idĂ©e s’il irait vraiment jusqu’au bout. L’angoisse, il y allait carrĂ©ment Ă  reculons. Escapade dans les couloirs, mĂȘme les tableaux semblaient l’accompagner dans la mĂ©lancolie, comme s’ils se figuraient la soirĂ©e funeste. AprĂšs tout ce qu’il s’était passĂ©, les flashs remontaient trop brutalement, Ă  la limite du haut-le-cƓur. Il avait tout fait de travers, et il ne pouvait pas tout dire. Certaines choses demeureraient secrĂštes. A jamais. Il se dĂ©testait, encore plus depuis qu’il avait pris cette dĂ©cision, d’avouer. Avant ce n’était qu’illusion, comme si ça ne s’était pas rĂ©ellement passĂ©, il aurait pu se forcer Ă  croire Ă  un mirage. Ça n’avait rien de tangible puisqu’elle ne savait pas. Alors le cƓur lourd il pousse la porte de la bibliothĂšque, ouverte magiquement pour l’occasion. Quelques regards pour vĂ©rifier qu'il n'y avait personne aux alentours. Il s’était dit que dans le noir il aurait plus de force, face cachĂ©e, il n’enclenche mĂȘme pas le Lumos alors qu’il parcourt la bibliothĂšque. Il se cogne ici et lĂ , ce n’est pas grave, il sait qu’il est en avance, il fallait qu’il prĂ©pare, qu’il y pense, aux mots couperets. Parce que pour l’instant c’était encore bien trop flou dans sa tĂȘte. Il choisit une table, celle-ci n’est pas mal. Il s’y installe, posture d’attente. C’est qu’il fait plutĂŽt froid ce soir. Il se laisse engourdir par le silence de la vaste salle. C’est que le choix de l’endroit n’était pas anodin, c’était lĂ  qu’il l’avait vue la premiĂšre fois, qu’il s’était senti Ă©trangement diffĂ©rent Ă  ses cĂŽtĂ©s. Pourtant, en un clignement d’yeux, il tente d’évaporer les souvenirs. Il lui devait ça, des explications. Il se met Ă  pianoter le bois de la table. Pas tellement un signe d’impatience mais de nervositĂ©, plutĂŽt. Il aimerait bien, juste pour cette fois, faire appel aux pouvoirs de la science-fiction, mettre son cerveau en pause afin de faire un bon dans le futur, de quelques heures. Pour ne pas avoir Ă  vivre les prochains instants, qu’il imaginait douloureux. Ou alors de faire un deal avec le Arty du futur, qu’il lui spoil un peu ce qui allait se dĂ©rouler dans cette bibliothĂšque dĂ©serte. Le problĂšme c’est qu’à ce moment, il n’y avait que lui, le Arty du prĂ©sent, et il n’en menait pas remue, ne peut tenir en place, il voit les futures secondes en perspective comme un bĂ©lier fou se ruant sur lui, aucune chance de l'arrĂȘter. Puis, tĂȘte entre les mains, il soupire. DĂ©cidĂ©ment, il n’était pas dans son assiette, son cƓur se met Ă  se tortiller, par petits bonds, alors qu’il sent les minutes avancer. Elle n’allait plus tarder, si elle venait. C’est vrai, il ne s’était pas fait Ă  cette possibilitĂ©, qu’elle refuse. Sait-on jamais. Mais elle ne savait rien, sĂ»rement, ne se doutait de rien. Quoi qu’il aurait pu Ă©crire un mot plus chaleureux, il avait dĂ©jĂ  fait mieux. Ce n’était peut-ĂȘtre pas l’aveu qui l’angoissait tant. Parce que c’était facile de juste dire ce qu’il s’était passĂ©, il s’était prĂ©parĂ© Ă  toute Ă©ventualitĂ© de retour. Non, il craignait surtout de ne rien dire. De continuer ainsi, de ne pas oser finalement alors qu’elle se retrouverait juste devant lui. Parce qu’il s’il y a une chose dont il Ă©tait absolument certain c’était qu’il allait fondre devant Mary, elle ne mĂ©ritait pas tout ça, il faudrait qu’il se reprenne ensuite, qu’il souffle avant de se lancer, de sauter. Finalement, une lueur Ă©clatante lui traverse l’esprit. Peut-ĂȘtre qu’il n’avait rien fait de mal, que ce n’était rien, que c’était rĂ©cupĂ©rable, s’il le voulait vraiment. Que ce n’était pas important, un simple dĂ©tail Ă  discuter. Qu’elle lui tout, pourquoi pas. GaĂ«lle PanyellaSerdaigle Re La nuit dans la bibliothĂšqueGaĂ«lle Panyella, le Mer 8 Nov - 1800 La joie au bord du coeur elle se dĂ©pĂȘche, souriant dans la pĂ©nombre, aprĂšs avoir lu une derniĂšre fois les mots qui lui avaient Ă©tĂ©s donnĂ©s. Ce n'est pas une bonne journĂ©e, et pourtant, avec un simple hibou, Arty avait rĂ©ussi Ă  la rendre plus vivante, plus heureuse. Il suffit de quelques phrases et d'une intention pour que le tour soit jouĂ©. Sa tĂȘte dodeline, son pas se fait plus rapide. Il est presque l'heure, et elle, en retard. Les couloirs dĂ©filent, un peu comme le vent. Mary devient le souffle qui avance sans se retourner, espĂ©rant qu'aucune bourrasque ne viendra lui faire rebrousser le chemin. Elle a trop hĂąte. De le voir ; ça fait longtemps. Poudlard est grande, il lui arrive ne pas le croiser pendant un certain temps. Ces moments de solitudes la rendent malade. La prochaine fois elle viendrait tout de suite Ă  lui au lieu de patienter. Enfin, ce qui est fait est fait, mais cette rĂ©solution lui donne une derniĂšre impulsion. Courir, ses pas raisonnent. Son coeur tambourine, toujours peu habituĂ© aux efforts, mais elle arrive vite Ă  sa destination finalement la bibliothĂšque. Oups, un peu d'attente, mais au final ce n'est pas trĂšs mordillĂ©es sans pour autant devenir ensanglantĂ©es. Toujours des efforts, pour ne pas paraĂźtre trop dĂ©calĂ©e lorsque leurs chemins se croisent. Puis elle s'oublie, devenant un elle oubliant son je pour tenter un mieux. C'est rĂ©cent, il suffit d'un claquement pour devenir une simple observatrice, laissant les trois dĂ©crire. Certes il y a parfois des dĂ©bordements, quand ils veulent tourner mais qu'ils n'arrivent pas Ă  ĂȘtre neutres dans les dĂ©cisions. Un peu comme dans ce film, lĂ , il y a joie, tristesse, colĂšre, dĂ©goĂ»t et peur. Mary a la folle, la furie et le petit bonhomme devant la porte les interrogations s'effacent pour laisser place Ă  un vide. PoussĂ©e noir complet. Il y a quelque chose d'inquiĂ©tant dans cette piĂšce noire. Il sait pourtant non ? Qu'avec lui elle peut profiter des couleurs. Alors pourquoi avoir fait ce choix ? Allumant sa baguette d'un sortilĂšge, Mary fait un pas. Il suffit de voir la lumiĂšre blanche se teinter de jaune pour comprendre qu'il est bel et bien ici. Un peu de temps avant de le trouver attablĂ©, seul. Coucou pour montrer sa joie mais le dĂ©sarroi face Ă  cette tĂȘte qui manque son joyeux comparer Ă  l'habituelle bonne humeur et puis il faut Ă©clairer tout ça. Nouveau jeu avec son petit bout de bois et tout se retrouve allumĂ© je te prĂ©fĂšre comme ça fini par dĂ©clarer le murmure de sa voix. Puis elle se penche, ses lĂšvres sur les siennes comme si il y a un manque - c'est d'ailleurs le cas - et elle aurait pu passer encore plus de temps mais se sentant tomber Mary finit par se laisser tomber sur une chaise en face. Un sourire revient Ă©clairer momentanĂ©ment son visage. Les images de leur rencontre illuminent de plus en plus ses pensĂ©es devenues quelques secondes sombres. Artemis WildsmithPoufsouffle Re La nuit dans la bibliothĂšqueArtemis Wildsmith, le Dim 12 Nov - 2007 LA accordĂ©s pour tout le RP, by the qu’il cherchait des Ă©pluchures de lumiĂšre afin d’éclairer la situation dans laquelle il se trouvait, tout s’allume. Il n’avait pas fait attention, au mouvement pĂ©nĂ©trant la bibliothĂšque. Un bref salut et c’est la lumiĂšre environnante qui le rĂ©veille, soudainement. Et ça n’a pas l’effet escomptĂ©. Il a soudainement l’impression d’ĂȘtre mis Ă  nu, Ă  dĂ©couvert, il aimerait crier non, non, Ă©teins, vite. Il n’a pas envie qu’elle le voie en rĂ©alitĂ©. Ou c’est l’inverse. Il n’a pas envie de la voir parce qu’il sait. Il pressent tout Ă  fait ce qu’il se passera dans quelques secondes. Parce que boum. Évidemment, devant ses mots et son baiser. Il veut la garder lĂ , prĂšs de lui, toujours, parce que sa prĂ©sence a quelque chose qu’il ne comprend pas. Les lĂšvres s’éloignent, elle aussi, la rattraper, vite. Elle s’assoit. Il se pince les lĂšvres devant son sourire. Ne jamais l’effacer, n’avait-il pas fait une promesse qui allait dans ce sens-lĂ , un jour. Il ne se souvient plus, il aurait dĂ» le marquer, quelque part. Alors par mimĂ©tisme, il lui sourit aussi, il n’arrive pas Ă  ignorer cette chaleur habituelle Ă  ses cĂŽtĂ©s. C’est vrai qu’il l’aime un peu quand mĂȘme. Mais trĂšs vite ça le rattrape, les flashs des autres Ă©treintes, des autres baisers, des autres touchers, le tout en mode Ă©pileptique, le visage d’Arty s’assombrit. Elle est trop loin. C’est ce qu’il se dit. D’un Ă©lan dĂ©jĂ  fait auparavant, il vient coller sa chaise Ă  la sienne. Il n’a pas encore parlĂ©, il devrait peut-ĂȘtre, un peu, tout de mĂȘme, mais il a peur des mots qui pourraient sortir. Au lieu de ça, il pose sa main contre sa joue, l’embrasse de nouveau. C’est une erreur, il le sait, mais comme Ă  son habitude, il ne peut y rĂ©sister, il ne veut pas. Juste encore profiter. Pourquoi faisait-il ça, au juste. Trop embrouillĂ© sĂ»rement, on lui pardonnera, ou pas. Geste de recul, le Blaireautin plonge ses yeux dans les siens. CƓur au bord de la bouche, ça va ĂȘtre difficile. Parce qu’il ne comprend pas pourquoi il devrait lui dire, ça la ferait souffrir, Ă  tous les coups. C’était Ă  lui de culpabiliser, de se sentir mal Ă  en vomir. Pas elle. Pourtant. Ne fallait-il pas introduire la chose ? Un petit bonjour-comment-ça-va-et-ta-journĂ©e-alors ? Non, le mieux c’était d’arracher, tout de suite, come clean. Pas de chichis. Ce serait pire. Pour une raison encore plus inconnue, il vient poser sa tĂȘte dans le creux du cou de la Serdaigle, il se love. Aucun respect ce gamin, aucune dignitĂ©. Mary. » Il laisse ça en suspend, quelques instants, le temps de respire et d’aviser. J’pense que j’ai fait une bĂȘtise. Enfin, j’suis sĂ»r. Tu vois j’ai. » Comment dire. Comme une impression de dĂ©jĂ -vu. C’était un cercle sans fin cette histoire. C’est-Ă -dire que mĂȘme avec les sentiments il ne pouvait s’en empĂȘcher, de virevolter ailleurs. Il s’éloigne encore, ça ne serait donc que ça, se rapprocher et s’éloigner. Geste nerveux dans les cheveux, il fallait qu’il continue, qu’il y aille. Il y Ă©tait presque. Encore un effort, allez. Mais c’est le verbe qui lui manque. Flirter. Batifoler. Fricoter. Embrasser. Encore davantage. Ce n’était pas assez. Il aurait dĂ» Ă©crire un petit discours et le lire. Bien que trop peu personnel. Il aurait au moins ce courage-lĂ , d’assumer. Presque. Mais ça prend trop de temps lĂ . Bouge-toi. D’une main tremblante il saisit celle de Mary. ProximitĂ© dĂ©placĂ©e. Toujours Ă  la recherche d’une once de rĂ©confort qu’il ne mĂ©rite pas. J’ai pas rĂ©sistĂ©, avec quelqu’un d’autre on s’est
 rapprochĂ©s. » Il se plante lĂ  devant ce visage qu’il apprĂ©ciait tant. Il s’arrĂȘte. C’était largement suffisant, pour l’instant. Peut-ĂȘtre n’avait-il pas Ă©tĂ© assez clair, que son propos Ă©tait vague. Il attend, un mouvement, une expression, une rĂ©action quelconque. Ça explose dans sa poitrine, l’effroi, la peur, il grimace, ne sait pas quoi ajouter. Il n’a pas dit qui. Il ne le dirait sĂ»rement pas, aprĂšs tout, ce n’était pas ça l’important, l’erreur Ă©tait dĂ©jĂ  grandement suffisante. Il aurait eu envie de fuir, en courant, laisser l’information ici et tant pis, mais il ne peut s’empĂȘcher de s’accrocher lĂ , Ă  elle. GaĂ«lle PanyellaSerdaigle Re La nuit dans la bibliothĂšqueGaĂ«lle Panyella, le Ven 24 Nov - 1854 Une sphĂšre de chaleur dans le creux du ventre qui s'Ă©parpille ne laissant plus place aux lueurs sombres des torpilles ~ allures vagabondes des auras nĂ©fastes qui s'effondrent lorsque la lumiĂšre s'Ă©lance Ă  la rencontre de la piĂšce maĂźtresse des lieux. Un endroit prĂ©misse d'une relation aux dĂ©lices sucrĂ©s de l'amour~achĂ©e. DĂ©voreuse, elle observe les yeux grands ouverts la chaise de l'autre se rapprocher de la sienne et veut Ă  nouveau goĂ»ter Ă  ses lĂšvres, apparition de la gourmandise, allez, juste une petite friandise. Une Ă©tincelle s'approche des pupilles si proches, voilĂ  que le dĂ©sir est exhaussĂ©, un rĂȘve Ă©noncĂ© Ă  des heures clefs, est-ce que le nombre Ă  quatre identiques chiffre est dĂ©jĂ  passĂ© ? Sans importances, ce qu'elle a voulu est arrivĂ©, un frisson d'amusement et de plaisir. Elle sent tout, comme si c'est exacerbĂ©, cette main sur sa joue... Une douce flammĂšche part de cet endroit pour consumer les autres parties de son corps. Mary s'y sent un brin Ă  l'Ă©troit, sans doute est-ce Ă  cause du feu. Partout le sang bouillonne et crĂ©e quelque chose de doux mais dont elle ne peut pas rĂ©ellement profiter pleinement. Contact rompu, dommage miment les lĂšvres avant que le regard ne soit heurtĂ© par celui d'Arty. Quelque chose ne doit pas aller, il manque l'Ă©tincelle qu'elle apprĂ©cie tant. Tenter un sourire, pour lui donner. Essayer d'ĂȘtre lĂ , parce que ça ne doit pas fonctionner que dans un sens. Il a aidĂ© plus qu'elle n'aurait imaginĂ©, heure de rendre la pareille. Sa tĂȘte vient se poser un creux de son cou, simple prĂ©nom Ă©noncĂ© lui suffit pour venir embrasser les parcelles de celui de l'autre qui lui sont accessibles. L'oiseau s'arrĂȘte pourtant lorsque les paroles douteuses sont prononcĂ©es mais n'ont pas l'effet d'un poignard, les bĂȘtises, ça arrive, ils ne sont qu'enfants aprĂšs tout. Casser un vase ça ne le rĂ©pare pas, tant qu'il ne recommence pas. Cependant l'hĂ©sitation et la difficultĂ© semblent se frayer un chemin. Attente de la suite mais il ne se passe qu'un Ă©loignement. TĂȘte penchĂ©e elle observe. À l'intĂ©rieur il n'y a rien. Aucune supposition, juste un vide saisissant. Peut-ĂȘtre qu'elle se prĂ©pare. Va-t-il la laisser ? Impossible, il ne l'aurait pas embrassĂ©. Une bonne nouvelles aux allures hĂ©sitantes alors ? SĂ»rement. Pas de conclusions hĂątives, espoir d'un petit truc chouette, qui allumera une myriade d'Ă©toiles dans leurs deux regards. L’atmosphĂšre devient pesante, sans doute liĂ©e Ă  l'interminable attente. C'est dĂ©tachĂ©e que Mary observe sa main devenue prisonniĂšre. Envie de lui crier de se dĂ©pĂȘcher, pour retrouver la quiĂ©tude qui les englobaient seulement quelques minutes avant. Mais rien. Toujours elle aurait prĂ©fĂ©rĂ© qu'il se taise pour toujoursC'est l'hĂ©catombeComme un joli mur de rĂȘves qui s'effondre D'abord il ne se passe rien, le temps que les mots arrivent et percutent. Le visage d'amoureuse Ă©perdue se transforme. Se fracasse et est vidĂ© de toute consistance. Elle n'est pas stupide. C'est une gamine paumĂ©e, mais pas une imbĂ©cile. Les petites voix dans sa tĂȘte commencent tout doucement Ă  donner leurs avis. Une pichenette sur le front les fait taire pendant un instant. Elle s'Ă©carte vivement, la chaise grince contre le sol d'un son qui crispe son corps automatiquement. L'impact et les consĂ©quences de ce que ça implique ne tuent pas pour le moment. Une seconde de battement. Rapprochement. Certainement pas un simple baiser Ă©changĂ©, ce n'est pas si grave que ça, ne vaut pas la peine d'ĂȘtre Ă©noncĂ©. AprĂšs tout elle n'avait pas dit avoir retrouvĂ© les lĂšvres d'Erundil un peu aprĂšs leur premiĂšre rencontre. Pire. Visage de marbre la jeune fille se lĂšve. ColĂšre colĂšre colĂšre. Sans s'en rendre compte son corps tout entier tremble. Disparue les vagues de chaleur. Un froid impossible vient se loger au niveau de son coeur. Sentiment de encore pire que l'abandonUn pas, la voilĂ  juste devant, un peu d'Ă©lan de la part d'une main aux doigts frĂ©missants, la jeune femme Ă©coute le chat, le sourire narquois. Sans rĂ©flĂ©chir Ă  la consĂ©quence de cet acte compliquĂ© voilĂ  que en un seul mouvement rapide elle se retrouve collĂ©e Ă  la joue de cet imbĂ©cile. Le geste n'est pas pensĂ© mais l'Ă©nervement prend plus de place. Elle a juste envie d'effacer avec une gomme ce qu'il vient de dire et de se jeter Ă  son cou. Et pourquoi pas ? DĂ©pitĂ©e Mary se retrouve sur les genoux d'un arnaqueur qui mĂ©riterait cent annĂ©e de malheur. T'es un vrai c*n. Murmure laissĂ© en suspend avant de s'abandonner et de continuer la quĂȘte du rĂ©confort bien que ce soit lui la cause du malheur. Contredisant ses pensĂ©es Mary se noie dans un dĂ©cors spatial irrĂ©aliste et recommence Ă  l'embrasser, tout en enfonçant ses doigts aux ongles cassĂ©s dans la peau du poignet. HĂ©sitation entre lui faire regretter et juste ignorer, se perdre Ă  donner de la douleur et Ă  noyer dans les premiĂšre larmes qui s'Ă©crasent le malheur. Artemis WildsmithPoufsouffle Re La nuit dans la bibliothĂšqueArtemis Wildsmith, le Ven 24 Nov - 2358 Ça se tortille dans son cƓur, si tant est qu’il en avait un, sĂ»rement oui, tout de mĂȘme, tandis que les secondes dĂ©cident de rigoler, de s’amuser de ce moment latent, les filousses. Finalement la rĂ©action de la Serdaigle est plutĂŽt prĂ©visible. Elle s’arrache Ă  lui, s’éloigne, il la regarde en soupirant. Elle avait compris. Pas la peine d’aller plus loin, de dĂ©velopper, ça se voyait. Pauvre petite chaise rejetĂ©e si brusquement, elle qui n’avait rien fait, victime collatĂ©rale. Il Ă©loigne cette pensĂ©e, concentre-toi, c’est important lĂ . Il n’avait pas l’habitude de la voir ainsi, les sourires et la lumiĂšre semblaient avoir dĂ©sertĂ© de son visage, de ses yeux. Il Ă©tait entiĂšrement responsable de ça. Comme le visage d’Alex ce jour-lĂ . Ses sentiments passent brutalement Ă  la machine Ă  laver, de nouveau. ComplĂštement dĂ©chirĂ©. Mais ce n’était pas lui qui souffrait le plus ici. C’était elle, qui s’était dorĂ©navant rapprochĂ©e, alors qu’elle aurait pu partir tout simplement. Claquer la porte, ne jamais regarder en arriĂšre. Il aurait peut-ĂȘtre prĂ©fĂ©rĂ©. Attendait-elle des explications ? Un pourquoi ? Il n’en avait pas. Ah non. Le faire souffrir en retour, ça devait ĂȘtre ça. Il ne flanche pas tandis que la main de la Serdaigle part pour venir s’écraser contre sa joue. Aucune colĂšre chez lui, au contraire. Elle pouvait tout lui faire, exorciser tout ce qu’il se passait dans son cƓur Ă  elle, il l’avait grandement mĂ©ritĂ©. Il voudrait dĂ©sormais qu’elle se mette Ă  lui crier dessus et le rouer de coups. Tout lĂącher. Enfin, en douceur. Il se pince les lĂšvres alors que son regard vient se concentrer le sol de la bibliothĂšque comme s’il ne pouvait pas, impossible de l’affronter. ComplĂštement vulnĂ©rable devant la froideur avec laquelle elle s’exprime. Quatre mots et demi sortent de sa bouche. Il hausse un sourcil, se risque Ă  lever les yeux. Un con. C’est qu’elle avait tout Ă  fait raison. Mais encore. L’euphĂ©misme de l’annĂ©e, elle Ă©tait plutĂŽt gentille. Parce qu’heureusement elle ne connaĂźtrait jamais, l’autre moment. Le fameux dans la Cabane. Il y Ă©tait forcĂ©. Alors il se dit plutĂŽt content, qu’il y ait eu Zack. Parce qu’il pouvait ainsi avouer, en partie. Sinon il n’aurait eu d’autre choix que de lui cacher, enfermĂ© dans sa culpabilitĂ©. Ici, il avait cette chance de rĂ©vĂ©ler et de se libĂ©rer par la mĂȘme occasion. L’ ne lui rĂ©pond pas. Se contente de l’observer toute tremblante. Puis il vrille complĂštement. Situation Ă©pileptique. La revoici dans ses bras. Son cƓur s’enflamme de nouveau, son corps aussi. BrĂ»lant d’une chaleur qu’il n’aurait pas cru revoir si tĂŽt. Trop tĂŽt d’ailleurs. Qu’est-ce qu’elle faisait. Pas si prĂ©visible en rĂ©alitĂ©. Il n’est pas sĂ»r de comprendre. Un contact beaucoup plus abrupt qu’avant la rĂ©vĂ©lation, mais il l’accueille, Ă©videmment. Il se libĂšre de son emprise pour la serrer contre lui, mains sur ses hanches et dans le dos. L’emprisonner peut-ĂȘtre un peu, l’empĂȘcher de partir encore une fois. Puis au rythme des baisers. J’suis dĂ©solĂ©. J’suis dĂ©solĂ©. » Non pas qu’il ne le voulait pas, la tromper, il ne mentirait pas. Il Ă©tait tout simplement terriblement dĂ©solĂ© de la faire souffrir tant. Enfin, ce qu’il pensait. Il se laisse guider, ne cesse de l’embrasser. Il tente d'expier ainsi sa culpabilitĂ©, la transmettre peut-ĂȘtre. C’est qu’il profitait, un peu, d'avoir Mary contre lui, si proche. Contradictoire parce qu’il amorce un lĂ©ger mouvement de recul. N’étaient-ils pas censĂ©s en discuter ? Attends. Attends. Attendre quoi exactement. Arty est perdu, complĂštement. Elle le gifle pour l’embrasser ensuite. Qu’est-ce que tu fais ? Est-ce qu’il imaginait une rĂ©ponse, sĂ»rement pas. Il rĂȘvait. Alors il prĂ©fĂšre le dire, parce qu’il n’est pas sĂ»r de pouvoir continuer Ă  mentir. Tu sais que j’vais recommencer. J’peux pas t’promettre le contraire. D’un autre cĂŽtĂ©, ça n’arrivera peut-ĂȘtre plus. J’sais pas. Dis moi. » Quoi. Qu’est-ce qu’elle pourrait bien dire ou vouloir. Et lui. S’il pouvait succomber sans culpabilitĂ© est-ce que ce ne serait pas l’idĂ©al ? SĂ»rement. Puis il se demande vivement pourquoi exactement. Ses sentiments Ă©taient toujours lĂ  pour elle, aucun doute lĂ -dessus. D’ailleurs. Étaient-ils toujours ensemble. Alors. Il chasse l’interrogation et la rĂ©flexion d’un geste des mĂšches brunes. RĂ©flĂ©chir. Pourquoi faire. Puis cette question de lĂ  maintenant, ce qu'ils faisaient exactement. Il dĂ©glutit face Ă  la difficultĂ© de ne pas se ruer, fondre sur les lĂšvres de la Serdaigle. GaĂ«lle PanyellaSerdaigle Re La nuit dans la bibliothĂšqueGaĂ«lle Panyella, le Sam 25 Nov - 1249 Quelque chose se modifie ici et lĂ  quelque part mais elle ne sait pas trop oĂč, sĂ»rement la colĂšre qui s'entasse pour s'amuser, jouer avec les illusions qui passent et repassent alors que ses yeux sont fermĂ©s. LĂšvres toujours collĂ©es, ses mains ne font plus qu'effleurer la peau, trop tĂŽt pour lui infliger la douleur. Ce qu'elle comprend lui fait peur mais dans le dĂ©ni elle ne cherche pas bien loin. Cependant c'est tout proche que dans la chaleur du corps d'ArtĂ©mis elle trouve un j'en ai marre avec son ami c'est fini de subir, de souffrir alors qu'elle ne vit que pour Ă  nouveau sourire. Mary a bien conscience que ce n'est pas une bonne idĂ©e, se retrouver ici sur des genoux qui mĂ©ritent d'ĂȘtre coupĂ©s mais la raison semble s'ĂȘtre Ă©vaporĂ©e dans une note de musique qui clĂŽt une jolie histoire, peut-ĂȘtre que ce n'est qu'un Ă©niĂšme Ă©lĂ©ment perturbateur qu'elle espĂ©rait dĂ©clencheur de la rĂ©solution. S'enfonçant dans des ruelles sombres mal famĂ©es lĂ  voilĂ  surprise de constater que le soleil n'est plus prĂ©sent mais une lueur blanche inquiĂ©tante. La poupĂ©e est loin elle aussi. Suffit de cette constatation pour comprendre celui qui reste. L'Ă©quilibre rompu n'annonce rien de bien positif mais c'est plus facile alors elle touche la corde Ă©paisse plus gracile et mallĂ©able, une pelote de laine aux deux milles possibilitĂ©s. Il lui faut ĂȘtre attentive Ă  ne pas l'emmĂȘler, sinon ce sera encore la pagaille, un labyrinthe de corde dont il lui sera bien compliquĂ© de trouver le dĂ©tachement trop rapide laisse Ă©chapper un certain grognement. Impossible elle ne veut pas. Aucune raison de se plaindre pourtant, les lĂšvres continuent de s'effleurer alors que d'inutiles dĂ©solĂ©s s'approchent. Maintenant elle n'est plus plongĂ©e dans le noir, remarquant Ă©tonnement que les couleurs sont tout de mĂȘmes restĂ©es malgrĂ© la blessure infligĂ©e. Insatisfaite ça ne suffit pas. Envie qu'il souffre, qu'il sente la pointe d'un poignard s'enfoncer Ă  plusieurs reprises dans le ventre. Puis une fois soignĂ©e, recommencer. Histoire de sa propre vie. AprĂšs tout, il l'a cherchĂ©. Encore plus lorsque Ă  nouveau une distance est installĂ©e. Mine boudeuse chagrinĂ©e, c'est plutĂŽt clair qu'elle n'a aucune envie de discuter. Risque de s'Ă©nerver, avec toutes les petites consĂ©quences qui suivent. Ce qu'elle fait... Si simple. La rĂ©ponse est Ă©vidente. Il ne reste plus que le chat sauvage, les autres sont partis Ă  cause de toi. T'es un tueur de poupĂ©es et un pompier qui Ă©teint les soleils. Mais mon fĂ©lin n'a pas peur des chiens. Dans sa tĂȘte tout est logique. Simple et limpide, rien de plus Ă  expliquer. Regard dans le sien, Mary tente de le rendre froid sans grandes rĂ©ussites. Certainement une lueur d'incomprĂ©hension dans celui d'ArtĂ©mis mais ce sera Ă  l'autre narratrice de dit qu'il veut recommencer dans la tĂȘte ça bouge encore les paroles se transforment pour ne plus ĂȘtre ce qu'elles sont Ă  la base Ce n'est pas une bonne idĂ©e, il ne choisi pas les bons motsUn instant lĂ  voilĂ  relevĂ©e, loin de lui, murmure brisĂ© je reviens, tu bouges pasPour s'effacer dans les rayons de la bibliothĂšque, un peu de calme, dĂ©terminationPlus question d'ĂȘtre faiblesseUn chemin sinueux se trace dans les dĂ©combres d'un coin de son coeur qu'elle aperçoit Ă  prĂ©sent catacombes Ses mains s'enfoncent dans un creux, sortantes avec un ouvrage qu'elle ne sait pas utiliserCe n'est pas comme ça que finissent les contes de fĂ©esRetour vers le point de dĂ©part. Le livre en mains elle ne sait pas quoi en faire, encore une idĂ©e stupide alors qu'elle rĂȘvait de grandiose. Il encombre, elle le balance dans la direction du poufsouffle, poufsouffre ? Ce nouveau mot lui plaĂźt. Envie de l'entendre rouler contre sa langue qui claque poufsouffre. L'ouvrage ne tombe pas sur sa tĂȘte, dĂ©cidĂ©ment elle n'est pas dotĂ©e de prĂ©cision, tant pis. VoilĂ  paumĂ©e, Mary perdue, un mal de tĂȘte pratiquement prĂ©sent. D'un revers de la main les larmes sont effacĂ©es bien que remplacĂ©es par de nouvelles qui se veulent de plus en plus douloureuse. Le vide est de plus en plus intense. Oscillant entre la raison et la dĂ©raison elle choisi finalement la derniĂšre option ne voulant pas rompre si tĂŽt de nouvelles rĂ©solutions. Elle pourrait prendre une chaise et l'assommer, ce serait plus simple. Finalement elle s'assied Ă  nouveau sur les jambes de l'autre, avant de planter ses mains dans les joues si adorables de son tortionnaire. Bien dĂ©cidĂ©e Ă  inverser les rĂŽles. Cisailler de l'intĂ©rieur et de l'extĂ©rieur. Tu sais quoi ArtĂ©mis, je m'en fiche. C'est un mensonge elle le sait mais au final peu importe, envie de se donner l'impression d'ĂȘtre forte mĂȘme si l'autre n'y croit pas. Maintenant tu la fermes. LĂšvres pincĂ©es qui finissent par fondre Ă  nouveaux, embrassant son visage. Il ne le mĂ©rite pas, elle non plus. Si il s'est laissĂ© consumer par quelqu'un d'autre elle compte bien l'achever. La petite crise A assez durĂ©e. Se donner l'illusion que c'est lui qui est en prison et pas le pauvre petit oiseau qui jamais ne saura s' aura cicatrisĂ© alors que je n'aurais pas trouvĂ© un seul pansement Artemis WildsmithPoufsouffle Re La nuit dans la bibliothĂšqueArtemis Wildsmith, le Dim 26 Nov - 221 Il accueille les paroles de la Serdaigle la bouche lĂ©gĂšrement entrouverte. Il ne comprend rien. Une histoire de chats et de chiens, une vraie animalerie, il ne voit pas trĂšs bien ce que ça vient faire lĂ , alors imperceptiblement il hausse les Ă©paules. Il savait que Mary pouvait se montrer perchĂ©e, pas dans le mauvais sens du terme, mais c’est comme si la colĂšre devait dĂ©figurer ses pensĂ©es, c’était pas super joli Ă  voir. Mais il laisse passer, il ne lui demande rien. Aucune explication, parce qu’elle semble dĂ©jĂ  ĂȘtre passĂ©e Ă  autre chose. Il lui laisse le temps, aprĂšs tout, il fallait qu’elle digĂšre, qu’elle sache exactement quoi faire. Pendant qu’il attendait la sentence, tout Ă  fait prĂȘt Ă  assumer, presque. Elle lui ordonne brusquement de ne pas bouger, et il obĂ©it. C’est rare. Peu sont ceux dont il accepte les ordres, mais ce soir, il pouvait peut-ĂȘtre faire une exception, le temps qu’elle s’adapte, qu’elle avise de la suite. Et tandis qu’elle s’éloigne il reste lĂ . Les bras ballants il s’intĂ©resse Ă  une petite Ă©charde de bois qui dĂ©passe, il n’a aucune idĂ©e de ce qu’est en train de traficoter la Serdaigle, peut-ĂȘtre est-elle partie. Il relĂšve la tĂȘte, le temps de voir un livre voler. On passait aux choses sĂ©rieuses. HĂ© » VoilĂ  qu’elle l’attaquait avec les livres, le pire c’est qu’elle avait Ă  ses cĂŽtĂ©s une ribambelle de munitions. Peut-ĂȘtre devrait-il commencer Ă  s’inquiĂ©ter, juste un peu. Il s’attarde un moment sur son visage, il en Ă©tait tout Ă  fait responsable. Ça le chiffonne de la rendre ainsi, petite pique dans la poitrine. Mais de nouveau, un vĂ©ritable accordĂ©on, la voici de nouveau sur lui, sur ses genoux. Ça ne faisait que le perdre davantage, petit cƓur sautillant dans un ascenseur Ă©motionnel pas vraiment agrĂ©able. Mais encore une fois, il l’avait cherchĂ©. Ses mains contre ses joues, ça l’électrise, il se demande ce qu’elle allait bien trouver comme menace cette fois. Devait-il paniquer ? Pas tellement. Elle s’en fiche, dit-elle. Elle ne pouvait pas trouver pire. Pourquoi rĂ©agissait-elle ainsi dans ce cas ? Il aurait fallu l’annoncer dĂšs le dĂ©but s’il pouvait aller voleter ailleurs, il n’aurait pas culpabilisĂ© autant lors de l’adoltĂšre – nĂ©ologisme. Ils auraient dĂ» Ă©tablir quelques rĂšgles, quelque chose comme un contrat stipulant les droits de l’un et de l’autre. Maintenant il doit se taire. Il avait Ă©tĂ© trop obĂ©issant. D’accord il avait fait une connerie, peut-ĂȘtre, parce que finalement ça n’avait pas tant l’air de la toucher tant que ça, d’apparence. Mais il n’allait pas se laisser malmener ainsi. Puis demander Ă  Arty de la fermer, c’est comme demander Ă  un caribou de faire du roller. Ça ne marche pas bien, littĂ©ralement. Il Ă©loigne les mains de Mary de son visage, c’est compliquĂ©, de la repousser ainsi. Lui-mĂȘme n’en revient pas. Mais c’est que ça le l’offense. Elle s’en fichait. Ses mots continuaient de rĂ©sonner dans son cerveau retournĂ© par le comportement de la Serdaigle. Des explications. Il en avait donnĂ©, Ă  peu prĂšs, il mĂ©ritait une discussion, aussi petite soit-elle. Du moins c’est ce qu’il pensait. Alors forcĂ©ment, une lueur insolente dans ses yeux, il les plonge dans les siens. Tu t’en fiches ? Fallait le dire plus tĂŽt, tu m’aurais Ă©vitĂ© pas mal de monologues intĂ©rieurs. Il ricane. Peut-ĂȘtre la provoque-t-il volontairement, sĂ»rement. Et m’appelle pas comme ça. C’est Arty. » Parce que c’est important de relever Ă  chaque fois qu’il entendait son prĂ©nom entiĂšrement. Parce que ça lui met une vision de sa mĂšre dans les rĂ©tines et que ce n’était clairement pas le moment. Pourtant, le Blaireautin est incapable d’envoyer vraiment paĂźtre la Serdaigle. Il la garde lĂ , toujours en face de lui. Il se risque Ă  lui caresser la joue. Il ne sait plus oĂč ils en Ă©taient, il continue de l’embrasser, soudainement. Lui aussi tiraillĂ© certainement, entre son Ă©go froissĂ©. Puis ses lĂšvres lĂ , toujours, et dont il n’arrive pas Ă  se dĂ©tacher. Parce qu’il a du mal Ă  accepter, qu’elle puisse s’en fiche. Elle devait ĂȘtre touchĂ©e, l’implorer pour qu’il ne recommence plus, le forcer Ă  ĂȘtre avec elle. Mais non. Pourtant, elle Ă©tait toujours lĂ , elle n’était pas partie, n’avait pas claquĂ© la porte en l’insultant de tous les noms. Elle demeurait, Ă  savoir pourquoi. Elle ne savait pas elle-mĂȘme en fait, ça se voyait, la claque puis le bouquin rageur, il n’avait pas saisi, maintenant oui. Elle ne cessait d’osciller, clairement, entre l’éloignement et la il Ă©tend les bras, perpendiculaire Ă  son corps, complĂštement offert, il se surprend lui-mĂȘme. Tu sais quoi, c’est ton moment. J’ai Ă©tĂ© clair, honnĂȘte, enfin, plus ou moins. Maintenant tu fais c’que tu veux. Mais va falloir choisir. Soit tu m’balances tous les livres de cette maudite bibliothĂšque Ă  la figure. Ou. » Il ne termine pas sa phrase, il sourit un peu et mĂȘle une derniĂšre fois ses lĂšvres aux siennes. Comme un point d’orgue. Il sait sa proposition dangereuse, mais dans l'atmosphĂšre pesante, l'espiĂšglerie et le jeu continuaient de percer, petit Ă  petit. GaĂ«lle PanyellaSerdaigle Re La nuit dans la bibliothĂšqueGaĂ«lle Panyella, le Dim 26 Nov - 2159 Elle veut juste profiter et oublier mais encore une fois il ne veut pas. C'est lui le fautif, elle ne comprend pas d'oĂč il peut se le permettre. Un soupire exagĂ©rĂ© s'Ă©lance, se mĂȘlant Ă  la danse de la provocation qu'elle tente d'apprendre. De nouveaux pas avec lesquels mĂȘme le fĂ©lin a un peu de mal. Être happĂ© dans ce jeu insolite n'en vaut sans doutes pas la peine, prĂ©fĂ©rer la haine pure sans rapprochement serait plus saint, moins envoĂ»tant. Mary y pose tout de mĂȘme plus d'un orteil juste pour essayer. Les saveurs innovantes qu'elle goĂ»te ne lui sont pas si dĂ©sagrĂ©able que ça alors pourquoi se priver d'autant plus que lui ne s'est pas privĂ© lorsque la/les se sont prĂ©sentĂ©. Elle ne saura sans doutes jamais mais plus envie d'ĂȘtre la seule Ă  ne pas profiter ou mĂȘme comprendre les raisons de ces horreurs dĂ©chaĂźnĂ©es qui l'ont poussĂ© Ă  la tromper. Le mot n'est pas trĂšs joli d'ailleurs, rĂ©flexion faite il faudrait en trouver un nouveau. Deux trois secondes, le temps de trouver. EmbrunisĂ©es. Aucun rapport mais plus poĂ©tique. Du coup, vu qu'il s'est permis de l'embrunisĂ©e, elle voudrait voir et tenter aussi de faire mal de cette maniĂšre lĂ  histoire de laisser la douleur physiques aux personnes comme la vipĂšre. Si jamais elle n'y arrive pas eh bien tant pis elle finira comme elle et ce sera la faute de celui qui l'avait il y a si peu de temps paroles n'arrangent pas l'histoire. Est-il dĂ©bile ? Depuis quand doit-on se fier Ă  ce que quelqu'un montre dans le premier plan comme si il n'y en existait pas d'autre ? Il fait quoi des trois milles facettes qui s'Ă©parpillent dans son cerveau. Elle est comme ça parce qu'elle a mal. Comme prĂ©vu les rĂŽles s'inversent. Mary voulait mener pour une fois, ĂȘtre celle qui fait souffrir mais il suffit d'une rĂ©plique du camps adverse pour que ce visage presque dĂ©tachĂ© devienne totalement dĂ©truit. Tentative de se reprendre avec ce masque froid, peut-ĂȘtre mĂȘme pas forcĂ© vu la remarque inutile sur le prĂ©nom. T'es un enfo*rĂ© d'avoir fait ça. Comme une Ă©vidence qui tombe. Un sceau d'eau froide, glaciale tombe sur la bulle de barbe Ă  papa qui n'est plus que sucre plaquant et perd son aspect doucereux. J'suis loin de m'en foutre. Je te faisais confiance m*rde. Une main rageuse part dans ses cheveux emmĂȘlĂ©s pour Ă©carter les mĂšches qui tombent sur son nez. Je m'arrange pour pas trop avoir mal, c'pas la premiĂšre claque que je me tape, j'finis par savoir comment mordre mes joues pour ne pas sentir la douleur Ă  son point d'origine, Arty. Elle insiste sur les syllabes de la fin, montrer un peu de dĂ©termination avant d'essuyer vite fait les derniĂšres larmes qui tentent de s'Ă©chapper. J'ai dĂ©cidĂ© d'ĂȘtre chat. RĂ©pĂ©tĂ© en boucle il finira par devenir rĂ©alitĂ©. Du moins elle l'espĂšre, pas envie de retourner dans les tentacules de Folie. C'pas le couleurs commencent Ă  se ternir autour d'eux mais une simple caresse sur sa joue leur redonne un peu de teintes qui sont agrĂ©ables Ă  regarder. Pas besoin de plus. Son coeur semble renaĂźtre lorsque enfin elle retrouve les lĂšvres de ce drĂŽle de tortionnaire. Enfin on ne peut pas dire qu'il est comique. Elle imagine que ce n'est qu'un caprice, mais sans jugements Ă©tant donnĂ© que dans cette situation tout sauf idyllique elle ne vaut pas mieux. Simplement profiter. C'est un peu une note de fin, comme si la corde du violoncelle se rompait. Rip. Les derniers accords sont pourtant agrĂ©ables. On est triste que ce soit le dernier acte de la piĂšce mais les comĂ©diens sont toujours aussi plaisants Ă  s'Ă©tend un peu. Difficile de se contenir pour ne pas encore fondre sur lui. Un aimant. DerniĂšres paroles prononcĂ©es un peu Ă  l'arrache. Nouveau frisson. Ses yeux le regarde d'une façon nouvelle. L’attirance a quelque peu changĂ©. Ce n'est plus les mĂȘmes raisons qui la poussent Ă  l'embrasser pour rendre les parcelles de sa peau brasier. L'Ă©tĂ© s'est transformĂ© en hiver, une saison tout aussi agrĂ©able mais d'une façon diffĂ©rente. Le choix est simple. Les gens honnĂȘtes ils embrunisent pas ceux qu'ils sont sensĂ©s aimĂ©s. Mais j'sais pas prendre de dĂ©cision tu vois... Sans doutes est-ce l'adrĂ©naline, mais sa robe de sorciĂšre finit par atterrir Ă  ses pieds. Fixant son ventre beaucoup trop maigre et effrayant, Mary se rend compte que c'est peut-ĂȘtre, nan c'est une erreur il va avoir jamais vouloir. Mais j'pense que tu vas te casser, j'suis sans doutes un peu trop nulle par rapport Ă  celui, celle, ceux, peu m'importe, mais Ă  qui tu m'as prĂ©fĂ©rĂ©.. Elle tremble intĂ©rieurement, frĂȘle coquille qui ne sait plus mais qui ne bouge pas pour autant. Face Ă  lui elle se rend compte qu'elle est faible. C'est pas ça qui la rend moins amoureuse. Faudra le temps. Le choix qu'elle a fait n'est pas si compliquĂ© Ă  comprendre ses gestes le montrent mais elle n'est pas sĂ»re que lui le veuille. Peut-ĂȘtre un dernier espoir avant qu'une page se tourne. Artemis WildsmithPoufsouffle Re La nuit dans la bibliothĂšqueArtemis Wildsmith, le Mar 28 Nov - 2329 Un enfoirĂ©. Ouais. C’est-Ă -dire que de lui-mĂȘme il n’aurait pas pu trouver mieux. Joliment dit. Comme si finalement il demandait confirmation de son erreur, de son comportement de bougre. Il avait besoin de cette pique, il attendait peut-ĂȘtre que ça rĂ©veille chez lui autre chose que la culpabilitĂ©, puisqu’elle seule n’était pas suffisante pour le retenir. Besoin d’entendre de sa bouche exactement ce que ça lui faisait, pour que cesse de n’ĂȘtre qu’une illusion, un petit nuage Ă©lectrique qui virevoltait au-dessus de sa tĂȘte. Ajouter de la tangibilitĂ© Ă  la douleur qu’il affligeait. Le fait qu’il soit celui qui ait rajoutĂ© Ă  son abĂźme de douleur. Ainsi, certes, les larmes et ses mots piquants le touchent, il ne peut pas dire le contraire. Mais tout de mĂȘme. Ne devrait-il pas se sentir encore plus mal que ça ? Parce qu’elle avait raison, il l’avait trahie, complĂštement, sciemment. Et pourtant. Ça le frappe d’un coup, sur le coin de la mĂąchoire, tellement qu’il grimace. Il se rend compte. Il n’avait pas Ă©tĂ© celui qu’il fallait Ă  Mary. Il lui avait promis de la lumiĂšre, des Ă©tincelles et autre. Puis rien, il avait tout fait flamber d’un coup. Pourquoi au juste ? Des pĂ©tillements dans le bas-ventre. SĂ©rieusement. Il aurait pu faire mieux. Il y avait tout de mĂȘme un bon point Ă  tout cela. Elle l’avait appelĂ© Arty de nouveau, ce n’était pas nĂ©gligeable. Comme quoi, tout n’était pas perdu. Loin de lĂ . La preuve en est dans son regard, juste lĂ , ça s’est renversĂ©. Il y avait autre chose. Elle dit ne pas savoir prendre de dĂ©cision, pourtant, le tableau qui se dessine devant ses yeux lui paraĂźt ĂȘtre une dĂ©cision assez marquĂ©e, peu subtile. Il fait tout ce qu’il peut pour se mordre l’intĂ©rieur de la joue. Et lui ce n’est pas pour ne pas sentir la douleur. C’est pour calmer l’appĂ©tit grandissant, d’un coup. Il interprĂšte les derniĂšres paroles de la Serdaigle comme une lĂ©gĂšre provocation. Elle disait n’importe quoi. RĂ©veiller quelque chose en lui, sans doute, se dit-il. Il ne pouvait pas partir ainsi, ne pas la laisser lĂ , comme ça. Tout de mĂȘme. Il la fixe, dents serrĂ©es, toujours. Avait-il vraiment prĂ©fĂ©rĂ© ces autres dont elle parle ? Sur le moment, peut-ĂȘtre. Mais elle Ă©tait toujours privilĂ©giĂ©e, quelque part dans sa poitrine Ă  lui, il ne la considĂ©rait pas comme les autres. Et lĂ , davantage. Toutefois il hĂ©site, lĂ  sur sa chaise, le temps de cligner plusieurs fois des yeux. Voir s’il ne rĂȘvait pas. Si elle Ă©tait bien lĂ , carrĂ©ment vulnĂ©rable devant lui. Un peu trop nulle avait-elle dit. Il n’en revient pas. C’était peut-ĂȘtre son rĂŽle aussi, encore, pour le moment. D’ĂȘtre lĂ  et de lui redonner confiance. C’est l’excuse qu’il se trouve, parce que dĂ©sormais, il n’a pas du tout envie de partir. Alors guidĂ© par ses artĂšres bouillonnantes, sensation qui malheureusement ne lui est pas tout Ă  fait Ă©trangĂšre, il se lĂšve pour se rapprocher dangereusement de Mary. Les doigts affairĂ©s Ă  dĂ©boutonner sa chemise tandis que son front vient se poser contre celui de la brune, nez Ă  nez. T’es pas nulle. C’est moi qui ai m*rdĂ©, c’tout. » Ça donne une petite impression de regret, Ă  peine. De nouveau essayer de rencontrer les rĂ©tines de l’autre, Ă  quelques millimĂštres maintenant. Le tout vrombit Ă  l’intĂ©rieur. D’un coup, il a l’impression d’ĂȘtre transportĂ©, loin d’ici, de la bibliothĂšque mais aussi et surtout des derniĂšres rĂ©vĂ©lations. Il y pense briĂšvement, en sachant que ça allait aboutir sur quelque chose comme ça, il aurait peut-ĂȘtre du tout dĂ©voiler il y a longtemps. Évidemment que l’idĂ©e un peu noire lui passe par la tĂȘte. Celle-lĂ  mĂȘme qui lui dit d’une voix chuchotĂ©e que ce n’était pas une bonne chose, clairement, que ce n’était pas le moment opportun. Qu’il profitait d’elle, un peu, de sa fragilitĂ©. Mais Mary Ă©tait une grande fille, plus que lui d’ailleurs. DĂ©licatement, il la pousse alors contre la table, juste lĂ , Ă  cĂŽtĂ© d’eux. Il avait de sĂ©rieux efforts Ă  faire au niveau de la frustration et de la tentation. Mais as usual, il s’en prĂ©occuperait plus tard. Ses doigts se hasardent chaleureusement sur la peau de la Serdaigle, sur ce ventre qu’elle n’osait pas tellement exposer. J’partirai pas. » Comme si ce n’était pas suffisamment clair, qu’il avait besoin de prĂ©ciser ce point-lĂ  exactement. Je pense que quelque part il aurait bien aimĂ©, ĂȘtre plus courageux que ça. Lui dire non, ce n’est pas possible, pas maintenant, qu’ils n’étaient pas en Ă©tat. Tourner le dos et on se voit plus tard. Mais trop entier Ă  ses impulsions, il joint ses lĂšvres Ă  celles de Mary. Puis il descend mĂ©ticuleusement, souligner les traits de la mĂąchoire, du cou, de la clavicule, saillante, tandis qu’il presse le reste de son corps contre elle. Peut-ĂȘtre qu’elle se rĂ©veillerait, le repousserait. Finalement, qui sait. GaĂ«lle PanyellaSerdaigle Re La nuit dans la bibliothĂšqueGaĂ«lle Panyella, le Jeu 7 DĂ©c - 2120 Musique ouais ça faisait longtempsNe sachant pas quoi faire je me contente de fixer. De regarder les boutons se dĂ©tacher, sa chemise disparaĂźtre pour laisser le reste se montrer. Douleur lancinante qui choie des deux cĂŽtĂ©s de la balance. Jalousie d'une part, qui me murmure que je ne suis pas la premiĂšre qui aura la chance de goĂ»ter Ă  ces morceaux de peau dĂ©nudĂ© puis de l'autre celle, plus agrĂ©able, de l'attente et de la tentation. Tous ses gestes sont Ă©piĂ©s, une caresse dans le regard dĂ©plaçant l'animositĂ© toujours prĂ©sente, dans un coin quelque part, juste pour l'instant et admirer tenter deux secondes de profiter pour laisser toute la place Ă  Monsieur DĂ©ni le Husky et juste sentir les effluves du moment m’enivrer dans un tourbillon Ă©lectrique, les premiĂšres notes Ă  peine jouĂ©e le spectacle devient addictif. Peur de devenir cette ex flippante qui ne voudra plus le quitter, qui suivra, finira pas faire une bĂȘtise, pour ne pas trop se dĂ©truire mais d'un autre cĂŽtĂ© je ne veux pas le voir perdre toutes les lueurs que j'ai dĂ©jĂ  pu apercevoir dans ses yeux. L'air de rien il vit et mĂȘme si la maniĂšre n'y est pas toujours. Les idĂ©es fuient et j'en viens presque Ă  penser qu'au final ce n'est pas si grave d'ĂȘtre trompĂ©e. Habitude de dire que tout est Ă©phĂ©mĂšre alors pourquoi pas lui ? Les ondes de chaleur reviennent Ă  la charge, j'suis pas nulle mais c'est un mensonge, un parmi d'autre que je finis par accepter comme un cadeau qu'il offre pour tenter de rĂ©conforter. Au final c'est sans doutes ça et les graphiques montent et descendent dans un coeur qui ne sait plus quoi penser, maximums, minimums, j'pense qu'on ne peut pas aller plus haut ou plus bas mais finalement il n'y a pas que les limites de l'Ă©criture qui sont sans cesses repoussĂ©es. Elles peuvent toutes l'ĂȘtre, et c'est ça qui est considĂ©rĂ© comme marrant dans le jeu que la vie propose, juste des dĂ©fis de plus en plus dangereux de plus en plus tentants qui finissent eux aussi par devenir des inĂ©vitables tant ils engouent, tant ils donnent envie de prouver, Ă  soi et aux autres que nous, on peut y arriver. Les ravages qu'ils laissent sur leurs passages sont insignifiances alors qu'ils mĂ©riteraient une si grande importance...DĂ©viĂ©e, contre la table que je sens sous mon dos sans comprendre il est au-dessus et Ă  nouveau les yeux s'Ă©garent, les mains aussi. Puis un dĂ©solĂ© qui passe par une oreille pour sortir par l'autre parce que ce qui est fait est fait et mĂȘme si je n'ai pas envie de passer l'Ă©ponge pour le moment c'est sans importances. Partir Ă  la dĂ©couverte ce n'est pas si mal non plus, frĂŽler du bout des doigts son dos, dĂ©vier vers des inconnues. Les corps rapprochĂ©s qui se mĂȘlent, je l'ai finalement ma danse, quand ses lĂšvres Ă©chappent Ă  son propre contrĂŽle et que dans un dernier effort je tente de chuchoter que finalement t'as rĂ©ussi Ă  les faire rester puis me relĂšve d'un coup pour attraper sa main, s'Ă©loigner de cette table un peu trop exposĂ©e - on sait jamais quelqu'un peut Ă  tout moment entrer - et dĂ©lirer, dĂ©livrer, dĂ©lier. Puis dans un coin plus confortable Ă  nouveau s'emmĂȘler se croiser ne plus trop savoir pour finalement m'abandonner entiĂšrement, les gestes sont plus fort, les caresses plus douce, dĂ©passant le stade du regard et les lĂšvres qui ne se posent plus que sur ses semblables mais dĂ©vient. Un moment choyer Un moment d'abandonUn moment sans regrets Un soupçon de dĂ©liceUn Ă©tincelle de malicePuis des odeurs de rĂ©glisseEt une petite ellipse paske j'suis innocente et que j'veux pas savoir ce qu'il se passe lĂ  exactement Un rayon de bonheurLes pĂ©tale tombent de la fleurUn peuBeaucoupPassionnĂ©ment À la folieSans se soucier du pas du toutJuste un sourire et quelques larmesSans remordsJuste un Ă©lan de gratitude qui s'Ă©vade alors que fixant le plafond le sourire ne quittant pas je fixe en coin et je comprends que Ă©trangement ça n'a fait que Ă©viter le pire, t'm'as sauvĂ©e du chat Arty, pas de remerciement pourtant pour ne pas qu'il se croit trop fort, mĂȘme si c'est sans doutes la derniĂšre Ă©treinte alors j'me lĂšve et cherche cette fameuse robe tombĂ©e puis la reporte, remise Ă  sa place et retourne prĂšs d'Arty et non Artemis il aime pas mais c'est vrai que c'est plus joli puis au final il donnait bien quand on le faisait rimer avec Mary. Du passĂ© parce qu'il n'y a plus cet ensemble qu'ils sont sensĂ© formĂ©. Je dĂ©pose un dernier baiser sur ses lĂšvres aussi frivole puis termine par un simple adieu, plus de merci d'exister il ne les mĂ©rite pas, juste un c'est gentil d'avoir Ă©tĂ© lĂ  pour finalement fuir dans une tornade d'Ă©motions qui ne sont plus contradictoires. Au final ces petites choses lĂ  ça s'emporte pour finalement se calmer en criant que la tempĂȘte et momentanĂ©ment du rp pour moi, merci Artemis WildsmithPoufsouffle Re La nuit dans la bibliothĂšqueArtemis Wildsmith, le Sam 16 DĂ©c - 2015 Pas le temps d’ĂȘtre surpris. Elle vient de dire oui, avec ses baisers, ses mains, une sorte d’assentiment qui fait pulser son sang Ă  l’intĂ©rieur. Il ne rĂ©flĂ©chit mĂȘme plus, au fait que non ça ne se fait pas, ce serait la briser. Mais il se donne trop d’importance, et l’étreinte semble ĂȘtre le meilleur moyen pour oublier qu’il s’était comportĂ© comme un enfoirĂ©. Qu’il en avait marre d’ĂȘtre ainsi rongĂ© par la culpabilitĂ©, alors profiter et surtout, donner Ă  Mary, lĂ , Ă  ce moment prĂ©cis, exactement tout ce qu’elle voulait. Qu’est-ce qu’il Ă©tait gĂ©nĂ©reux tout de mĂȘme. Il ne comprend pas forcĂ©ment ce qu’elle dit, mais il la suit, plus loin, en retrait dans la bibliothĂšque. La symbolique le frappe de nouveau Ă  la figure tandis qu’il sent Mary sous ses doigts, ses baisers. Totalement guidĂ© par la fureur des plaisirs, il en oublie mĂȘme que pour une fois, l’acte Ă©tait le bienvenu, pas de cachoteries, il Ă©tait autorisĂ© Ă  l’embrasser de cette façon. Parce qu’à cet instant elle Ă©tait encore sa petite amie. Mais en rĂ©alitĂ© ça ne change absolument rien, il a cette facultĂ© de foutre son cerveau en pause, surtout dans un tel moment. Pourtant, c’est tout de mĂȘme avec plus de passion et de dĂ©termination qu’il l’embrasse, et qu’ils se pour l’innocence de Mary C’est toujours le moment de l’aprĂšs qui pique un peu. Il ne sait pas pourquoi jusqu’à ce qu’il la voie se relever, s’éloigner, s’habiller. Aucune bribe d’un Ă©tat quelque peu languissant des minutes prĂ©cĂ©dentes. Elle ne reste pas, elle n’en a pas l’intention. Il se redresse aussi, le regard interrogateur. C’est qu’il a le culot de se demander pourquoi. Pourquoi elle rĂ©agissait ainsi, pourquoi elle ne voulait pas ĂȘtre Ă  ses cĂŽtĂ©s, maintenant. Alors qu’il comprend trĂšs bien, qu’elle ne peut pas. Pourtant son Ă©goĂŻsme Ă©touffant lui donne envie de crier tu fais quoi lĂ  tu vas oĂč reste un peu. Mais les derniĂšres paroles de la Serdaigle marquent une lacĂ©ration dans le muscle pompeur. C’est qu’elle l’embrasse en plus, une derniĂšre fois. Un adieu qui claque dans le silence procurĂ© par les livres. Et sa derniĂšre phrase, l’adjectif, gentil. Ça le ravage tandis qu’il la voit s’éloigner. Le temps que ça fasse son petit chemin Ă©lectrique dans les neurones en effusion. Elle venait de rompre. AprĂšs qu’il lui ait avouĂ©, aprĂšs qu’ils aient Ă©tĂ© si proches. Il a comme l’impression que la sĂ©paration n’arrive pas au bon moment, que ça aurait dĂ» ĂȘtre avant. Avant ça. Il dĂ©glutit, cligne des yeux, secoue la tĂȘte, passe sa main dans ses cheveux, tout ce qu’il faut pour reprendre conscience de la rĂ©alitĂ©. Se relĂšve. Il demeure lĂ  quelques instants, perdu. Le temps passĂ© avec Mary avait Ă©tĂ© bien trop furtif, une lumiĂšre brĂšve, le temps de se tromper d’interrupteur, ou de remarquer qu’en fait il y avait quelqu’un dans la piĂšce. Éteinte dĂ©sormais. Mais bon, il l’avait entiĂšrement mĂ©ritĂ©. Il n’était pas si inconscient pour ne pas le remarquer, pour ne pas le savoir. S’il avait voulu garder Mary, il n’aurait pas fait tout ça. Tout de mĂȘme, d’un geste rageur il frappe la plus proche Ă©tagĂšre. Parce que ça lui fait mal, ça le dĂ©vore, il aurait bien aimĂ© rester encore un peu dans leur bulle Ă  eux, qu’il avait pourtant de lui-mĂȘme Ă©clatĂ©e. Quelque chose d’amer lui reste lĂ , coincĂ© dans le fond de la gorge. Parce qu’il n’y avait pas eu d’explosions de voix, d’objets qui volent et de remontrances. Juste un c’est gentil d’avoir Ă©tĂ© lĂ . Et ça faisait d’autant plus mal. Mais il allait devoir passer cette porte, revenir au quotidien, laisser ce qu’ils avaient Ă©tĂ© ici, dans cette bibliothĂšque. DĂ©cidĂ©ment, dĂ©jĂ  qu’il n’y mettait pas souvent les pieds, dĂ©sormais plus jamais. Il a l’impression d’ĂȘtre saoul tandis qu’il se rhabille, de peser lourd. Et il doit avancer, alors c’est ce qu’il fait. Quitter les lieux. C'Ă©tait sĂ»rement pas plus mal, fermer la porte Ă  tout ça. Puis finalement, c’est peut-ĂȘtre un soupir de soulagement qui s’échappe au moment de rejoindre le pour moi aussi, merci ! LorelaĂŻ PeonyDirectionSerdaigle Re La nuit dans la bibliothĂšqueLorelaĂŻ Peony, le Mar 6 FĂ©v - 1739 [LA de PrĂ©puce]Exorcisme de nuitPV avec NonocNuit d'hiver glacial. Le Parc du chĂąteau est silencieux. Un silence... blondinette masquĂ©e, tout de noir vĂȘtue, traverse l'Ă©tendu sombre, Ă©clairĂ© par la Lune le bras, un grimoire achetĂ© au MarchĂ© Noir, ou presque, dans une boutique dont le simple nom rĂ©veille les morts... Chez Barjow & Beurk !Cette nuit, toutes les conditions sont rĂ©unies, il ne reste plus qu'Ă  retrouver la victime, cachĂ©e en haut de sa blonde monte les marches sur la pointe des pieds et arrive, quelque peu essoufflĂ©e, dans la voliĂšre. Peu d'oiseaux y sont encore prĂ©sents, l'appel de la chasse cherche, du bout de sa baguette allumĂ©e, l'oiseau maudit. Il n'est pas encore lĂ , elle devra blonde s'installe alors dans un coin pas trop sali et ferme les yeux. La tĂȘte entre les jambes, elle se souvient de ce beau jour d’autonome oĂč elle l'avait rencontrĂ©, ici se souvient surtout de ses yeux, perçants, enivrants. Comme elle l'avait aimĂ©. Son souvenir s'Ă©tait doucement effacĂ©s de sa mĂ©moire, ses sentiments restaient pourtant ancrĂ©s dans son cƓur. La LorelaĂŻ d'hier aimerait toujours l'Edward qui avait tant fait battre son larme coule le long de sa joue, un sourire nĂ©anmoins apparait sur ses lĂšvres. Un hibou, Ă  peine plus grand que trois pommes, la titille de son bec. Caressant d'abord sa petit tĂȘte, elle sort ensuite un sac et enfourne le hibou dedans, sans se poser plus de questions que nĂ©cessaire. Il faut sauver l'animal, coĂ»te que Allez hop PrĂ©puce !A pas de souris, elle redescend la tour, traverse le chĂąteau et se dirige vers la cale le sac contre une chaise et sort son Exorcisme, exorcisme... Chut PrĂ©puce ou je te lance un bloclangue ! GuĂ©thenoc UrsionSerdaigle Re La nuit dans la bibliothĂšqueGuĂ©thenoc Ursion, le Mer 7 FĂ©v - 1953 A la faveur de l'obscuritĂ©, une ombre chargĂ©e d'un paquetage glissait, silencieuse et impalpable. Est-ce un esprit farceur en chemin pour importuner de ces facĂ©ties ? Est-ce le Spectre de la Mort venu rĂ©clamer son dĂ»?Fils ! Non ! Je vous interdit d'y aller !*...*Non, il s'agit simplement de GuĂ©thenoc, le fringant et modeste apprenti chevalier. Pour l'occasion et n'ayant pas d'autres tenues pour se faufiler parmi les tĂ©nĂšbres, il avait enfilĂ© une robe de bure noire. Elle lui avait Ă©tĂ© offerte par une de ses tantes lors de la NoĂ«l. MalgrĂ© qu'elle soit moldue, elle Ă©tait dans la confidence de son statut mais elle avait due confondre AcadĂ©mie de Sorcellerie » et Abbaye de Moineries ». Elle avait toutefois eu le nez fin. La robe le grattait. Cet inconfort Ă©tait contrebalancĂ© par l'excitation qu'il ressentait. Par cette excursion, l'Aiglon violait tout Ă  fait consciemment l'article 3 du RĂšglement de Poudlard. Une graine de rebelle, so unamused ! Et puis, il ne vaquait » pas, un Ursion ne vagabonde jamais, il est toujours en QuĂȘte ! Il saurait donc se justifier si jamais il rencontrait un prĂ©fet ou un professeur ! Allez, Articles 6 et 12, aux oubliettes ! Un vrai trublion celui-ci...Il jeta un regard Ă  la ronde. Pas Ăąme qui vive, si ce n'Ă©tait la trace d'un passage l’entrebĂąillement de la porte de la bibliothĂšque. Anormal, au regard de l'heure tardive. Oubli de la part du personnel ou signe d'une prĂ©sence inopportune? Une pointe d'inquiĂ©tude perça sa carapace d'assurance. Il Ă©tait manifeste que quelqu'un l'avait prĂ©cĂ©dĂ©. Son plan allait tomber Ă  l'eau. Si seulement il perdait cette fĂącheuse habitude de trop ouvrir sa grande bouche... Il espĂ©rait qu'il n'avait pas Ă©tĂ© devancĂ©, il glissa un Ɠil par l'ouverture et constata qu'en effet, une personne semblait s'affairer au sol, absorbĂ©e par il ne savait quel machination tordue. La lumiĂšre Ă©tait tĂ©nue mais il parvint Ă  reconnaĂźtre cette silhouette. Il fut soulagĂ© quoique perplexe. LorelaĂŻ... Il entra dans la bibliothĂšque, prenant soin de fermer la porte. Il s'approcha d'elle, Ă©mettant un lĂ©ger toussotement pour manifester son Salut Loly ! », une pointe d'agacement dans la voix.*Mil' Gast ! Qu'est-ce qu'elle fiche ici?* Il l'avait surnommĂ© ainsi tout haut. Habituellement, il le faisait en son for intĂ©rieur. Toujours suivi par un air en tĂȘte, celui d'un dessin animĂ© de son enfance, oĂč il remplaçait les mots la vie » par Loly »... Trahi par ses propres pensĂ©es, mais pour l'heure, c'Ă©tait plutĂŽt un crissement de couteau glissant sur un tableau noir qui rĂ©sonnait en lui. LorelaĂŻ PeonyDirectionSerdaigle Re La nuit dans la bibliothĂšqueLorelaĂŻ Peony, le Lun 12 FĂ©v - 1643 Trop occupĂ©e Ă  chercher le chapitre sur l'exorcisme, LorelaĂŻ ne vit pas arriver une petite tĂȘte bouclĂ©e derriĂšre son raclement de gorge, elle sursauta, posant sa main sur sa bouche, au risque de signaler sa prĂ©sence par un cri aussi effroyable que la peur qu'elle venait d'avoir. Si quelqu'un la trouvait assise au milieu de la bibliothĂšque, un livre presque noir entre les mains et un hibou enfournĂ© dans un sac, elle Ă©tait trĂšs mal partie pour se justifier. TrĂšs, trĂšs mal pourquoi, quand elle se rendit compte qu'il ne s'agissait que d'un petit bleu, qui en plus ne semblait pas dangereux, elle se ressaisit et s'approcha de lui, Ă  pas de Qu'est-ce que tu fais ici Nonoc ? demanda-t-elle Ă  voix basse. Tu devrais ĂȘtre dans ton dortoir Ă  cette heure-ci. Et si on t'attrapait !Oui, parce que LorelaĂŻ se croyait bien placĂ©e pour faire la moral au jeune homme sur ce qu'il avait le droit ou non de faire. Elle n'Ă©tait pas prĂ©fĂšte, mais elle ne voulait pas qu'il ait des problĂšmes. Elle, si elle Ă©tait sortit, si elle avait enfreint le rĂ©glement, c'Ă©tait pour une question de vie ou de mort. Elle n'avait pas le choix. Bon, certains pourraient arguer que ce n'Ă©tait pas la premiĂšre fois qu'elle sortait aprĂšs le couvre-feu, et demander, Ă  juste titre, si Ă  chaque sorti il Ă©tait question d'y perdre la vie. Mais passons, Ă  cet instant, elle Ă©tait convaincue de sa lĂ©gitimitĂ© Ă  ĂȘtre prĂ©sente au milieu de la bibliothĂšque, et pas le petit cri de dĂ©tresse s'Ă©leva du sac derriĂšre les deux Serdaigle et LorelaĂŻ regarda son camarade avec un air sĂ©vĂšre qu'elle n'avait pas l'habitude de Ecoute GuĂ©.. GuĂ©tho... Ecoute Nonoc ! J'ai des affaires sĂ©rieuses en jeu, dit-elle en chuchotant, mais sur un ton ferme. Tu peux pas rester fallait vraiment qu'il s'en aille et qu'il la laisse tranquille, parce qu'elle n'avait pas beaucoup de temps pour exorciser le hibou. GuĂ©thenoc UrsionSerdaigle Re La nuit dans la bibliothĂšqueGuĂ©thenoc Ursion, le Lun 12 FĂ©v - 2121 Au Moyen-Age Moldu, les chevaliers et autres seigneurs fĂ©odaux, de part l'appui de la Loi salique et du fait du Dogme de l’Église, avaient prĂ©sĂ©ance sur l'Indigne CrĂ©ature qu'Ă©tait la femme. S'ensuivait tout un ensemble de RĂšgles, d'Us et de Coutumes, le Droit de Cuissage n'en Ă©tait qu'un piĂštre exemple. Certes, GuĂ©thenoc n'avait pas Ă©tĂ© Ă©levĂ© selon ses canons et principes douteux mais il tentait vaille que vaille de respecter un semblant de Code d'Honneur. VoilĂ  pourquoi il pensa donc Un digne chevalier ne se laisse pas rabrouer de la sorte, et encore moins dicter sa conduite. Encore moins par une demoiselle ! ».Êtes-vous sĂ»r de cela, Fils ?*Non, MĂšre, d'accord, MĂšre...*C'est mieux... Gentils garçon...NĂ©anmoins, il n'Ă©tait pas forcĂ©ment content. Si lui n'avait pas le droit de se trouver ici et maintenant, au nom de quoi LorelaĂŻ s'exemptait des obligations auxquelles il Ă©tait assujettis ? Il se demandait bien quelles affaires sĂ©rieuses l'avait amenĂ©es Ă  enfreindre elle aussi le Pontifiant RĂšglement. Dans tout les cas, son projet Ă  lui tombait bel et bien Ă  l'eau par la prĂ©sence de sa consƓur. A bien regarder, tout cela fleurait fort la loucherie. Il fronça des sourcils et la Permets-moi, Ô Brillantissime Muse, de te demander... ». Au diable le langage ampoulĂ© ! Et toi, qu'as-tu Ă  faire ici ? ».Ses yeux mirĂšrent la scĂšne et remarquĂšrent l'ouvrage Ă  terre ce qui n'Ă©tait guĂšre une place pour un grimoire, soit dit en passant, puis s’ouvrirent comme des soucoupes quand un cri mit fin Ă  la diarrhĂ©e interrogatoire qu'il s'apprĂȘtait Ă  rĂ©pandre. Il se prĂ©cipita vers un sac posĂ© non loin de lĂ , laissant en plan la Serdy d'Elite. A n'en point douter, Ă  moins d'ĂȘtre atteint d'une foldinguerie manifeste, ça bougeait Ă  l'intĂ©rieur. L'avait-il interrompue alors qu'elle s’apprĂȘtait Ă  vendre son Ăąme au Malin ? Comptait-elle s'adonner Ă  une cĂ©rĂ©monie hĂ©rĂ©tique, impliquant un sacrifice ? Il ne pouvait le Dis moi sĂ©ance tenante ce qu'il se passe ! Et ne rĂȘve pas, je ne bougerai pas d'un iota ! ».Peut-ĂȘtre jamais ne s'Ă©tait-il senti aussi dĂ©terminĂ©. Il connaĂźtrait le fin mot de cette histoire. Re La nuit dans la bibliothĂšqueContenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum

21déc. 2020 - Découvrez le tableau "un peu de chaleur" de Laetitia sur Pinterest. Voir plus d'idées sur le thÚme mode de vie durable, mode de vie minimaliste, photographie de noël. Pinterest. Aujourd'hui . Explorer. Lorsque les résultats de saisie automatique sont disponibles, utilisez les flÚches Haut et Bas pour parcourir et la touche Entrée pour sélectionner. Pour les utilisateurs
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 Une forme aqueuse Lorsque les boutons de chaleurs se manifestent sous la forme de cloques transparentes, on parle de miliaire cristalline. De petites vĂ©sicules transparentes ou blanches apparaissent en surface ce sont en fait de micro-cloques remplies de notre transpiration ! Elles ressemblent Ă  de petites gouttes d’eau qui se percent d’ailleurs trĂšs facilement. Des boutons rouges Autre manifestation classique, les lĂ©sions rouges ou rosacĂ©es, papules Ă©paisses que l’on sent en glissant ses doigts sur la peau. Ces petits boutons rouges peuvent dĂ©manger, on en trouve souvent plusieurs rassemblĂ©s dans une mĂȘme zone. ReconnaĂźtre les boutons de chaleur Avec quels autres problĂšmes de peau on peut les confondre ? L’allergie l’eczĂ©ma de contact C’est la seule forme d’eczĂ©ma qui pourrait Ă©ventuellement prĂȘter Ă  confusion. Il s’agit d’une rĂ©action de la peau au contact d’un Ă©lĂ©ment allergĂšne. Il apparaĂźt alors sur la surface en question des plaques rouges et des vĂ©sicules remplies de liquide. Mais les boutons de chaleur n’apparaissent pas sous la forme de plaques rouges, mais plutĂŽt de multiples boutons proches les uns des autres. Par ailleurs l’eczĂ©ma de contact surgit soudainement et massivement, et sa dĂ©mangeaison est bien plus importante que celle des boutons de chaleur. On a du mal Ă  rĂ©sister Ă  la tentation de gratter ! La gale Maladie de peau causĂ©e par la ponte d’Ɠufs d’acariens dans notre joli derme, elle se manifeste par des tĂąches rouges ou violettes sur la peau, avec vĂ©sicules translucides qui dĂ©mangent Ă©normĂ©ment
 Les femelles de ces acariens aiment Ă  pondre dans des zones spĂ©cifiques du corps les mains, entre les doigts, le nombril, les coudes, les parties gĂ©nitales, les fesses
 Les dĂ©mangeaisons intenses de la gale ne sont pas comparables Ă  celles, plus lĂ©gĂšres, des boutons de chaleur. Ce sont elles qui vous alerteront d’abord, il vous faudra alors consulter un mĂ©decin pour vĂ©rifier ! Un dĂ©but de varicelle Les premiers symptĂŽmes de la varicelle peuvent ressembler Ă  des boutons de chaleur, mais on est assez rapidement fixĂ© sur la rĂ©alitĂ© cutanĂ©e qui se prĂ©sente
 Les boutons de varicelle envahissent tout le corps sans distinction de lieu. Ces boutons consistent en de petites bosses rouges surmontĂ©es par des vĂ©sicules. La varicelle s’accompagne souvent de fiĂšvre, maux de tĂȘte, fatigue
 Un impĂ©tigo Il s’agit d’une infection bactĂ©rienne contagieuse, qui touche surtout les enfants. Elle se prĂ©sente la plupart du temps sous la forme de croĂ»tes et pustules, mais peut aussi apparaĂźtre sous la forme de bulles caractĂ©ristiques. C’est surtout chez les enfants que la confusion pourra se faire dans les premiers temps de l’apparition. Ces boutons sont localisĂ©s particuliĂšrement prĂšs des muqueuses, mais peuvent ensuite se propager sur tout le corps. Une piqĂ»re de moustique On sait tous, malheureusement, Ă  quoi ressemble une piqĂ»re de moustique ! Mais chaque peau peut rĂ©agir diffĂ©remment et certains dĂ©veloppent de petites vĂ©sicules transparentes aprĂšs la piqĂ»re d’un moustique ou de tout autre insecte du mĂȘme genre. La dĂ©mangeaison intense et le caractĂšre isolĂ© vous permettront de faire la diffĂ©rence avec les boutons de chaleur. Et si vous avez une multitude de boutons de moustiques cĂŽte Ă  cĂŽte, il y a des chances que vous ayez croisĂ© les coupables ! Quelles sont les causes des boutons de chaleur et comment les prĂ©venir ? La transpiration responsable On accuse la chaleur de les faire apparaĂźtre, mais en rĂ©alitĂ©, elle n’est qu’un Ă©lĂ©ment dĂ©clencheur secondaire c’est notre transpiration qui est Ă  l’origine de ces bourbouilles ! En effet, sous l’effet de la transpiration intensive, nos canaux sudoripares se bouchent, crĂ©ant ces boutons. C’est le mĂȘme mĂ©canisme de pores bouchĂ©s Ă  l’origine de l’acné  Limiter les activitĂ©s physiques intenses Quand il fait chaud, limitez les efforts trop intenses qui conduisent Ă  de fortes transpirations. Par temps de canicule, prĂ©fĂ©rez la gymnastique en intĂ©rieur ou une marche Ă  l’ombre plutĂŽt que le footing intensif ! Faites du froid chez vous Si votre intĂ©rieur est bouillant, essayez d’attĂ©nuer la chaleur Ă  l’aide d’un ventilateur ou d’un climatiseur. Si vous ne possĂ©dez ni l’un ni l’autre, prenez des douches tiĂšdes rĂ©guliĂšrement pour rafraĂźchir votre corps et Ă©viter la transpiration continue. Portez des habits adaptĂ©s Il faut des vĂȘtements amples, conçus avec des matĂ©riaux naturels de type lin ou coton. Car il faut impĂ©rativement que la peau respire ! Et quand vous pouvez vous le permettre, dĂ©couvrez-vous afin d’éviter de transpirer davantage. Évitez les tissus synthĂ©tiques qui favorisent la transpiration. ProtĂ©gez-vous du soleil Votre peau vous remerciera, et pas seulement pour lui avoir Ă©vitĂ© des boutons de chaleur ! Portez des chapeaux, mettez de la crĂšme solaire peu grasse pour Ă©viter de boucher vos pores. Ne vous promenez pas sous le soleil aux heures les plus chaudes et hydratez-vous rĂ©guliĂšrement. Mangez du saumon Et tout autre poisson gras ! Ils sont riches en acides gras qui aident Ă  limiter les inflammations. Vous aurez ainsi moins de chance de dĂ©velopper des boutons de chaleur ! On prend soin aussi de sa peau par l’alimentation. SĂ©chez-vous AprĂšs la douche, la piscine, la mer, la riviĂšre
 SĂ©chez-vous consciencieusement avant de remettre vos habits, particuliĂšrement dans les plis du corps comme le cou, les aisselles
 Si vous enfermez de l’humiditĂ© sous vos habits, vous risquez de dĂ©velopper des boutons de chaleur. Comment se dĂ©barrasser des boutons de chaleur ? N’y touchez pas Comme tous les boutons, la meilleure lutte est encore de les ignorer ! En les tripotant de vos doigts riches en bactĂ©ries, vous risquez d’aggraver la situation. Ces boutons disparaissent d’eux-mĂȘmes au bout de 48 heures, dans le cas contraire, il s’agit peut-ĂȘtre d’un autre problĂšme cutanĂ© citĂ© plus haut. Il faut donc ĂȘtre patient
 Et si vous n’y tenez plus et que vous n’avez pas l’intention d’attendre, suivez les conseils ci-dessous ! Laissez-les Ă  l’air libre On imagine que vous auriez plutĂŽt envie de dissimuler ces petites excroissances peu esthĂ©tiques
 Mais il faut les laisser respirer Ă  l’air libre, les exhiber au vent et aux regards, afin qu’ils sĂšchent et disparaissent plus vite. En les enfermant dans des habits, vous risqueriez d’entretenir une humiditĂ© qu’ils trouveront confortable. DĂ©sinfectez la peau Pour Ă©viter que vos boutons dĂ©rapent en des pustules dĂ©sagrĂ©ables et pĂ©rennes, dĂ©sinfectez les zones de boutons et sĂ©chez bien pour les mĂȘmes raisons expliquĂ©es juste au-dessus ! Misez sur le froid Si les dĂ©mangeaisons sont trop importantes et que vous ne pouvez vous empĂȘcher de gratter, appliquez des compresses froides ou des glaçons enfermĂ©s dans un torchon. Le pouvoir anesthĂ©siant du froid soulagera la dĂ©mangeaison. Mais n’oubliez pas, aprĂšs votre sĂ©ance de cryothĂ©rapie de
 bien laisser sĂ©cher ! Le bicarbonate Le bicarbonate de soude tout comme le talc ont la particularitĂ© d’assĂ©cher. C’est un remĂšde de grand-mĂšre rĂ©putĂ© on applique du bicarbonate de soude directement sur les boutons ou on en verse un peu dans son bain. Cela accĂ©lĂšrera leur Ă©limination et soulagera la dĂ©mangeaison. L’aloe vera Au sortir de votre douche, appliquez du gel d’aloe vera sur les zones Ă  bouton. Cette plante aux mille vertus a la capacitĂ© de soulager les irritations et d’hydrater la peau. Le maquillage On vous l’a dit, le mieux, c’est de laisser vos boutons de chaleur tranquilles. Mais si le complexe est fort et que vous ne pouvez pas sortir comme ça
 Utilisez uniquement une poudre matifiante qui teintera sans excĂšs vos boutons et vĂ©sicules, tout en assĂ©chant la zone. Une Ă©ruption bĂ©nigne DĂ©sagrĂ©ment esthĂ©tique et qui dĂ©mange, le bouton de chaleur reste parfaitement bĂ©nin et partira facilement en suivant ces quelques conseils. Il arrive cependant dans des cas extrĂȘmement rares que ces boutons de chaleur basculent vers une forme plus grave. Cela se produit lorsque les boutons sont contaminĂ©s par une bactĂ©rie. FiĂšvre et Ă©puisement apparaissent alors en plus des boutons et il faut impĂ©rativement consulter votre mĂ©decin
 Mais ce phĂ©nomĂšne est rare, alors profitez de votre Ă©tĂ© l’esprit tranquille et bien dans votre peau ! DARE TO BE YOU Chaque semaine une nouvelle offre VOIR AprĂšs des Ă©tudes de lettres et de communication, je m'oriente rapidement vers le monde de la beautĂ© et du bien-ĂȘtre, univers qui me passionne. J’y travaille plusieurs annĂ©es Ă  mon compte avant de rejoindre FOREO en 2021 comme blogueuse bien-ĂȘtre. Je suis de prĂšs les Ă©volutions et les avancĂ©es scientifiques dans le domaine des cosmĂ©tiques et plus largement dans tout ce qui touche au bien-ĂȘtre, Ă  l'alimentation, au sport... Et j’adore partager avec le plus grand monde mes astuces et dĂ©couvertes dans ces domaines. Ma devise "sois belle et ne te tais surtout pas !"Related Posts J’autorise Ă  crĂ©er un compte Lorsque vous vous connectez pour la premiĂšre fois Ă  l’aide d’un bouton de connexion sociale, nous recueillons les informations de profil public de votre compte partagĂ©es par le fournisseur de connexion sociale, en fonction de vos rĂ©glages de confidentialitĂ©. Nous recevons Ă©galement votre adresse e-mail pour crĂ©er automatiquement un compte pour vous sur notre site Web. Une fois votre compte créé, vous serez connectĂ© Ă  ce compte. J’autorise Ă  crĂ©er un compte Lorsque vous vous connectez pour la premiĂšre fois Ă  l’aide d’un bouton de connexion sociale, nous recueillons les informations de profil public de votre compte partagĂ©es par le fournisseur de connexion sociale, en fonction de vos rĂ©glages de confidentialitĂ©. Nous recevons Ă©galement votre adresse e-mail pour crĂ©er automatiquement un compte pour vous sur notre site Web. Une fois votre compte créé, vous serez connectĂ© Ă  ce compte. Afficher tous les commentaires Page load link wpDiscuz0Nous aimerions avoir votre avis, veuillez laisser un DARE TO BE YOU des offres diffĂ©rentes chaque semaine PROMO -20% sur LUNAℱ 3 Plus

Presquequarante jours consĂ©cutifs au-dessus des normales de saison : la chaleur qui s’est installĂ©e en France au printemps dure de façon inhabituelle, un phĂ©nomĂšne appelĂ© Ă  devenir plus frĂ©quent avec le changement climatique, et qui accentue le risque de sĂ©cheresse. La pĂ©riode de chaleur exceptionnelle dure depuis le 11 avril.

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Alorsqu'à Toulouse on souffle à peine de cette troisiÚme vague de chaleur qui s'est étendue du 31 juillet au 13 août, l'hypothÚse d'un nouvel épisode de fortes chaleurs est émise par
Cet Ă©tĂ©, c’est dĂ©cidĂ©, vous voulez repeindre votre maison. Mais attention ! Peindre quand les tempĂ©ratures grimpent au thermomĂštre n’est pas forcĂ©ment une bonne idĂ©e. En effet, la chaleur peut causer des problĂšmes de rendu de la peinture. Il est impĂ©ratif de prendre en compte les conditions mĂ©tĂ©orologiques avant de repeindre votre maison. Pour autant, vous pouvez rĂ©aliser vos travaux de peinture en Ă©tĂ© en suivant les conseils de nos pros. Quelles sont les conditions climatiques pour repeindre ? Quelles sont les prĂ©cautions Ă  prendre pour peindre un mur en Ă©tĂ© ? Quels sont les risques de faire ses travaux de peinture lors de grosses chaleurs d’étĂ© ? Quels sont les risques Ă  peindre en Ă©tĂ© ?TempĂ©rature maxi pour peindre une piĂšceRĂ©ussir vos travaux de peinture en Ă©tĂ©Conseils pour appliquer de la peinture intĂ©rieure en Ă©tĂ©Conseils pour peindre en extĂ©rieur avec de grosses chaleurs Quels sont les risques Ă  peindre en Ă©tĂ© ? Peindre en Ă©tĂ© ? C’est une bonne idĂ©e mais attention aux trop fortes chaleurs. Pour peindre il faut une tempĂ©rature comprise entre 12 et 25 degrĂ©s. En effet, la peinture a besoin d’une tempĂ©rature moyenne pour pouvoir rĂ©agir correctement sur le support et offrir un rendu impeccable. D’ailleurs, c’est marquĂ© sur le pot de peinture. Vous avez gĂ©nĂ©ralement les indications de tempĂ©ratures minimales et maximales conseillĂ©es pour passer votre peinture. Pour autant, les risques Ă  peindre en Ă©tĂ© sont sensiblement les mĂȘmes, quelle que soit la nature de la peinture que vous avez dĂ©cidĂ©e d’appliquer, Ă  savoir Un temps de sĂ©chage ultra rapide c’est Ă©vident, mais il fallait le souligner. S’il fait trĂšs chaud, le temps de sĂ©chage sera forcĂ©ment plus court. Et mĂȘme trop court. De fait, les traces de pinceau ou de rouleau risquent de se voir, car la peinture sĂ©chera entre deux passes. En plus, une peinture qui sĂšche trop vite risque de cloquer surtout sur un support bois ou encore de ne pas adhĂ©rer Ă  la surface. Enfin, elle risque de s’écailler. Une ventilation absente pour que la chimie se fasse, la peinture a besoin d’aĂ©ration et de lumiĂšre. Et en Ă©tĂ©, quand les tempĂ©ratures dĂ©passent les 30 degrĂ©s, il est difficile de trouver un brin d’air. L’émulsion chimique risque donc de ne pas se faire. De fait, elle a de fortes chances de ne pas adhĂ©rer au support et de ne pas donner le rendu attendu. Une humiditĂ© trop prĂ©sente Si vous croyez contourner le problĂšme en peignant trĂšs tĂŽt le matin, vous avez tout faux. En effet, si la peinture craint la chaleur, elle est aussi sensible Ă  une trop forte humiditĂ©. Aussi, votre peinture risque de ne pas aimer la rosĂ©e du matin et l’humiditĂ© de l’aube. Les coups de chaleur et les odeurs La chaleur dĂ©cuple les odeurs. De fait, l’odeur de la peinture risque d’ĂȘtre trĂšs forte, voire insupportable en Ă©tĂ©. Si vous n’ĂȘtes pas Ă©quipĂ© d’un masque, vous risquez d’ĂȘtre trĂšs incommodĂ©, voire d’avoir des nausĂ©es. De plus, vous ĂȘtes Ă©galement susceptibles d’avoir un coup de chaleur. En effet, en pĂ©riode de fortes tempĂ©ratures, tout effort est Ă  proscrire y compris un coup de peinture sur les murs. TempĂ©rature maxi pour peindre une piĂšce Si malgrĂ© tout, vous voulez peindre durant les grosses chaleurs, vous allez pouvoir le faire en cherchant le moment oĂč les conditions climatiques idĂ©ales sont remplies. Et le bon moment, c’est quand les tempĂ©ratures n’excĂšdent pas 25 degrĂ©s et que l’humiditĂ© est comprise entre 50% et 60%. De plus, pour Ă©viter les traces de peinture, peignez Ă  l’abri des courants d’air. MĂȘme si la tempĂ©rature maximale conseillĂ©e est de 25 degrĂ©s pour des travaux de peinture, il faut savoir qu’au-delĂ  de 20 degrĂ©s, la peinture subit des changements. D’une part, elle s’épaissit ce qui rend plus difficile sa pose. D’autre part, elle s’évapore. Pour les peintures acryliques, c’est l’eau qui va s’évaporer, pour les peintures glycĂ©ro, ce sont les solvants qui s’évaporent. Dans un cas comme dans l’autre, les composants essentiels Ă  la peinture s’en vont. De fait, le rendu est altĂ©rĂ©. Pour autant, peindre par basse tempĂ©rature n’est pas conseillĂ© non plus. Quant aux problĂšmes d’humiditĂ©, c’est une autre paire de manches. Le problĂšme est que l’humiditĂ© va accentuer l’impression de chaleur. Pour preuve, quand le temps est couvert, mais humide, vous avez l’impression qu’il fait beaucoup plus chaud que ce qu’affiche votre thermomĂštre. La peinture, c’est pareil. Elle se fie au ressenti. Donc, si l’humiditĂ© est trop prĂ©sente, la mise en peinture va s’en ressentir. Il y a une tempĂ©rature minimale pour peindre. Mais en Ă©tĂ©, il y a une tempĂ©rature maxi de 25 degrĂ©s pour que la peinture sĂšche correctement au support RĂ©ussir vos travaux de peinture en Ă©tĂ© Pour rĂ©capituler les conditions optimales de mise en peinture en Ă©tĂ©, il faut donc une tempĂ©rature n’excĂ©dant pas 25 degrĂ©s et une humiditĂ© comprise entre 50 % et 60 %. Pour rĂ©ussir vos travaux de peinture pendant la pĂ©riode estivale, il va donc falloir un peu ruser. Pour cela, vous devez dĂ©jĂ  choisir le moment de la journĂ©e oĂč les tempĂ©ratures sont les moins chaudes. Il s’agit donc du matin et de la fin d’aprĂšs-midi/dĂ©but de soirĂ©e. L’idĂ©al est d’avoir une tempĂ©rature comprise entre 10 degrĂ©s et 20 degrĂ©s. Mais attention Ă  l’humiditĂ© ! Et pour que l’humiditĂ© soit rĂ©gulĂ©e, il faut veiller Ă  aĂ©rer correctement la piĂšce oĂč vous travaillez. AĂ©rer ne veut pas dire non plus faire des courants d’air. En effet, si vous faites du courant d’air et que l’air est chargĂ© en poussiĂšre et en pollen, c’est la catastrophe assurĂ©e ! Les particules vont venir se coller contre la peinture et le rendu sera mĂ©diocre. Il faut donc s’assurer que l’hygromĂ©trie de la piĂšce soit infĂ©rieure Ă  70 % au minimum. Enfin, faites attention au soleil. Vous ne pouvez pas peindre un support sur lequel le soleil tape directement. Vous devez donc protĂ©ger votre support du soleil tout en gardant une bonne luminositĂ© dans la piĂšce. Conseils pour appliquer de la peinture intĂ©rieure en Ă©tĂ© Si vous peignez vos murs en intĂ©rieur, vous allez pouvoir peindre en utilisant quelques petites astuces pour rĂ©unir les conditions optimales de mise en peinture. Pour rĂ©guler la tempĂ©rature, allumez votre climatisation. Cela permettra de garder une tempĂ©rature constante dans la piĂšce et permettre de ne pas dĂ©passer les 20 degrĂ©s conseillĂ©s. Pour agir sur l’humiditĂ©, il faut allumer la VMC pendant les temps de sĂ©chage. LĂ  encore, vous pourrez contourner les pics de chaleur en fermant les volets qui laissent pĂ©nĂ©trer le soleil en prise directe sur votre support. Mais attention de ne pas plonger la piĂšce dans le noir non plus ! Conseils pour peindre en extĂ©rieur avec de grosses chaleurs Pour peindre en extĂ©rieur, c’est plus compliquĂ©. Pas de clim ni de VMC pour contrĂŽler tempĂ©rature et humiditĂ© autour de votre support. Pour autant, ce sera Ă  vous de choisir le moment idĂ©al en fonction des conditions mĂ©tĂ©orologiques annoncĂ©es. Il faut donc prĂ©voir de peindre de prĂ©fĂ©rence le matin ou en fin de journĂ©e pour avoir des tempĂ©ratures pas trop chaudes. Mais attention Ă  l’humiditĂ© ! Choisissez aussi un moment de la journĂ©e oĂč le soleil ne frappe pas directement sur le support. La tempĂ©rature maximum pour peindre en extĂ©rieur est de 25 degrĂ©s. Au dessus de cette tempĂ©rature, il est recommandĂ© de ne pas peindre dans ces conditions mĂ©tĂ©orologiques.
AFP- Nicolas TUCAT. Presque quarante jours consĂ©cutifs au-dessus des normales de saison: la chaleur qui s'est installĂ©e en France au printemps dure de façon inhabituelle, un phĂ©nomĂšne ActualitĂ© parue dans le Briefing Agro du 26 aoĂ»t 2022 UE â€ș La Commission prĂ©cise – un peu – ses intentions sur la rĂ©glementation du transport des animaux en cas de forte chaleur La commissaire chargĂ©e de
 Il vous reste 97 % de la brĂšve Ă  article est rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s Contexte Agro. Contexte, le journal des professionnels des politiques publiques DĂ©couvrez Contexte Agro pendant 15 jours, c'est gratuit et sans engagement ! Essayer pendant 15 jours Cet article est rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s de la rubrique Agro DĂ©jĂ  abonnĂ© ? Connectez-vous .
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